Mes hommages à la donzelle Dard, Frédéric
San-Antonio [4]: « Il y a une multitude de choses dont j'ai horreur. Les jeunes filles de plus de quatre-vingt-dix-sept ans, tout d'abord. Le poisson mal cuit, aussi. Puis les liaisons mal à propos ; les ouatères de wagons de seconde classe ; les bitures de Bérurier et les imparfaits du subjonctif de Pinaud. Mais s'il y a une chose qui m'énerve par-dessus tout, qui me file au bord du délirium très mince, c'est qu'on s'asseye sur mon chapeau... surtout au cinéma... surtout quand on l'a fait exprès... surtout quand c'est le dargeot d'un truand qui est l'outrageur... surtout quand tout ça cache le commencement d'une aventure insensée ! » San-Antonio
Messieurs les hommes Dard, Frédéric
San-Antonio [16]: Savez-vous que la pègre vient de s'enrichir d'une nouvelle recrue ? Et pas une demi-portion, croyez-moi ! Du vrai casseur... Du qui file la rouste aux caïds de Pigalle... Du qui se permet de descendre un flic en plein commissariat. Son nom ? Pour Messieurs les hommes, il s'appelle Bernard Tonacci... Ça ne vous dit rien ? Alors, je vais vous en balancer davantage : à la P.J., ce zigoto est plus connu sous le nom de commissaire San-Antonio. Pas de panique... Rassurez-vous, je n'ai pas changé de bord... Mais il faut admettre que tout pourrait le laisser croire au début de ce chef-d'oeuvre.
Mets ton doigt ou j'ai mon doigt Dard, Frédéric
San-Antonio [84]: Quand une polka te demande de mettre ton doigt où elle a son doigt, vas-y, mon Nestor, car il vaut toujours mieux reconnaître le parcours avant la course. Mais quand c'est un ancien pote de la communale qui te balance cette vanne, alors prends tes cliques sous un bras, tes claques sous l'autre, et taille-toi sans en écouter davantage. Tu vois, le tartant, dans notre job, c'est de le prendre au sérieux. De vouloir faire comme si on avait de l'honneur. À force de jouer à ce jeu de con tu finis par en contracter, de l'honneur. Et alors là... Alors, là, fiston, t'es promis à toutes les rémoulades ! Les cimetières sont bourrés de mecs qui en avaient trop. Et cependant, le Vieux m'avait bel et bien ordonné de tout laisser tomber. L'ennui, c'est que je me suis dit “Laisser tomber quoi ?” Tu comprends ? Non ? Ben alors, lis !
Meurs pas, on a du monde Dard, Frédéric
San-Antonio [104]: Franchement, M. Konopoulos ne me demandait rien. D'ailleurs, je n'étais pas venu à Genève pour ça. La sublime nana qui m'attendait à l'aéroport avait une autre chatte à fouetter. Mais il a fallu que ce pauvre manutentionnaire soit mordu par un méchant serpent et que son aimable cadavre déboule en même temps que nos valises... C'est idiot pour Marie-Marie qui, consécutivement, a dû faire une croisière en ambulance ! Mais alors, si tu avais vu nos frimes quand on a déballé l'abominable costume ! Enfin, tu m'as compris ? Si tu as tout pigé, pas la peine d'acheter ce livre. Mais s'il te reste des zones obscures dans la comprenette, n'hésite pas. Quand tu en auras terminé la lecture, j'aime autant te prévenir : tu devras changer de calbar. Car, on a beau dire, mais il s'en passe des choses, en Suisse !
