La bibliothèque de Patrick
home

La bibliothèque de Patrick

3 - Frank Herbert
Herbert, Frank
Le livre d'or de la S.F. [3]: Frank Herbert (1920-1986) est entré dans la légende avec le cycle de Dune, mais son œuvre très riche ne saurait se ramener à cette série fameuse. Il pousse à la limite le pouvoir essentiel de la S.F., celui de « faire monde », parce qu'il a une imagination fertile et qu'il maîtrise ses rêves au point de leur donner une étonnante cohérence. Par sa carrure littéraire, il ne se compare qu'aux plus grands : il a l'ampleur visionnaire de Dante, l'inquiétante profondeur de Dostoïevski, l'art de multiplier les points de vue jusqu'au plus épais mystère comme Faulkner. Il voit dans l'avenir une violence sans fin et sans issue : la science et la religion ne sont que des armes dans la lutte pour le pouvoir, et le progrès asservit l'homme. Les héros sont dangereux et les super-héros catastrophiques ; les gens doivent sortir de l'illusion, rencontrer leur propre désert et se prendre en charge. Ils doivent utiliser plus judicieusement leurs ressources naturelles (par l'écologie), leur énergie sexuelle (par la génétique) et leur énergie psychique (par la psychanalyse). Mais comment amener l'humanité à sa majorité ? La libération implique une part de contrôle et le libérateur peut devenir tyran. Herbert lui-même a été pris pour un prophète et il en a souffert : à ses yeux, le surhumain n'est qu'un épanouissement de l'humain. Rien de plus.
5 - Robert Silverberg
Silverberg, Robert
Le livre d'or de la S.F. [5]:
7 - John Brunner
Brunner, John
Le livre d'or de la S.F. [7]: Au début des années 70, les Français découvraient John Brunner (né en 1934), dont les nouvelles et les romans traduits n'avaient pas fait encore beaucoup de bruit. Tous à Zanzibar, couronné par le prix Apollo en 1973, après le Hugo en 1969, le classait parmi les très grands de la S.F. moderne, ce qu'il confirmait par d'autres fresques des lendemains qui déchantent : l'Orbite déchiquetée, La ville est un échiquier, le Troupeau aveugle, Sur l'onde de choc, tout en révélant d'autres richesses – rapports de l'homme avec la société à travers la femme dans À l'ouest du temps, avec la nature à travers les mythes dans la Planète folie. Aujourd'hui, avec derrière lui plus de 80 volumes, John Brunner semble marquer une pause : bonne occasion pour faire le point sur une oeuvre d'une diversité étonnante.
8 - Philip K. Dick
Dick, Philip K.
Le livre d'or de la S.F. [8]: Philip Kindred Dick est l'auteur d'une série de chef-d'œuvres comme Ubik ou Le Dieu venu du Centaure. Né en 1928 à Chicago, Dick déploie dans ses livres une qualité de vision quasi hallucinatoire digne des plus grands peintres de l'imaginaire. Sa première nouvelle sort aux Etats-Unis en 1952 dans la revue Planet. Sa première récompense littéraire vient dix ans plus tard avec Le Maître du Haut-Château qui remporte le Hugo à la convention mondiale de SF. La France le consacrera définitivement après 1968.     Cette anthologie – constituée de textes inédits de toutes les périodes de son œuvre – tente de tracer un portrait fidèle de l'écrivain à travers ses thèmes favoris et ses paysages de mort.1 - Marcel THAON, Labyrinthe de mort : quelques réflexions sur la vie et l'œuvre de Philip K. Dick, pages 5 à 36, Préface2 - Payer l'imprimeur ! (Pay for the Printer), pages 38 à 63, trad. Marcel THAON3 - La Planète impossible (The Impossible Planet), pages 64 à 77, trad. Marcel THAON4 - Définir l'humain (Human Is), pages 78 à 97, trad. Marcel THAON5 - La Petite ville (Small Town), pages 100 à 122, trad. Marcel THAON6 - Le Banlieusard (The Commuter), pages 123 à 141, trad. Marcel THAON7 - Jeu de malchance (A Game of Unchance), pages 142 à 172, trad. Marcel THAON8 - Dans la coque (Shell Game), pages 174 à 196, trad. Marcel THAON9 - Souvenir-écran (Recall Mechanism), pages 197 à 222, trad. Marcel THAON10 - Méfiez-vous les uns des autres (Misadjustment), pages 223 à 249, trad. Marcel THAON11 - Rendez-vous hier matin (Your Appointment Will Be Yesterday), pages 252 à 282, trad. Marcel THAON12 - Une sinécure (Top Stand-By Job / Stand-By), pages 283 à 311, trad. Marcel THAON13 - Au temps de poupée Pat (The Days of Perky Pat), pages 312 à 350, trad. Marcel THAON14 - Bibliographie de Philip K. Dick (1952-1978), pages 351 à 360, Bibliographie
