Collection: San-Antonio Hors-série
Histoire de France, Le Standinge, Béru et ces dames, Les vacances de Bérurier, Béru-Béru, La sexualité, Les Con, Si "queue d'âne" m'était conté, Napoléon Pommier
Collection: Spécial Police
Le bourreau pleure, C'est toi le venin, Le tueur triste, Les scélérats, Rendez-vous chez un lâche, Puisque les oiseaux meurent, Quelqu'un marchait sur ma tombe
À San Pedro ou ailleurs… Dard, Frédéric
VOUS CROYEZ QUE LES MOUCHES AIMENT LE WHISKY ? Il y a des gens bizarres dans les bars, la nuit... Des hommes, des femmes, accrochés à la rampe du comptoir pour "laisser souffler" leur destin. Des hommes, des femmes qui se regardent, qui se sourient... se disent quelques mots, n'importe lesquels : VOUS CROYEZ QUE LES MOUCHES AIMENT LE WHISKY ? Et puis ils repartent dans la nuit, à la recherche d'un impossible bonheur, à la recherche d'eux-mêmes. Ils s'en vont plus loin. A San Pedro... Ou ailleurs. VOUS CROYEZ QUE LES MOUCHES AIMENT LE WHISKY ? Vous, vous aimerez ces gens bizarres dans les bars, la nuit... A San Pedro ou ailleurs !
Batailles sur la route Dard, Frédéric
« C’est en s’oubliant qu’on parvient à être soi-même. » Frédéric DardS’oublier. Totalement. Ses préjugés aussi. Surtout ceux qui empêchent l’humilité. Un regard croisé avec cette femme. Peut-être déjà un sentiment. Une femme ? Plus vraiment, puisque l’honneur est bafoué. Son crâne rasé d’avoir aimé l’ennemi. Alors oublier, oui, et recommencer différemment ; pour elle. Passer à autre chose, chercher refuge dans un travail difficile, éprouvant : la route. La retrouver enfin, elle qui m’attend. Mais retrouver aussi le plus terrible des secrets, de ceux qui rongent une éternité, assombrissent vos jours, dévorent vos nuits, parce qu’il vit à vos côtés, indissociable et omniprésent. Pourtant, j’ai pris le parti d’oublier. Saint-Chef en Dauphiné, où repose Frédéric Dard, rebaptisé ici Saint-Theudère, sert de cadre à ce roman. C’est là qu’Hélène, sœur du milicien Petit Louis, dont l’auteur nous raconte l’exécution sommaire de façon si poignante, trouve refuge auprès du narrateur, un jeune résistant lyonnais. Celui-ci s’éprend de cette victime de l’épuration qu’il aimerait pouvoir soustraire définitivement à l’ardeur vengeresse des FFI.Publié en 1949 aux Editions Dumas à Saint-Etienne, ce roman est inspiré d’un voyage effectué par l’auteur avec les gens de la route. Cette même année 1949 fut par ailleurs prolifique et prémonitoire : c’est elle, en effet, qui vit la parution du premier livre d’où découlera, servie par un hasard singulier, la célèbre série du commissaire SAN-ANTONIO...
Cette mort dont tu parlais Dard, Frédéric
Retraité précoce, un fonctionnaire rencontre une jeune femme par petite annonce et l'emmène vivre dans une ferme de Sologne. Mais le fils qu'elle a déjà, sous des dehors charmants, est une petite frappe inquiétante et perverse. Elle-même... — En somme, vous êtes heureux ? — C'est un grand mot... — Elle paraît gentille. Peut-être un peu trop, non ? Dans un climat d'érotisme et de peur, de cupidité et de haines contenues, Frédéric Dard nous montre, avec sa cruauté baroque jusqu'ou peut conduire l'asservissement sexuel. Et c'est terrible.
Du plomb pour ces demoiselles Dard, Frédéric
Je regardai Gloria, ma petite Gloria. étendue dans sa mort avec ses cheveux d'or et de sang. Son sang encore sur le panneau inférieur du lit, car son tortionnaire s'était servi du montant de bois comme d'un billot pour lui sectionner les doigts. Le gars qui avait fait le coup avait mis toutes les chances de son côté et toutes les charges du mien.Comment avaient-ils pu savoir que Gloria avait collé les micro-points sur ses ongles avant de laquer ceux-ci avec un enduit foncé ?Ces types nous avaient suivis d'Indianapolis à Chicago...
