La bibliothèque de Patrick
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Tous les livres de Exbrayat, Charles
Index alphab�tique des 30 livres
Collection: Douceurs provincialles
Les amours auvergnates
Collection: Imogène
Ne vous fâchez pas Imogène, Imogène est de retour, Encore vous Imogene, Imogène, vous êtes impossible !, Notre Imogène, Les fiançailles d'Imogène, Imogène et la veuve blanche
Collection: McNamara
Le colonel est retourné chez lui, Un joli petit coin pour mourir
Collection: Tarchinini
Le plus beau des bersagliers, Le quintette de Bergame
Aimez vous la pizza ?
Exbrayat, Charles
Ah ! Les Garofani ne sont pas Napolitains pour rien. Les gosses accrochés aux jupes de la mamma, les plus grands qui traînent sur le port et soulagent les touristes de leur trop-plein de lires tandis que Mario vend sa pizza et Lauretta ses citronnades... C'est le bonheur, oui. Mais c'est aussi la misère. Et puis un jour, les Signori leur proposent une “affaire”. Il suffit d'assurer un transport. Un million de lires à la clef.. Un million de lires ! Ça en fait des pizzas et des citronnades ! Et pour un travail on ne peut plus simple. Ou du moins le croient-ils.
Amour et sparadrap
Exbrayat, Charles
Francis W. Bessett a tiré de précieux enseignements de son séjour à Eton : il porte chapeau melon et parapluie avec élégance, et son accent d'Oxford est irréprochable.On le prendrait pour un gentleman accompli s’il n’avait la fâcheuse manie de récolter plaies et bosses, et d’exhiber sparadrap et bandages divers…À croire que ses fréquentations ne sont pas convenables ! Évidemment, quand on se met en tête d’épouser Maureen O’Mulloy, il faut affronter sa tribu d’Irlandais braillards et batailleurs…Une entreprise presque aussi dangereuse que de vouloir retrouver l’assassin de ses parents…
Ce mort que nul n'aimait
Exbrayat, Charles
Un cadavre défiguré est repêché dans le canal Albert. La police d'Anvers annonce à peine la nouvelle qu'un marinier se présente et déclare reconnaître dans le défunt son gendre, un propre à rien tué par quelqu'un du même acabit, bon débarras pour tout le monde et au revoir la compagnie.Un vrai patriarche à l'antique, ce Gustaaf Van Neer, patron de la péniche La Belle Mouette qui vient d'identifier les restes de Joss. Lauriks. Un personnage fascinant par sa violence contenue, son autorité, son franc parler. Trop fascinant même : Gustaaf Van Neer paraît plus vrai que nature.Parce qu'il est une force de la nature... ou parce qu'il en joue le rôle ? L'inspecteur Rik de Herdt sent poindre un doute – et si c'était lui le meurtrier de Joss Lauriks ?De toute façon, Rik et son adjoint Joris Spelckmans ont le devoir de trouver le coupable. Une tâche que le clan des Van Neer, soudé autour de son chef, proclame inutile et semble s'ingénier ensuite à rendre impossible, mais Rik de Herdt se pique au jeu et s'acharne, lui aussi, à percer le mystère. qui entoure ce mort que nul n'aimait.Une enquête périlleuse dans les brumes du pays flamand.
Deux enfants tristes
Exbrayat, Charles
Beltonville, New Hampshire. 30 000 âmes sur lesquelles règnent deux hommes aussi corrompus l'un que l'autre : le maire, Red Torphin, et Salvatore Bussolo, le “parrain”. 30 000 âmes qui malgré leurs scrupules et leur honte préfèrent oublier les exactions du maire et de ses hommes de main. Mais Arrigo et Isabella Carignagno, les jumeaux, n'ont pas oublié, eux. Ils n'ont pas oublié le massacre de la famille du petit cordonnier italien. Et les deux enfants tristes descendus du train attendant en se tenant par la main lors de la moisson de l'Eternel, la moisson, rouge qui verra les assassins et leurs complices tomber pareils à des gerbes dont nul ne se souciera...
Dors tranquille Katherine
Exbrayat, Charles
Des photographes vinrent troubler le calme de la morgue tout en évitant, dans la mesure du possible, d'irriter Elmar Rederich, que cette intrusion exaspérait et qui ne permit à personne de toucher à la morte. Il fut le seul à porter les mains sur le visage de la jolie victime pour permettre aux projecteurs d'en éclairer tous les détails. Au moment où Kurt se retirait, Rederich lui chuchota :— Vous la vengerez, n'est-ce pas, inspecteur ? Elle ne méritait pas ça !— Vous savez quelque chose, Fräulein, à propos de la jeune morte dont j'essaie de découvrir l'identité ?— Elle s'appelait Katerine Buchberger ; c'était mon amie, elle habitait Heidelberg.— Je souhaite que vous vengiez Katherine. Elle ne méritait pas de mourir de cette façon... Les mêmes mots que le vieux Rederich...