9 - La citadelle écarlate
Collectif
Le livre d'or de la S.F. [9]: Entre la science-fiction et le roman d'aventures, le fantastique et l'utopie, l'Epopée fantastique (« Heroic Fantasy ») nous livre la quintessence du rêve : mondes et temps parallèles, dieux et démons, magiciens et sorciers, héros, princesses et monstres... Littérature des origines, mais aussi littérature d'aujourd'hui parce que nous avons besoin de ses visions inquiétantes ou gratifiantes, de ses excès et de ses outrances. Elle est présentée ici en plusieurs volumes enrichis de nombreuses illustrations. Après le Manoir des roses, recueil de textes tendres et précieux, la Citadelle écarlate réunit des récits au ton plus sombre et plus violent, où des guerriers farouches luttent par le fer et par le feu contre les monstres les plus horribles et les sorcelleries les plus noires. Bon voyage pour les pays d'où l'on ne revient pas !Au sommaire :1 - Marc DUVEAU, L'Épopée fantastique – Introduction générale2 - Marc DUVEAU, La Citadelle écarlate - préface3 - Clark Ashton SMITH, Yondo (The abominations of Yondo4 - Roger ZELAZNY, Les Cloches de Shoredan (The bells of Shoredan)5 - Robert E. HOWARD, Le Crâne du silence (The Screaming Skull of Silence)6 - Clark Ashton SMITH, Memnons de la nuit (Memnons of the Night)7 - Lyon Sprague DE CAMP, Kâ le terrifiant (Ka the Appalling)8 - Fritz LEIBER, La Tristesse du bourreau (The Sadness of the Executioner)9 - Robert E. HOWARD, Clair de lune sur un crâne (Moonlight on a Skull)10 - Lin CARTER, Le Gardien de la flamme émeraude (Keeper of the Emerald Flame)11 - John W. JAKES, Les Fantômes de pierre (Ghosts of Stone)12 - Michael MOORCOCK, Le Retour du dieu mort (Dead god's homecoming)13 - Robert E. HOWARD, Ninive, mais où sont tes rêves d'autrefois (Dreams of Nineveh)14 - Herbert George WELLS, La Plaine des araignées (The Valley of Spiders)15 - Clark Ashton SMITH, Le Désert désolé de Soom (The Desolation of Soom)16 - Robert E. HOWARD, Cimmérie (Cimmeria)17 - Robert E. HOWARD, La Citadelle écarlate (The Scarlet Citadel)18 - Dictionnaire des auteurs19 - Marc DUVEAU, A propos de Conan et des Marvel Comics
12 - C. Moore & H. Kuttner
Kuttner, Henry and Moore, Catherine L.
Le livre d'or de la S.F. [12]: Henry KUTTNER (1914-1958) a écrit plus de 200 nouvelles etprès d’une vingtaine de romans, la plupart en collaboration avec C.-L. Moore qu’ilépouse en 1940. Parmi les dix-sept pseudonymes utilisés par Henry Kuttner etCatherine L. Moore, les plus connus sont ceux de Lewis Padgett (Deadlock, leTwonky, Tout smouales étaient les Borogroves) et de Lawrence O’Donnell (Vénuset le Titan).Née en 1911, Catherine MOORE aborde la S.F. avec Shambleau,publié dans « Weird Tales » en 1933, qui la classe d’emblée au toutpremier rang. Elle signe avec Henry Kuttner la série des Mutants (1945-1953)et celle de Galleher Galloway. Sous son nom propre elle donne encore laNuit du jugement (1943) et, après la mort d’Henry Kuttner, la DernièreAube.Alain Dorémieux est né en 1933. Rédacteur en chef de Fictionde 1958 à 1974, il fut alors – et de loin – l’homme le plus influent de lascience-fiction, choisissant les textes à publier, surveillant les traductionsdes œuvres étrangères, conseillant les auteurs français. Son goût du travailbien fait, son intransigeance lui ont valu beaucoup d’admirateurs et un certainnombre d’ennemis. Depuis 1971, il s’est retiré à Biarritz et son activité s’estconcentrée sur des anthologies qu’il fignole et souvent traduit lui-même, généralementpubliées chez Casterman. Son exceptionnel talent s’est également exprimé dansde trop rares nouvelles, relevant tantôt du fantastique, tantôt de lascience-fiction, et où se manifeste une sûreté d’écriture peu commune.