La Mort des autres Dard, Frédéric
« Le hasard ! Les hommes ne le comprendront jamais ! C’est notre père à tous. » Frédéric DardDans le décor sinistre d’une gare désaffectée, le narrateur rencontre un personnage qui se présente comme la Mort et va lui inspirer sept histoires : Le meurtre d’un maçon dans une cave, commis par un jeune écrivain qui s’interroge sur le sens du mot « roman »... L’histoire d’un pauvre diable fasciné par une putain et un unijambiste... Un cocu qui se venge de son rival... Un garçon de huit ans dont la sensibilité subit les ravages de l’amour impossible entre sa mère et le directeur de son pensionnat... La mort injuste d’un jeune et candide soldat allemand... Un épisode de l’épuration que Frédéric Dard projette dans toute son impitoyable absurdité.. .Le combat entre Diurne et Nocturne, arbitré par la déesse du Temps.Ces contes fascinent par la férocité de leur propos et, surtout, de leurs personnages dont l’auteur semble partager l’extrême douleur. Edité en 1946, ce livre a paru aux éditions Optic à Lyon. Adapté en pièce de théâtre radiophonique en 1947, il reçut le Grand Prix du théâtre radiophonique.
La nurse Anglaise Dard, Frédéric
Sir David Bentham, lord et pair d'Angleterre, compte parmi les individus les plus petits du Royaume-Uni puisque, à vingt-huit ans, il ne mesure que 104 centimètres. En revanche, la nature a doté ce gentleman d'un attribut viril d'une taille et d'une puissance phénoménales dont il use sans répit. Le nanisme de sir David, joint à la richesse familiale, le dispense d'exercer une profession. Alors, comme il déteste l'oisiveté, pour passer le temps, il tue les gens. Ses meurtres n'ont jamais été dénombrés.
La vieille dame qui marchait dans la mer Dard, Frédéric
« Lorsque j'ai commencé ce livre, j'avais l'intention d'écrire une histoire cocasse, haute en couleur : celle d'une vieille aventurière qui se donne un dauphin avant de raccrocher, et le forme à l'arnaque. Je ne me doutais pas, à cet instant, que j'allais commettre l'ouvrage le plus grinçant de ma carrière, m'enfoncer dans un conte de fées noir à vous en flanquer le vertige, et peut-être même dépasser certaines limites. Mais je ne regrette rien. Quand on est capable de tout, il faut le prouver. »Commentaire de Monsieur Dard concernant ce roman.
Le dragon de Cracovie Dard, Frédéric
Il est des gens pour lesquels donner la mort n'est rien et la recevoir pas grand chose. À Naples, on les appelle des "Camorristes" et, comme on les craint, on les respecte. Ils ont souvent le cœur sur la main, ce qui ne les empêche pas de garder le doigt sur la gâchette !C'est dans cet univers impitoyable de passion et de sang que va débarquer un frêle Autrichien, doué pour le meurtre et la peinture. Il a de drôles de mœurs, un drôle de nom et une façon terrifiante d'affronter la vie.De Vienne à Munich, de Naples à Cracovie, il va nous entraîner sur la route sanglante et désespérée qu'il s'est tracée.