Moi, vous me connaissez ? Dard, Frédéric
San-Antonio [76]: Des nuits comme celle-là, je vous jure…Y a qu’à Paname qu’on en rencontre ! Et encore, faut attendre minuit.Pourtant, ça démarrait plutôt pas mal. Moi, vous me connaissez ? Je me voyais déjà plonger dans les transports en commun en compagnie de la môme Rébecca… Je lui mijotais un programme de gala, avec une cargaison de frissons tous plus voluptueux les uns que les autres.Remarquez, des frissons y en a eu au cours de cette sacrée nuit !Et pas qu’un peu !Seulement, ça n’était pas ceux que j’escomptais. Lorsqu’il s’est mis à pleuvoir de la viande froide, j’ai drôlement regretté d’être sorti sans pébroque.Heureusement que Berthe Bérurier m’accompagnait. Parce qu’avec une Jeanne d’arc de deux tonnes, vous me direz ce que vous voudrez mais on se sent moins seul !Paru en 1971
Mon culte sur la commode Dard, Frédéric
San-Antonio [100]: Mon culte, il existe, non ? Et, parce qu'il existe, une bande de CONservateurs en prennent ombrage, le foutent sur la commode ; mais qui est-ce qui va l'avoir dans le culte ? Devine.
Monsieur 34 Dard, Frédéric
Wel Norton [1]: Spécialiste du chiffre, Michael Strong travaille dans une usine d’armement. Il rédige des cryptogrammes ultrasecrets issus de la transcription de notes chiffrées par des savants. Sa vie tranquille et sans histoires bascule le jour où il rencontre Barbara, une femme envoûtante dont les exigences et le train de vie engloutissent le contenu de son compte en banque, la totalité de ses économies, la maison de ses parents, et le couvrent de dettes. Strong touche le fond et est prêt à tout pour s’en sortir. Même à trahir. Un soir, il est approché par un dénommé Prince, qui connaît parfaitement ses besoins et lui propose le gros lot : le mettre en rapport avec un mystérieux Monsieur 34 qui désire savoir ce qui se passe dans l’usine… et déchiffrer les cryptogrammes. Si l’opération aboutit, sa fortune sera faite. Heureux et effrayé à la fois, Strong court rejoindre sa maîtresse et, pour oublier son aventure, l’entraîne dans un club. En sortant, le chasseur lui remet une enveloppe : elle contient une photo le représentant en train de prendre les billets que Prince lui tend… Dès cet instant, il devient l’instrument d’une force secrète et terrible à laquelle il ne peut plus échapper.
Morpions circus Dard, Frédéric
San-Antonio [113]: Moi, tu me connais ? Une âme de fer dans un corps sain ; une main de velours dans un corsage. Tout dans la tête pour garder les mains libres. Principal défaut ? Raffole des gonzesses sans distinction d'âge ni de confession. Principale qualité ? Les fait reluire. Signe distinctif ? A horreur des cons. Mais tu peux rester. Et prendre connaissance de ce plaisant ouvrage. Tu y trouveras : la moutarde de la polissonnerie, l'oeuf de l'action et l'huile de la volupté. Si tu remues bien le tout, tu obtiendras une succulente mayonnaise. Elle donnera un peu de goût à ta vie insipide. Allez, viens !
N'en jetez plus ! Dard, Frédéric
San-Antonio [75]: « Monsieur le Président de la République, Monsieur le Premier Ministre, Monsieur le Président du Sénat, Monsieur le Président de l'Assemblée Nationale, Messieurs les Membres du Gouvernement, Messieurs les Députés, Messieurs les Sénateurs, Messieurs les Membres du Conseil Constitutionnel, Mesdames, Messieurs et Divers, permettez-moi, en ma qualité de citoyen français nanti d'une carte d'électeur en état de marche et d'ex-abonné d'honneur au Gaz de France, de vous poser respectueusement les questions ci-dessous : Avez-vous déjà vu mon Bérurier, que dis-je ! votre Bérurier, se muer tour à tour en rabbin, en pilote de ligne et en saint Jean-Baptiste ? Avez-vous déjà lu la correspondance qu'il adresse à notre Sainte Paire le Pape ? M'avez-vous vu sauver de la fange, de la mort, et du déshonneur, l'un des Français les plus prestigieux de notre hexagonerie ? Non, n'est-ce pas ? C'est bien ce que je pensais. Alors qu'attendez-vous pour lire ce livre ? Hmmm ? »
Napoléon Pommier Dard, Frédéric
San-Antonio Hors-série [9]: Ils sont tous là : San-Antonio, Marie-Marie et leur petite Antoinette, Sa Majesté Napoléon IV, alias Béru, et son Impératrice, la grosse Berthe, Pinaud, le vieux Lion de l’Atlas, Jérémie Blanc, aux prises avec Monosperme, le dévoyé de la famille, Mathias, le magicien du labo, M. Félix, la plus grosse queue de France et des départements d’outre-mer, Félicie et sa blanquette de veau.Et aussi : des trafiquants de came, des tueurs à gages, des tueurs sans gages, des oies blanches bonnes à plumer, des journalistes pourris, des princes criminels, sans omettre Salami, le chien surdoué.San-Antonio vous les offre pour l’An 2000, dans un ouvrage au rythme frénétique où vous trouverez le rire, la gaudriole, le délire à vous en faire éclater la rate et les testicules !