14 - A. E. Van Vogt
van Vogt, Alfred E.
Le livre d'or de la S.F. [14]: Anthologie présentée par Patrice Duvic Né le 26 avril 1912 au sud du Winnipeg (Canada), Alfred Elton Van Vogt fut, à sa naissance, avec plus de 14 livres, l'un des plus gros bébés du monde. Parvenu au sommet de sa gloire, il demeure assurément - avec plus de 30 romans ou recueils de nouvelles - l'un des auteurs de science-fiction les plus imposants. Dès 1947, un sondage révèle qu'il est, aux État-Unis, l'écrivain le plus populaire dans sa spécialité, et il ne tarde pas à devenir, en France, l'auteur de fiction le plus abondamment traduit et le plus lu. Tous ceux qui s'intéressent au "phénomène Van Vogt" - à l'homme, à ses livres, à ses exploits, à son public - trouveront ici, dans les nouvelles, souvent inédites, rassemblées par Patrice Duvic, l'explication cohérente et convaincante qu'ils attendaient.
15 - Michel Jeury
Jeury, Michel
Le livre d'or de la S.F. [15]: Pour le profane comme pour l'amateur éclairé, le nom de Michel Jeury évoque immédiatement les aspects les plus novateurs et les plus audacieux de la science-fiction française contemporaine. Lauréat du Prix Jules-Verne en 1960 sous le pseudonyme d'Albert Higon, il obtient en 1974 le prix du meilleur roman français de science-fiction pour le Temps incertain qui, avec les Singes du temps puis Soleil chaud, poisson des profondeurs, consacre désormais sa place « sur le premier rayon » aux cotés de Philip Dick et de John Brunner. Il revenait presque de droit à son ami Gérard Klein de présenter au public, dans la magistrale étude qui introduit la présente anthologie, cette oeuvre majeure de notre temps.
16 - Isaac Asimov
Asimov, Isaac
Le livre d'or de la S.F. [16]: Isaac Asimov est né en 1920 en Russie, et vit aux Etats-Unis depuis l'âge de trois ans. Il publia sa première nouvelle à l'âge de dix-neuf ans et poursuivit parallèlement des études qui le menèrent au doctorat de biochimie. Dans les années quarante, sa nouvelle Crépuscule, sa série des robots et son cycle de Fondation le hissèrent au tout premier plan des auteurs de S.F. Puis le vent tourna : il se spécialisa dans la vulgarisation scientifique, où il a conquis une notoriété mondiale, ce qui ne l'a pas empêché, à l'occasion, de revenir à ses premières amours. Pour lui, la S.F. est un jeu intellectuel : il adore poser des règles et les transgresser en tapinois. Amateur d'énigmes et d'humour, le « bon docteur » se situe a mi-chemin de Verne et d'Agatha Christie. De là, sans doute, son immense popularité.
16 - Robert Sheckley
Sheckley, Robert
Le livre d'or de la S.F. [16]: Robert Sheckley est l'un des très grands écrivains de la science-fiction américaine contemporaine. On a dit de lui qu'il était un peu le Mark Twain du XXe siècle et l'incontestable vérité de ce rapprochement rend hommage à son incomparable talent. Né en 1928, il fait ses débuts en 1952. Ses idées fulgurantes, ses sous-entendus ironiques, font de lui l'un des maîtres de la nouvelle. Il est également l'auteur de romans comme Oméga, Echange standard, Le Temps meurtrier, où son humour noir, son goût du sarcasme et son sens de la terreur composent un climat tout à fait personnel.