Le Mari de Léon Dard, Frédéric
Ce livre raconte l'histoire d'un ver de terre amoureux d'une étoile. Le ver de terre s'appelle Léon. L'étoile s'appelle Boris.San-Antonio
Le monte-charge Dard, Frédéric
En cette veille de Noël, la nostalgie submerge Albert Herbin, tout juste sorti de prison, moral en berne. Alors comment pourrait-il ne pas être ébloui par le charme de la frêle et si jolie Mme Dravet ? D’autant que la jeune femme a l’air de le trouver à son goût. Pour se rendre chez la belle, il faut emprunter un drôle d’ascenseur : un monte-charge. Mais au pied du sapin l’attend un drôle de cadeau, le mari dans une mare de sang ! Mme Dravet joue la veuve éplorée à la perfection, un peu trop peut-être… Une effroyable mécanique vient de se mettre en branle…
Les Confessions de l'ange noir Dard, Frédéric
« La plupart des hommes fabriquent des vivants, moi je fabrique des morts. Ça va plus vite, et ça impressionne davantage. » Âmes sensibles, s’abstenir. L’Ange Noir est tout sauf un marrant. L’Ange Noir est l’ennemi public n° 1. Flics, femmes, cadors du crime : personne ne lui résiste. Et surtout pas la mort. Vivre sans temps mort et jouir sans entraves, telle pourrait être sa devise. Même quand il s’agit de raconter son épopée, il n’y a pas un chroniqueur qui tienne la distance. Alors il va s’en charger seul. Cet Al Capone moderne n’a décidément pas l’esprit d’équipe. Sans honte, sans peur, et surtout sans filtre, l’Ange Noir prend la parole et déroule le fil de son épopée sanglante. Premier meurtre à déclarer ? Sa mère – un accident de naissance. Après elle, personne n‘y échappe, de Londres à Paris, en passant par Mexico. L’Ange Noir a la gâchette facile, le « beau sexe » pour obsession, et un sale penchant pour l’alcool. Les originaux de ces confessions publiées en 1952 sous le pseudonyme de l’Ange Noir, réunis ici en un volume, préfigurent, par bien des aspects, l’avènement du légendaire San-Antonio.
Les salauds vont en enfer Dard, Frédéric
Un flic reçoit pour mission de gagner la confiance d'un espion incarcéré dans un pénitencier, afin d'obtenir des confidences sur son réseau. Le meilleur moyen est alors de partager sa cellule en se faisant passer pour un criminel.Leur relation oscille bientôt entre une haine farouche et une amitié fraternelle. Mais qui de Frank ou de Hal va l'emporter à ce jeu de dupes en huis clos ?Lorsqu'ils décident de s'évader, leur destin est scellé. Le pire surgit en la personne de Dora, une jeune femme qui les aide dans leur cavale. Quand tous les trois se réfugient sur une île, jamais l'expression « l'enfer, c'est les autres » n'aura semblé plus appropriée...
Les séquestrées Dard, Frédéric
Qui est Savin Miresco ?Le riche et célèbre marchand de tableaux, honoré de tous, ou l'homme de passion, cruel et phallocrate, qui retient prisonnières deux jeunes femmes dans une villa sur les hauteurs de Nice ?Ces femmes, complètement asservies, ne sont-elles pas consentantes ?Et quelle est cette mystérieuse ressemblance qui hante Miresco ?Un roman captivant, ou l'on pénètre, lentement, plus profondément dans les tréfonds tourmentés de l'ego.
Le tueur en pantoufles Dard, Frédéric
Un roman de jeunesse, drôle et décalé. Dans un petit pavillon confortable de la banlieue parisienne, Jango, personnage débonnaire entouré de sa mère et de son fils Zizi, un gamin farceur, mène une vie bien pépère. Il possède un poisson rouge dans un bocal, un lapin apprivoisé. Il jouit de l'estime de son voisinage, la boulangère lui fait les yeux doux. Tout est banal et tranquille. À un détail près : Jango est tueur à gages... Il s'est constitué une bonne clientèle ; et avec une seringue, une piqûre, hop ! Il fait ensuite disparaître les cadavres dans une cuve d'acide. Aucune trace, les clients sont contents. Mais un événement insolite vient bouleverser cette belle organisation : l'utilisation d'une rosette de la Légion d'honneur prélevée sur le veston de la dernière victime, un colonel...
Ma sale peau blanche Dard, Frédéric
Il existe toujours un moment ou l'individu franchit les limites de sa conscience et laisse agir ses instincts.Dans l'immensité du Texas embrasé de chaleur, deux êtres tombent profondément épris l'un de l'autre et deviennent victimes de leur différence : lui, Gilles, un jeune Français en voyage, est blanc de peau, elle, Cynthia, qui « ressemble à une divinité barbare, infiniment belle et surprenante », est noire.Peu à peu cependant, Gilles devient conscient de n'éprouver pour Cynthia qu'un amour cérébral et se sent incapable de tout contact physique. Il lui revient alors en mémoire une image nauséeuse du temps de son enfance et qu'il avait cru enfouie à jamais : une nichée de rats morts-nés, à la peau noire et rose, douce et froide... comme la peau de Cynthia.Sur le point de l'épouser et ne pouvant s'y résoudre, il ne trouve qu'une échappatoire : la tuer. Mais pourquoi devra-t-il la tuer plusieurs fois ?...Il fallait toute la maîtrise de Frédéric Dard pour explorer les abysses de la schizophrénie et de ses hallucinations dans un roman ou la passion s'insère habilement dans une atmosphère fantastique.