Ne mangez pas la consigne Dard, Frédéric
San-Antonio [43]: L'homme cagoulé est en train d'affûter la lame courbe d'un cimeterre. Le cimeterre marin dont causait Valéry. Ce cimeterre-là va m'expédier au cimetière en deux temps et pas un mouvement. Il l'aiguise sur une vraie meule. Une meule électrique, siouplaît, ce qui m'inciterait à penser que nous somme dans un atelier.
Ne soldez pas grande mère elle brosse encore Dard, Frédéric
San-Antonio [170]: La nouvelle est tombée, sèche comme un coup de bite d'octogénaire : il n'existe, dans notre bon vieux système solaire, aucune planète habitée en dehors de la nôtre ! Je le pressentais, mais ça fait tout de même un choc. Nous sommes juste quelques milliards de glandus à nous branler les cloches sur une boule minuscule perdue dans l'immensité sidérale. Ca te remonte pas les testicules à la place des amygdales, toi ? Les gens existent et sont cruels ! Comment se peut-ce ? Je te prends les personnages de ce livre… Des démons vivants ! Des sadiques ! Des sanguinaires ! A sulfater tout crus ! A empiler dans une fosse emplie de chaux vive ! Les frangines pires que les matous ! Te sucent le pénis, mais te bouffent les roustons à pleines chailles ! Se laissent baiser pour mieux te véroler l'existence ! Comparé à elles, le démon est un enfant de chœur qui gagne à être connu. J'exagère ? Viens faire un tour dans ce book, tu comprendras ! Allez, ciao ! C'est l'heure de la prière.
On demande un cadavre Dard, Frédéric
Maxell Beeting [1]: Deux gangsters américains travaillant pour un mafioso de même nationalité, Alfredo Seruti, doivent déterrer un cadavre fraîchement inhumé dans une paisible petite ville de la campagne côtière anglaise pour récupérer un papier important pour leur employeur. À leur arrivée, stupeur : ils trouvent le tombeau vide. Evaporé le macchabée ! Le corps de Peter Lanshill, savant de renom mort par accident en nettoyant son arme, a disparu. Craignant la colère de leur patron, les truands rendent visite au gardien du cimetière en se faisant passer pour deux policiers. Ils apprennent qu’une belle et élégante dame, venue la veille dans une grande voiture bleue, a demandé des renseignements sur l’emplacement de la tombe pour s’y recueillir avant de repartir. Ils font remplir au gardien une fausse déclaration mettant en cause des visiteurs venus dans une voiture bleue pour l’agresser. Au terme de l’interrogatoire, ils le tuent et placent la fausse déclaration sous son oreiller. Ils espèrent ainsi que la police retrouvera sans peine cette voiture bleue et sa belle propriétaire pour le plus grand avantage de leur patron. Qui est Peter Lanshill ? Pourquoi a-t-on fait disparaître son cadavre ? C’est dans une course-poursuite opposant le mafioso Seruti aux services secrets de Sa Majesté que nous l’apprendrons.