17 - Christopher Priest
Priest, Christopher
Le livre d'or de la S.F. [17]: Préface : Les îlots obsessionnels de Christopher Priest par Marianne LeconteLa tête et la main (The Head and the Hand, 1971) trad. Henry-Luc PlanchatLe monde du temps-réel (Real-Time World, 1972) trad. France-Marie WatkinsL'été de l'infini (An Infinite Summer, 1976) trad. Sonia FlorensLe regard (The Watched, 1978) trad. M. MathieuLa négation (The Negation, 1978) trad. M. MathieuEt j'erre solitaire et pâle (Palely Loitering, 1979) trad. M. Mathieu. Mathieu
17 - Le monde des chimères
Collectif
Le livre d'or de la S.F. [17]: Entre la science-fiction et le roman d'aventures, le fantastique et l'utopie, l'Epopée fantastique (« Heroic Fantasy ») nous livre la quintessence du rêve : mondes et temps parallèles où se mêlent et s'affrontent civilisés et barbares, dieux et démons, magiciens et sorciers, héros, merveilles et monstres... Littérature des origines, mais aussi littérature d'aujourd'hui parce que nous avons besoin de ses visions inquiétantes ou gratifiantes. Elle est présentée ici en plusieurs volumes enrichis de nombreuses illustrations. Après le rêve et la tendresse du Manoir des roses, les guerriers et les sorcières de la Citadelle écarlate, voici avec le Monde des chimères des récits dus aux écrivains de la nouvelle génération. Explorations d'univers intérieurs, passions romantiques, affinités pour les dieux et la magie, ton décadent ou baroque, tout évoque la sensibilité la plus actuelle.
18 - La cathédrale de sang
Collectif
Le livre d'or de la S.F. [18]: Entre la science-fiction et le roman d'aventures, le fantastique et l'utopie, l'Epopée fantastique (« Heroic Fantasy ») nous livre la quintessence du rêve : mondes et temps parallèles où se mêlent et s'affrontent civilisés et barbares, dieux et démons, magiciens et sorciers, héros, merveilles et monstres... Littérature des origines, mais aussi littérature d'aujourd'hui, parce que nous avons besoin de ses visions inquiétantes ou gratifiantes. Elle est présentée ici en plusieurs volumes d'inspiration très diverse. Après le rêve et la tendresse du Manoir des roses, les guerriers et les sorcières de La Citadelle écarlate, la décadence, le romantisme et la folie du Monde des Chimères, voici quelques voyages aux confins de l'espace ou du temps, là où se rejoignent et se heurtent science et magie, opéra de l'espace et théâtre de l'horreur. 1 - Marc DUVEAU, L'Épopée fantastique 2 - Marc DUVEAU, La Cathédrale de sang 3 - Alan Burt AKERS, Le Magicien de Scorpio 4 - Otis Aldebert KLINE, Une vision de Vénus 5 - Bruce JONES, L'Orgueil de la Flotte 6 - Harlan ELLISON, Le Jour où les pierres... 7 - Dean R. KOONTZ, Quand viennent les dragons 8 - Mark S. GESTON, La Citadelle 9 - Edmond HAMILTON, Le Crépuscule du monde 10 - Leigh BRACKETT, La Forteresse des temps perdus 11 - Jack VANCE, Les Faiseurs de miracles 12 - Ursula K. LE GUIN, Les Maîtres 13 - Dictionnaire des Auteurs
19 - James Tiptree
Tiptree, James
Le livre d'or de la S.F. [19]: La signature de James Tiptree, jr. apparaît en 1968. Quelques années plus tard, alors qu'il était devenu célèbre, on apprit que Tiptree était le pseudonyme d'Alice Sheldon, née en 1915. Un auteur moderne ? Certes ses récits sont d'une grande hardiesse sexuelle. Mais il y a beaucoup plus. Un petit bonhomme qui fait un petit boulot bien gris — mais qui un jour rejette tout et s'embarque pour les étoiles. Un enfant rêveur et solitaire qui vit au-delà de toute limite. Une rencontre avec l'extraterrestre, l'alien, si différent qu'on ne peut ni communiquer avec lui ni même jouir de lui. Une nostalgie du home perdu et une aspiration au retour d'exil impossible à satisfaire. Les rêves se réalisent, mais à quel prix ! Tiptree entre en contact avec cette voix au fond de nous qui se fait entendre au milieu de la nuit, chantant tour à tour le cauchemar, la quête d'un ailleurs immatériel et le repos de l'âme.