En souvenir d'Alice
Exbrayat, Charles
Comment Alice est-elle morte ? Pour ses amis, pour la police, elle a délibérément mis fin à ses jours. Pour son mari, sur Jason, elle a été assassinée. Les deux versions paraissent aussi vraisemblables l'une que l'autre. Mais voici qu'une autre mort survient, celle de Linda, dont l'image, dans l'esprit de sir Jason, peu à peu se superpose à celle de lady Alice. Cette seconde disparition permettra-t-elle de résoudre l'énigme de la première ?
La ballade de Jenny Plumpett
Exbrayat, Charles
Miss Plumpett fut arrachée à son introspection par la voix de Ned Charlbury.— Enfin, chérie, je vous retrouve ! Je me demandais où vous étiez passée ?Ce garçon l’exaspérait. Pendant qu’il s’asseyait sur son banc, elle lui répliqua sèchement :— Je vous interdis de m’appeler chérie !Ned parut sincèrement surpris.— Mais quel nom voulez-vous donc que je donne à la femme que j’aime ?— Vous n’avez pas le droit de m’aimer !— Et pourquoi ?— Parce que je ne vous aime pas !— Ça n’a aucun rapport. Et puis, franchement, vous avez tort.— Vraiment ?— Des garçons comme moi ne courent pas les rues.
La nuit de Santa Cruz
Exbrayat, Charles
La Semaine Sainte à Séville, pour José Moralès, est d'abord la semaine du retour au pays, qu'il a quitté avec ses parents lorsqu'il avait 12 ans, et les retrouvailles avec une ville dont il a la nostalgie. Mais il n'est pas là, pourtant, pour faire du tourisme. Agent du FBI, il traque Lajolette, l'insaisissable trafiquant de drogue canadien que son chef a juré de mettre en prison avant de prendre sa retraite. Mais si le parcours du souvenir, à Séville, jusqu'à la maison de son enfance, le conduit à trouver l'amour... après une tentative d'assassinat ; elle le pousse aussi à trop parler, et même à dévoiler sa couverture. Est-ce bien prudent pour un agent en mission qui vient seulement de rencontrer ses confidents ? 
La petite fille à la fenêtre
Exbrayat, Charles
Une petite fille malade, dont la seule distraction est de regarder à travers sa fenêtre passer les uns et les autres. Albi, avec sa cathédrale forteresse et un passé fantastique. Une ville calme, un décor paisible, des gens tranquilles. Brutalement, tout va changer, car on tue dans Albi-la-Rouge. L'enfant va se trouver au centre du drame.
Le nez dans la luzerne
Exbrayat, Charles
"Vive la libération de la femme ! " Le slogan s'étale en grosses lettres indignées sur la glace de la chambre de Daisy. Et la chambre est vide. Ainsi que celle d'Adela. Et celle de Fiona. Elles ont osé, les ingrates ! Filles dénaturées ! Quitter le toit familial ! Fuguer comme des dévergondées qu'elles sont ! Mais le sergent Kirkham ne va pas se laisser faire. Il connaît le responsable : Elmer Rufford, ce vil suborneur, ce satyre qui n'a même pas une goutte de sang irlandais dans les veines. Ah ! il aura tôt fait de l'envoyer le nez dans la luzerne ! Avant de l'expédier à l'hôpital. Et peut-être à la morgue...
Le quadrille de Bologne
Exbrayat, Charles
Dangereuse, la vie d'un représentant en pâtes alimentaires ? Allons donc. C'est pourtant à une infernale série d'attentats qu’échappe le voyageur de commerce Alfonso Santucci, à l'issue d'une tournée de trois mois dans les pays de l'Est où il est allé vanter les mérites de ses lasagnes et de ses tagliatelles.Mais c'est que Santucci n'est pas plus voyageur de commerce qu'il ne s'appelle Santucci.. Il fait partie des services secrets italiens. Seulement cela, personne ne le sait.Pas même Tosca, ravissante contessina qui lui reproche sans cesse un métier peu reluisant. Il n'y a guère à être au courant que l'agent du MIS. britannique, celui de la CIA et l'espionne soviétique du G.R. U.. Et tout ce petit monde exécute avec notre héros un quadrille aux figures compliquées dont le maître de ballet est un beau maréchal des carabiniers, amoureux transi et point mécontent de sa personne.
Les Blondes et Papa
Exbrayat, Charles
Anodin, le complexe des blondes ! Du moins en apparence.Car le mal peut avoir des conséquences graves. En effet, mis en présence d'une personne de sexe féminin pourvue d'une chevelure blonde, le sujet atteint se trouve instantanément transporté au septième ciel. Comprenette bloquée. Sourire extatique. Roucoulades et discours enflammés. Très dangereux tout cela... Ianto Morgan souffre justement de ce redoutable complexe. Et ayant rencontré une charmante blonde, il plane à des altitudes que lui seul peut atteindre.C'est pourquoi il est surpris de trébucher soudain sur un cadavre. Et il ne s'explique pas non plus la présence de l'arme du crime dans sa main droite...