On liquide et on s'en va Dard, Frédéric
San-Antonio [106]: Ah ! si M. Prince n'avait pas fauché le truc magique du tueur pendant que M. Adolphe s'envoyait Mme Eva, rien de tout cela ne serait arrivé.T'aurais pas eu droit aux coliques incoercibles de Pinuche, ni au coït flamboyant de Béru, non plus qu'à l'hécatombe ci-jointe. Et à moi, ça m'aurait évité 250 pages de déconnage. Mais t'es pas forcé de les lire.
On n’en meurt pas Dard, Frédéric
À 34 ans, Bob Trajo, tenant du titre de champion d'Europe pour la boxe depuis quatre années consécutives, se sent au mieux de sa forme. Aussi tombe-t-il de haut lorsque son manager, Bodoni, et son patron, Goldein, lui annoncent que, pour eux, il commence à manquer de punch, et qu'il est temps de raccrocher et de laisser la place aux jeunes. Ils ont décidé de l'opposer à Jo Andryx – poulain et ami de Bob. D'abord révolté, Trajo finit par accepter la rencontre, d'autant que son épouse Cathy aspire à une nouvelle vie plus tranquille. Bob Trajo gagnera-t-il son dernier combat pour prendre sa retraite avec les honneurs ? Ou bien quittera-t-il le ring sur une défaite face à Jo Andryx ? Quelque soit l'issu du combat, il ne sera pas sans conséquences sur l'amitié et le destin des deux boxeurs !
On t'enverra du monde Dard, Frédéric
San-Antonio [34]: Eh bien ! Eh bien, Béru, t'as des vapeurs ? M'en parle pas, balbutie-t-il, je suis un mec terminé ! On en reparlera quand tu seras dans ton costar en planches ; dis-moi un peu ce qui ne carbure pas ? Ma femme a disparu, lâche le Gros. Et de ponctuer cette révélation par un barrissement qui fêlerait une plaque de blindage.
Papa, achète-moi une pute Dard, Frédéric
San-Antonio [139]: Je vais te dire une bonne chose : les gens qui ont un don, faut s'en gaffer pire que du fisc. C'est bien joli, un don, mais ça peut avoir des conséquences. Moi, le don de Bruno, merci bien !J'ai failli y laisser mes os. En tout cas, j'en sais des moins vergeots qui en sont clamsés sans avoir vu Venise. Heureusement que les corbillards ne sont pas en grève, parce que alors, on allait se ruiner en déodorants.
Passez-moi la joconde Dard, Frédéric
San-Antonio [9]: Un petit loulou de Poméranie qui se tortille dans la clarté de mes phares. Il vient de se faire ratatiner par une voiture.Moi, bonne pomme, je descends pour lui administrer la potion calmante et définitive.Et voilà !Je viens de mettre le doigt dans un engrenage qui conduit à une Joconde au sourire plutôt inquiétant.
Plein les moustaches Dard, Frédéric
San-Antonio [123]: La chasse aux criminels de guerre nazis n'est plus ce qu'elle a été car le gibier est en voie d'extinction, décimé qu'il est par cette épidémie qui s'appelle le temps. Mais enfin, il en reste encore quelques-uns à travers le monde, ce livre t'en administre la preuve. Quelle équipée ! Quel écoeurement aussi ! Là, tu peux croire que j'en ai pris plein les moustaches. Pourtant, le président s'est montré très coopératif. Hélas, ça ne fait pas tout. Cézigue, il bénit l'émeute, mais il ne court pas après le renard.
Pleins feux sur le tutu Dard, Frédéric
San-Antonio [118]: Rappelle-toi que dans cette affaire j'ai drôlement mouillé mon maillot.Tu parles d'une escalade ! Je pédalais que d'une ! Tout en danseuse, mon pote !Et avec pleins feux sur le tutu !