19 - La 3ème guerre mondiale n'aura pas lieu
Haldeman, Joe
Le livre d'or de la S.F. [19]:  La politique, c'est la guerre continuée par d'autres moyens, disait à peu près Clausewitz. Peut-on éviter la guerre ? Joe Haldeman, un ancien du Vietnam, a posé la question à dix écrivains. Il a obtenu d'étonnantes réponses : on pourrait instituer une dictature des machines ; légaliser l'assassinat ; canaliser l'agressivité par des rêves belliqueux provoqués, ou par un théâtre guerrier ; ou même inoculer aux hommes des maladies endémiques, pour les calmer un peu. Et si ça ne suffit pas, il y aura toujours des gens pour faire la guerre tout seuls contre la société entière, avec les procédés de la technologie future.     Asimov, Ellison, Damon Knight et bien d'autres, y compris Haldeman lui-même, s'en sont donné à coeur joie.1 - Joe HALDEMAN, Introduction, pages 9 à 14, Introduction, trad. Hélène BOUBOULIS2 - Harlan ELLISON, Basilic (Basilisk), pages 15 à 34, trad. Bruno MARTIN3 - Ben BOVA, La Machine à duel (The duelling machine), pages 35 à 99, trad. Hélène BOUBOULIS4 - Poul ANDERSON, Nous vivrons les temps d'avant le talion (State of Assassination / A Man to My Wounding), pages 100 à 122, trad. Nathalie DUDON5 - Harry HARRISON, Assistance (Commando raid), pages 123 à 134, trad. Nathalie DUDON6 - George Alec EFFINGER, La Loi du spectacle (Curtains), pages 135 à 154, trad. Nathalie DUDON7 - Mack REYNOLDS, Le Mercenaire (Mercenary), pages 155 à 213, trad. Hélène BOUBOULIS8 - Damon KNIGHT, Le Royaume de Dieu (Rule golden), pages 214 à 295, trad. Nathalie DUDON9 - William NABORS, L'État de paix ultime (The state of ultimate peace), pages 296 à 305, trad. Hélène BOUBOULIS10 - Isaac ASIMOV, Avec les chiffres (By the numbers), pages 306 à 317, trad. Hélène BOUBOULIS11 - Joe HALDEMAN, A Howard Hughes : une modeste proposition (To Howard Hughes : a modest proposal), pages 318 à 336, trad. Hélène BOUBOULIS
20 - Jack Vance
Vance, Jack
Le livre d'or de la S.F. [20]: Jack Vance, né en 1916, a été marin et reste un grand voyageur. Tout ses romans sont des invitations aux plus lointains voyages dans l'espace et dans le temps. Ethnologue de l'impossible, il brosse des tableaux complets des cultures rencontrées à chaque escale ; sa fantaisie ne recule devant aucune excentricité. On pourrait dire de lui ce qu'il a dit d'un de ses héros : « Son imagination fut à la fois un don et une malédiction. Une vie ne lui suffisait pas. » Dédaigné par les cartésiens, il a été remis à sa vraie place et beaucoup de jeunes auteurs pratiquent à son exemple le « nouveau space opera ». On le connaît surtout par ses grands cycles comme la Geste des Princes-Démons et les Chroniques de Durdane, mais il a été jusqu'en 1965 un spécialiste de la longue nouvelle, comme en témoigne ce Livre d'or.
20 - Science-fiction allemande
Collectif
Le livre d'or de la S.F. [20]: "S.F made in Germany", par Daniel WaltherKurd Laszwitz, Sur la bulle de savon ** Auf der seifenblase (1887)Paul Scheerbart, Rakkox le milliardaire ** Rakkox der billionär (1900)Walter Ernsting, La bombe solaire ** Die sonnenbombe (1966)Ernst Vlcek, La belle et la bête ** Das unbekannte wesen (1979)William Voltz, Anatomie de la peur ** Alphabet des schreckens (1979)Herbert W. Franke, Les enclaves ** Die enklaven (1972)Peter Von Tramin, Le conseiller du dessous ** Der Kanarlat (1960)Wolfgang Jeschke, Les autres ** Die anderen (1970)Herbert W. Franke, Les grandes manoeuvres ** Das manöver (1977)Alfred Andersch, Une mission pour Lord Glouster ** Ein auftragfür Lord Glouster (1958)Hermann Ebeling, Projet N.O.E. ténèbres et azur ** N.O.A.H. himmelblau und schwarz (1978)Reinhard Merker, L'île ** Die insel (1974)Gerd Maximovic, Premier amour ** Erste liebe (1962)Harald Buwer, Autoexpérimentation ** Selbstversuch (1974)Gerd Ulrich Weise, Epines de lumière ** Lichtdornen (1975)Gerhard Zwerenz, La démonstration ** Die demonstration (1977)A propos des auteurs