Les filles de Folignazzaro
Exbrayat, Charles
L'histoire se passe dans un petit village montagnard du Piémont où vivent des gens rudes, peu enclins à apprécier les citadins. Un livre de bonne humeur qui permet à l'auteur, à travers l'affabulation policière, de faire défiler une série de personnages hauts en couleur. Un inspecteur milanais s'imagine arrêter l'assassin dans les délais les plus brefs. Mais c'était compter sans les filles de Folignazzaro qui faillirent le rendre fou.
Les messieurs de Delft
Exbrayat, Charles
Dans Delft  la tranquille, chacun envie le sort du riche Karel Klundert, un célibataire merveilleusement servi par sa vieille gouvernante, Mina.Une fois par mois, Karel se réunit à d’autres quinquagénaires, veufs ou vieux garçons, que rassemble une même tendresse pour les plats bien cuisinés et les vins de qualité, amoureusement choisis. Mais une nuit, une voix désespérée va troubler la belle quiétude de ces égoïstes, la voix d’une femme qui appelle au secours Karel Klundert qu’elle affirme être le père de son enfant. Persuadé qu’il s’agit d’une farce, Karel se moque de cette Karin inconnue jusqu’au moment où il apprend qu’une jeune femme, nommée Karin, s’est noyée après lui avoir téléphoné.Dès lors, Karel va se battre contre lui-même, contre l’impossible. Il ne connaissait pas Karin et Karin est morte parce qu’il n’avait pas voulu répondre à son appel. Dans Delft, on ne comprend pas, l’opinion se divise : pour ou contre Karel. Mais Albrecht Cornelis, le policier, ne veut pas qu’un homme, pour si riche qu’il soit, puisse tuer impunément, même si ce crime ne tombe pas sous le coup de la loi.C’est un drame émouvant parce que profondément humain, dans l’atmosphère paisible de la belle ville hollandaise.
Le temps se gate à Zakopane
Exbrayat, Charles
Aloïs WERNER, citoyen helvétique un peu niais mais plein aux as – ce qui est une excellente combinaison –, est tombé follement amoureux d'Hildegarde von Löwenberg.La belle lui rappelle tant sa chère Elzbieta... Mais – ô désespoir ! – Hildegarde a jeté son dévolu sur un autre. Aloïs fou de douleur, va-t-il se percer le cœur d'une dague ? Nenni, ma chère ! Car Aloïs est en réalité un espion anglais. S'il fait le joli cœur auprès d'Hildegarde, c'est uniquement afin de s'introduire dans un nid d'agents doubles au service des Soviétiques. Et une fois dans la place, sa pseudo fiancée va passer un sale quart d'heure.Enfin, si tout marche comme prévu... 
Plaies et bosses
Exbrayat, Charles
Plaies et bossesPour tout dire, s’il retrouvait l’Irlande, il ne retrouvait pas les Irlandais.Il s’apprêtait à continuer sa route, lorsqu’un gars costaud lui demanda, en montrant l’affiche de la réunion de boxe :— Vous croyez que ça sera un beau match ?— J’en suis persuadé…Je n’ai jamais vu le gars de SLICO, mais il faudra qu’il soit fort, pour tenir devant Sean LACKAN.— Vous pensez ça hein ? Eh bien ! Moi je vous dis que votre LACKAN, on le verra étendu sur le ring avant même qu’il se rende compte de ce qui lui est arrivé !— Ça m’étonnerait !— Ça vous étonnerait ? Et ça, est-ce que ça vous étonne ? Cueilli de plein fouet par un magnifique crochet du droit, EGAN s’en fut s’écraser le long du mur contre lequel son dos glissa jusqu’à ce que son derrière soit arrivé sur le trottoir. Immédiatement, des hommes s’attroupèrent et commentèrent l’affaire.Dans le brouillard léger l’empêchant de prendre une claire notion des choses, O’MEARA entendait des réflexions :— Pour une belle droite, c’est une belle droite !
Quand Mario reviendra
Exbrayat, Charles
— Luciano, j'ai une mauvaise nouvelle pour toi.— Ah ?... Je t'écoute.— Il s'agit de ta belle-fille.— Laquelle— Agantina— Qu'a-t-elle fait ?— On lui a fait plutôt... Tiens-toi bien, Luciano, on a... enfin, on a osé...Sans élever la voix, don Luciano dit :— On a osé quoi ?— L'assassiner !
Vous souvenez vous de Paco ?
Exbrayat, Charles
L’inspecteur Miguel Lluji hait la racaille du Barrio Chino.Mais surtout, il hait Ignacio Villar, le caïd intouchable. Cela tourne même à l’obsession. Si Villar disparaissait, Barcelone respirerait mieux.C’est Villar qui a éventré le père de Miguel au cours d’une rafle.C’est encore lui qui a égorgé Paco, ce petit truand que l’inspecteur avait pris sous son aile, espérant l’arracher à la pègre… un peu comme s’il avait été son fils. Alors cette fois, Miguel est prêt à tout sacrifier pour avoir la peau de Villar : sa carrière, sa liberté, sa vie…Les assassins auront à se souvenir de Paco…