Poison d’avril ou la vie sexuelle de Lili Pute Dard, Frédéric
San-Antonio [120]: Elle était chinoise et s'appelait Li Pût, ce qui dans l'argot pékinois signifie Poison d'Avril. Ses parents l'avaient ainsi baptisée parce qu'elle était née au mois de janvier et que donc, Dû Cû, le papa de Li Pût, avait fécondé sa mère en avril et par inadvertance, un soir qu'il s'était pété à l'alcool de riz à 90°. Le père de Li Pût, Dû Cû, était docker à Pékin. Comment ? Qu'est-ce que tu dis ? Ah ! Y'a pas la mer à Pékin ? Bon, alors il était tresseur de nattes ; ça te va ? Quand Li Pût naquit, c'était l'année de la Morue. Tout le monde te dira, depuis Saint-André-le-Gaz (38) jusqu'à Nankin, que naître sous le signe de la Morue, hein ? Tu m'as compris ! Et c'est ce qui se passa, dix-sept ans plus tard, montre en main !
Prenez-en de le graine Dard, Frédéric
San-Antonio [33]: Mes petits lecteurs chéris, je crois que depuis le temps qu'on se connaît on commence à bien se connaître comme le disait si justement Vincent Toriol à la bataille de Marignan (33, Champs-Élysées, Paris). Alors je vais vous en annoncer une qui méritera d'être prise en considération et dans le sens de la hauteur : je compte vous faire rire avec ce bouquin.
Princesse Patte-en-l'air Dard, Frédéric
San-Antonio [144]: J’ai encore jamais tringlé dans la famille royale britannique, mais je suis convaincu que tu ne peux pas y trouver une princesse aussi habile tireuse, aussi survoltée du réchaud que celle de ce book !Et pourtant, des chaudes de la craquette, y'en a eu, y'en a, et y'en aura encore aux alentours de Buckingham Palace ! Des terribles, malgré leurs chailles qui traînent par terre ! Des qu’ont la coquille Saint-Jacques large comme l’entrée de Westminster Abbaye, avec plein de capitaines de Horse Guards batifolant du bonnet à poils entre leurs jambons ! Mais la mienne de princesse, pour ce qui est de l’entonnoir à chibres, elle est médaille d’or. Plus forcenée de Carrière-boutique tu meurs !Du reste, telle qu’elle est, tu meurs aussi !Parce que cette princesse-là, elle collectionne les coups de braque, mais pas les amants ! Style Marguerite de Bourgogne, en sa tour de Nesle, si tu vois le genre ?Cela dit, faut que je t’avoue une chose : c’est pas une vraie princesse.Et que je t’avoue encore une deuxième chose : c’est pas une vraie princesse, mais c’est une vraie salope.Est-ce que je me fais bien comprendre ?
Puisque les oiseaux meurent Dard, Frédéric
Spécial Police [241]: Laurent Haller mène la vie tranquille d'un homme marié. Et s'il lui arrive parfois de tromper sa femme Lucienne, une chanteuse de renom, jamais il ne songerait à la quitter. Lors d'une tournée en province, elle est grièvement blessé dans un accident de voiture. Or le passager du véhicule, tué sur le coup, se révèle être son amant... En plus de la douleur, Laurent est désormais torturé par la jalousie. Au chevet de son épouse mourante, il harcèle une Lucienne lointaine, pour qui ne semble plus compter que le chant mélancolique d'un oiseau de leur jardin. La cruaté des sentiments et les rancœurs inavouées se déchaînent alors dans un huis clos infernal.
Quelqu'un marchait sur ma tombe Dard, Frédéric
Spécial Police [348]: Lisa a su mobiliser et convaincre l'avocat de son amant et ses amis dans le seul but de le faire évader de la prison de Hanovre.Franck, condamné à perpète pour le meurtre d'un flic, sera-t-il enfin libre après cinq années de détention ?Ses amis réussiront-ils cet exploit incroyable préparé à son insu ?Dans sa cellule Franck se pose des questions au sujet de ces cinq années... Lisa est-elle la maîtresse de son avocat ? L'a-t-elle trahi ?Au cours d'une course contre la montre et d'un suspense à huis clos, la jalousie armera-t-elle le bras de la justice immanente ?