22 - Alain Dorémieux
Dorémieux, Alain
Le livre d'or de la S.F. [22]: Préface par Jean-Pierre Andrevon : Préface à faceLe chemin sur la route, Fiction, n°6, mai 1954Le crâne, Fiction, n°14, janvier 1955. Repris dans Histoires d’objets maléfiques.Rêver un homme, Fiction, n°24, novembre 1955.La nuit du Vert-Galant (sous le pseudonyme de Daniel Meauroix), Fiction, n°52, mars 1958.La Vana, Fiction spécial, n°1 1959. Repris dans Les chefs-d’œuvre de l’érotisme (Jacques Sternberg et Alex Grall anthologistes), Planète, 1964. Repris dans Mondes interdits, Éric Losfeld, 1967.Journal d’une jeune fille du XXVe siècle, Mondes interdits, Éric Losfeld, 1967. Repris dans Plexus, n°16, septembre 1968. Repris dans Ce qui vient des profondeurs (Gérard Klein et Jacques Goimard anthologistes), Seghers, 1977.Fugue, Fiction, n°77, avril 1960.L’habitant des étoiles, Fiction, n°80, juillet 1960. Repris dans Mondes interdits, Éric Losfeld, 1967. Repris dans En un autre pays (Gérard Klein anthologiste), Seghers, 1976.Le chemin, inédit (1960).L’autre, inédit (1962).Seuls toi et moi, mon amour (sous le pseudonyme de Daniel Meauroix), Fiction, n°119, octobre 1963.La femme modèle (sous le pseudonyme de Luc Vigan), Fiction spécial, n°5, 1964. Repris dans Mondes interdits, Éric Losfeld, 1967.L’objet de l’amour (sous le pseudonyme de Luc Vigan), Fiction, n°131, octobre 1964. Repris dansMondes interdits, Éric Losfeld, 1967.Sur un air de fête, Mondes interdits, Éric Losfeld, 1967. Repris dans Plexus, n°16, septembre 1968.Quel cataclysme ? (sous le pseudonyme de Daniel Meauroix), Fiction, n°130, septembre 1964. Repris dans Promenades au bord du gouffre, Denoël, coll. Présence du Futur, 1978.Le temps de la vengeance, Fiction spécial, n°12, 1967 : SF made in France.L’heure du passage, Mondes interdits, Éric Losfeld, 1967. Repris dans Plexus, n°16, septembre 1968.Deux personnages dans un paysage vide, dans Retour à la Terre 3 (Jean-Pierre Andrevon, anthologiste), Denoël 1977, coll. Présence du Futur.Prisonnier des femmes-insectes dans Promenades au bord du gouffre, Denoël, 1978, coll. Présence du Futur.
27 - Richard Matheson
Matheson, Richard
Le livre d'or de la S.F. [27]: 1 - Daniel RICHE, Itinéraire de l'angoisse2 - Journal d'un monstre (Born of Man and Woman)3 - La Chose (The thing)4 - Les Déséritiers (The disinheritors)5 - Paille humide (Wet straw)6 - Le Dernier jour (The last day)7 - Lazare n°II (Lazarus II)8 - L'Homme qui a fait le monde (The Man who Made the World)9 - Le Zoo (Being)10 - Le Test (The test)11 - Le Conquérant (The conqueror)12 - Funérailles (The funeral)13 - Moutons de Panurge (Lemmings)14 - Le Distributeur (The Distributor)15 - Rien de tel qu'un vampire (No Such Thing As a Vampire)16 - Deadline (Deadline)17 - Le Pays de l'ombre (From shadowed places)18 - Appuyez sur le bouton (Button, Button)19 - Bobby (Bobby)20 - Ce que je crois (What I believe)
29 - Arthur C. Clarke
Clarke, Arthur C.
Le livre d'or de la S.F. [29]: Arthur C. Clarke, né en 1917 en Angleterre, s'est élevé au rang de premier écrivain de science-fiction et de vulgarisation scientifique. Depuis une dizaine d'années, il a, dans sa retraite exotique de Ceylan, beaucoup réduit sa production, ne publiant plus guère que les trois grands romans qui lui avaient été commandés après le succès mondial de 2001 en 1968: Rendez-vous avec Rama, Terre, planète impériale et Les fontaines du paradis. Il est donc aujourd'hui possible d'avoir une vision d"ensemble de son oeuvre. Ce Livre d'or a un double but : faire connaître un certain nombre de nouvelles que les trois recueils parus en France sont loin d'avoir épuisées ; et tenter de cerner une personnalité plus complexe qu'on ne l'imagine généralement, puisqu'elle allie le rationalisme le plus exigeant à un sens du mystère parfaitement irréductible.