Mausolée pour une garce Dard, Frédéric
– Comment m'a-t-elle retrouvé ?Je ne sais pas. Un jour, elle s'est arrêtée devant un café où vous buviez et elle m'a dit : "S'il mourrait, je toucherais vingt millions." Voilà comment tout a commencé.Attention, femme fatale ! L'ensorcelante Agnès est une formidable machine à séduire, à exploiter, à tromper, à détruire. Noir génie de l'érotisme et du mal, jusqu'où étendra-t-elle sa toile de crimes ?– Je me demande, après tout, si tu n'es pas folle.Chacun de nous est fou par rapport aux autres. Ce qui nous a perdu, toi et moi, c'est que tu étais toujours prêt à renoncer, et moi toujours prête. au pire pour arriver à mes fins. Aucune des deux formules n'est la bonne.Devant ce carrousel de la perversité et de la souffrance, on ne sait ce qu'il faut admirer le plus, de la prodigieuse verve romanesque de Frédéric Dard ou de son acharnement à traquer une dernière lueur de grâce et d'amour quand tout semble perdu.
On n’en meurt pas Dard, Frédéric
À 34 ans, Bob Trajo, tenant du titre de champion d'Europe pour la boxe depuis quatre années consécutives, se sent au mieux de sa forme. Aussi tombe-t-il de haut lorsque son manager, Bodoni, et son patron, Goldein, lui annoncent que, pour eux, il commence à manquer de punch, et qu'il est temps de raccrocher et de laisser la place aux jeunes. Ils ont décidé de l'opposer à Jo Andryx – poulain et ami de Bob. D'abord révolté, Trajo finit par accepter la rencontre, d'autant que son épouse Cathy aspire à une nouvelle vie plus tranquille. Bob Trajo gagnera-t-il son dernier combat pour prendre sa retraite avec les honneurs ? Ou bien quittera-t-il le ring sur une défaite face à Jo Andryx ? Quelque soit l'issu du combat, il ne sera pas sans conséquences sur l'amitié et le destin des deux boxeurs !
Refaire sa vie Dard, Frédéric
S'il n'avait rencontré Sirella, peut-être Philippe eût-il poursuivi l'existence d'oisiveté et de luxe qui était la sienne depuis deux ans, grâce à la fortune de Lina, sa tyrannique et capricieuse maîtresse, plus âgée que lui. Nimbée de sa beauté, de la fraîcheur et l'innocence de sa jeunesse, Sirella représente pour Philippe l'espoir de tout recommencer, de renaître à l'amour. Mais Lina est là qui veille. Entre la tentation du suicide, puis du meurtre, n'y aura-t-il pas un troisième choix ? Quand un périple en Italie devient un voyage au bout de l'enfer...
Toi qui vivais Dard, Frédéric
II y avait des mois et des mois que Bernard avait besoin d'en finir avec sa vie émaillée sans cesse d'erreurs et de renoncements. Pour y parvenir, il savait qu'il devait tuer et commettre le crime parfait. Il avait tout pesé, tout calculé, tout prévu. Non, vraiment, l'idée même qu'il pourrait échouer était absurde... Un suspense diabolique mené, comme toujours chez Frédéric Dard, de main de maître.
Une seconde de toute beauté Dard, Frédéric
Qui était en réalité Héléna, retrouvée morte, le revolver de son père à son côté ? Pour ses parents, c'était une fille aimante et joyeuse, pour son mari, une épouse ardente et passionnée, pour son ami et confident, une femme insatisfaite et solitaire, qui se disait « malheureuse parce qu'elle n'aimait personne ». S'est-elle suicidée, ou s'agit-il d'un meurtre, ou d'un accident ? Les acteurs de ce drame s'affrontent au cours d'un violent et pathétique huis-clos, dans la recherche désespérée de la vérité...