30 - Science-fiction italienne
Collectif
Le livre d'or de la S.F. [30]: L'Italie est une terre de grandeculture. C'est aussi un pays où l'américanisation (y compris en S.-F.) est plusagressive qu'en France. Les auteurs italiens, contraints de prendre despseudonymes anglo-saxons, y ont puisé le vif désir de retrouver leur identiténationale. Ils n'aiment ni les miracles de la technologie ni le vertige desextrapolations, mais le récit et les personnages. Ils n'aiment ni les normes nila banalité, mais les gens et la liberté. Liberté de sortir des cadres de laS.-F. et d'y rentrer à leur guise. Liberté de porter des masques bariolés,comme au temps de la commedia dell'arte, et de se réfugier dans le jeu et lasimulation, pour oublier un peu les menaces très réelles qui les cernent. Il nefaudrait pas creuser bien loin dans le rêve pour y trouver le désespoir etl'amertume. La S.-F. italienne est un théâtre fragile, au bord de l'apocalypse.1 - Jean-PierreFONTANA, Unequête de l'identité2 - Jean-PierreFONTANA, Quelquesavis sur la S.-F. italienne3 - MaurizioVIANO, LesAnnées d'attente4- AnnaRINONAPOLI, Ministrede nuit5- GiuseppePEDERIALI, LesBelles filles de madame Doré6- SandroSANDRELLI, Untryptique pour nos frères7- LinoALDANI, Trente-septdegrés centigrades8- RobertoVACCA, LeDernier Pape9- UgoMALAGUTI, Propossur Londres et quelques crimes10- VittorioCURTONI, L'Explosiondu Minotaure11- PieroPROSPERI, LaFin de l'âge d'or12- LivioHORRAKH, Oùmeurt l'Astragale13- RenatoPESTRINIERO, LesHommes des tableaux14- VittorioCATANI, Dansla boule de cristal15- MauroAntonio MIGLIERUOLO, Circé16- GianniMONTANARI, LaLogique du murex17- Dictionnairedes auteurs
34 - Brian Aldiss
Aldiss, Brian W.
Le livre d'or de la S.F. [34]: Le livre d’or de la science-fiction Le « livre d’or » présente le panorama complet de la science-fiction classique et moderne à travers les œuvres, les écoles et les genres qui ont marqué son évolution. • Chaque volume est consacré à un auteur ou à un domaine particulier, dont il regroupe les nouvelles les plus fulgurantes, les plus illustres ou les plus significatives. • Un grand nombre de textes présentés dans le « livre d’or » sont inédits en français. • Chaque volume est en outre enrichi d’une préface, d’une étude bibliographique approfondie et de nombreuses notices demandées aux meilleurs spécialistes. Le « livre d’or », c’est la “bibliothèque idéale” de l’amateur de science-fiction. Brian W. Aldiss est né en 1925 et a publié son premier texte en 1955. Écrivant à la fois de la S.F. et de la littérature générale, il était bien placé pour échapper aux contraintes des genres, et c’est avec lui que la S.F. anglaise est devenue une littérature ambitieuse. Des romans comme <em>Croisière sans escale, le Monde vert, Barbe-Grise et Frankenstein délivré</em> ont fait de lui une gloire nationale : il a même présidé la Société des Auteurs anglaise. Son œuvre évoque le désarroi de l’homme face au mystère de l’univers, l’ampleur vertigineuse du temps et de l’espace, le long travail de l’entropie qui condamne toutes choses à la vieillesse et à la mort, l’incapacité de l’homme à percevoir sa propre insignifiance. Le ton est très varié, du conte philosophique au récit picaresque. Aldiss est l’orfèvre de la S.F. : ses nouvelles sont de vrais bijoux. Au sommaire de ce numéro 34 : Judas dansait (1958)Homme sur pont (1964) Homme en son temps (1965) Trajectoires immobiles (1967) Le Théorème du firmament (1969) Si loin de prague (1969) Sobres bruits du matin dans une contrée marginale (1971) Un vaisseau cher et délicat (1973) Un dollar, ça vaut combien ? (1970) Voyage au coeur du rêve (1976) Une optique chinoise (1978)
37 - Jean-Pierre Andrevon
Andrevon, Jean-Pierre
Le livre d'or de la S.F. [37]: Préface par Patrice DUVIC : La Mort, le réveilLa réserve (Fiction, n° 174, mai 1968)Le Château du dragon (Fiction, n° 207, mars 1971)Un petit saut dans le passé (Voyages dans l’ailleurs, anthologie par Alain Dorémieux, Casterman, 1971)Scant (Repères dans l’infini, “Présence du futur” n° 198, 1975)Neuf déchirures dans la trame de la désespérance quotidienne (Fiction, n° 259/260, juillet-août 1975)Salut, Wolinski ! (Les soleils noirs d’Arcadie, anthologie par Daniel Walther, Opta, “Nébula” n° 1, 1975)Le Dernier dinosaure (Planète socialiste, anthologie de Michel Jeury, Kesselring, “Ici et maintenant”)Quelques chansonsLes Retombées (Dans les décors truqués, Denoël, “Présence du futur” n° 269, 1979)De “A” à “Z” (C’est tous les jours pareil - recueil de textes courts, Le Dernier Terrain Vague, 1977)Le Réseau (Bientôt n° 3, 1981)Le Monde enfin (Utopies 75, “Ailleurs et demain”, 1975) 
39 - Clifford D. Simak
Simak, Clifford D.
Le livre d'or de la S.F. [39]: L'ouvrier agricole tchèque épousa la fille du fermier : c'est ainsi que Clifford D. Simak naquit en 1904, dans un petit village nommé Millville, qui allait devenir le cadre de beaucoup de ses récits. Doyen de la S.F. américaine, il délivre depuis plus d'un demi-siècle un message simple et fort : amour de la nature, tendresse pour les animaux et pour toutes formes de vie, si différentes soient-elles (des robots aux lutins, des extraterrestres aux abstractions symbiotiques). Plus préoccupé de morale que de technologie, il chante le monde ancien que nous avons perdu, la tolérance, la sérénité automnale, les étrangers qui promènent sur nous un autre regard, affirment leur droit à la différence et vous inspirent le désir de vivre en paix avec eux. Peu importe la mort des individus et même des espèces ; ce qui compte, c'est la chaîne de la vie qui est partout.1 - Daniel RICHE, Préface, pages 7 à 22, Préface2 - Le Créateur (The Creator), pages 23 à 51, trad. Nathalie DUDON3 - Courtoisie (Courtesy), pages 52 à 74, trad. Lorris MURAIL4 - L'Immigrant (Immigrant), pages 75 à 137, trad. Lorris MURAIL5 - Mondes sans fin (Worlds without end), pages 138 à 211, trad. Lorris MURAIL6 - Steve et les mi-êtres (No life of their own), pages 212 à 259, trad. Natalie ZIMMERMANN7 - Le Dernier gentleman (Final gentleman), pages 260 à 302, trad. René DURAND8 - L'Épidémie (Unsilent spring), pages 303 à 343, trad. Lorris MURAIL9 - L'Ordinateur qui aimait les étoiles (Byte your tongue !), pages 344 à 367, trad. Lorris MURAIL10 - ANONYME, Bibliographie de Clifford D. Simak, pages 368 à 378, Bibliographie
40 - J.G. Ballard
Ballard, J.G.
Le livre d'or de la S.F. [40]: 1 - Robert LOUIT, Le Chirurgien de l'Apocalypse, pages 7 à 41, Préface2 - L'Homme subliminal (The Subliminal Man), pages 43 à 66, trad. Robert LOUIT3 - L'Homme saturé (The Overloaded Man), pages 67 à 84, trad. Alain DORÉMIEUX4 - Treize pour le Centaure (Thirteen to Centaurus), pages 85 à 115, trad. Robert LOUIT5 - Chronopolis (Chronopolis), pages 116 à 148, trad. Gisèle GARSON & Pierre VERSINS6 - Fin de partie (End-Game), pages 149 à 175, trad. Robert LOUIT7 - Demain, dans un million d'années (Tomorrow Is a Million Years), pages 179 à 194, trad. Lionel MASSUN8 - Le Jour de toujours (The Day of Forever), pages 195 à 217, trad. Robert LOUIT9 - Un assassin très comme il faut (The Gentle Assassin), pages 218 à 237, trad. Guy ABADIA10 - Le Vinci disparu (The Lost Leonardo), pages 238 à 262, trad. Pierre BILLON11 - Perte de temps (Escapement), pages 263 à 280, trad. Bruno MARTIN12 - Le Géant noyé (The Drowned Giant / Souvenir), pages 283 à 297, trad. René LATHIÈRE13 - La Cage de sable (The Cage of Sand), pages 298 à 328, trad. Gisèle GARSON & Pierre VERSINS14 - Les Statues qui chantent (The Singing Statues), pages 329 à 345, trad. Robert LOUIT15 - Amour et napalm : export U.S.A. (Love and Napalm: Export U.S.A.), pages 346 à 351, trad. François RIVIÈRE16 - (non mentionné), Bibliographie de J.G. Ballard, pages 353 à 363, Bibliographie
page suivante (2 sur 2)