Les deux oreilles et la queue Dard, Frédéric
San-Antonio [117]: Les deux oreilles et la queue, tu le sais, représentent la suprême récompense qu'un jury de corrida accorde à un toréador qui a magistralement scrafé son bestiau. Dans notre affaire, j'ai obtenu les deux oreilles et la queue. Et tu sais qui me les a accordées ? Monsieur le président de la République royale française ! Juré craché ! Si tu ne me crois pas, t'as qu'à lire... Les deux oreilles et la queue, moi, tu te rends compte ? Plus quelques jolis culs qui passaient par là, naturellement.
Le secret de Polichinelle Dard, Frédéric
San-Antonio [28]: Quatre jours après cette partie de chasse mémorable qui se solda par une hécatombe, le Vieux me fait appeler dans son burlingue secret. La pièce est triste comme un vieux numéro de la Revue boursière, et le maître des Services paraît aussi joyeux qu'une catastrophe minière. Il est droit devant son bureau d'acajou lorsque j'entre. Ses poings sont posés à chaque extrémité de son sous-main et son front relié pleine peau de fesse brille à la lumière de son réflecteur. « San-Antonio, vous ne devinerez jamais la raison pour laquelle je vous ai mandé... »
Les eunuques ne sont jamais chauves Dard, Frédéric
San-Antonio [164]: Le plus terrifiant bras de fer de ma carrière me met aux prises avec un tyran fou. Il pleut des morts ! Partout le danger ! D'accord, je baise énormément pour pouvoir conserver le moral, n'empêche que je traverse une zone à hauts risques davantage semée d'embûches que la Place de la Concorde. Là ou je vais, si tu veux revoir Paris, faut ouvrir l'œil et serrer les miches. Seulement moi, tu me connais ? C'est les poings que je serre et la porte de devant de mon bénard que j'ouvre. En grand ! C'est bon pour la ventilation de mes aumônières.
Les huîtres me font bâiller Dard, Frédéric
San-Antonio [162]: Des années que j'avais pas revu ce crevard d'Ambroise, un flic qui avait mis un pied dans le Milieu et l'autre dans la gadoue. A l'époque, Béru, son beauf par mésalliance, lui avait flanqué la rouste du siècle. Et puis, voilà que ce tordu réapparaît, toujours en pleine béchamel, avec un cadavre sur le toit de sa bicoque. On essaie de lui sauver la mise, Berthe et moi, mais quand t'as pas le fion bordé de nouilles, t'as intérêt à te retirer dans une lamaserie du Tibet. Moi je dis : y'a des mecs, leur papa aurait mieux fait d'éternuer dans son mouchoir !
Le silence des homards Dard, Frédéric
San-Antonio [151]: A TOUS MES LECTEURS !Qu'ils soient mâles, femelles ou hermaphrodites. Ce livre est incontournable si vous souhaitez rester dans la grande famille san-antoniaise. Il marque un virage important dans ma carrière. Si vous avez des amis en voyage aux antipodes (voire même aux propodes), achetez-le-leur, car ils risqueraient de ne plus le trouver à leur retour ; et ce serait affreux pour eux. S'ils ne vous le remboursaient pas, Dieu vous le rendrait.
Les morues se dessalent Dard, Frédéric
San-Antonio [134]: Si tu prends ton whisky "on the rocks", viens vite avec moi dans ce book. Car, pour ce qui est de la glace, tu seras servi ! Le Groenland, mon pote ! C'est-à-dire une calotte glaciaire de 2 000 km de long, sur 3 km de hauteur (la largeur, je me la rappelle plus, mais si tu la franchissais sur les fesses, tu aurais les miches en flammes !). Si ça te dit de faire une chouette balade en traîneau à clebs, d'assister au plus grand tournoi d'éjaculation de l'hémisphère Nord et de vivre une aventure scientifique capable de flanquer la courante à un ours blanc, ne rate pas cette œuvre prodigieuse. Elle te permettra en outre de connaître Marika, la superbe femme de ma vie. Mais n'essaie surtout pas de faire le mondain avec elle, hein ? Sinon tu aurais de mes nouvelles. Et pas des bonnes !
Les prédictions de Nostrabérus Dard, Frédéric
San-Antonio [83]: Tu sais qu'il se passe des drôles de choses en Suède ? Viens-y avec moi, tu verras ! Tu verras ce que t'as encore jamais vu. Tu verras : des merderies modèles, des partouzes géantes, des mariages d'hommes, que sais-je ?... Tu crois que c'est à cause du froid que les frangines de là-bas ont le réchaud incandescent, toi ? Et ce serait les brumes nordiques qui refileraient à Béru ce don de double vue ? Je le savais déjà voyeur, le Gros. Pas mal voyou, aussi, dans son genre. Mais voyant, alors ça, je te jure ! Viens te rendre compte comme les petites Suédoises s'enflamment facilement. Suffit de savoir les frotter. Viens, je te dis ! "
Les salauds vont en enfer Dard, Frédéric
Un flic reçoit pour mission de gagner la confiance d'un espion incarcéré dans un pénitencier, afin d'obtenir des confidences sur son réseau. Le meilleur moyen est alors de partager sa cellule en se faisant passer pour un criminel.Leur relation oscille bientôt entre une haine farouche et une amitié fraternelle. Mais qui de Frank ou de Hal va l'emporter à ce jeu de dupes en huis clos ?Lorsqu'ils décident de s'évader, leur destin est scellé. Le pire surgit en la personne de Dora, une jeune femme qui les aide dans leur cavale. Quand tous les trois se réfugient sur une île, jamais l'expression « l'enfer, c'est les autres » n'aura semblé plus appropriée...
Les scélérats Dard, Frédéric
Spécial Police [197]: Louise travaille dans une usine et n’éprouve dans sa banlieue morne et monotone aucun plaisir à vivre… Elle vit avec un beau-père alcoolique et une mère dotée d’un bec de lièvre qui lui fait honte. Un jour, elle tombe en extase devant la demeure de riches américains.Ce couple la fascine, et elle n’a plus qu’une idée en tête : être engagée comme servante chez eux, et pénétrer dans cette « île » qui l’a fait tant rêver. Elle propose donc ses services au couple et finit par être engagée par eux, sous l’œil désapprobateur de sa mère.Qu’est-ce qui séduit tant Louise chez les Rooland ? Le physique avantageux de Monsieur qui semble la subjuguer ? L’alcoolisme mondain de Madame, qui écoute Elvis Presley, tout en sirotant un whisky ?
Les séquestrées Dard, Frédéric
Qui est Savin Miresco ?Le riche et célèbre marchand de tableaux, honoré de tous, ou l'homme de passion, cruel et phallocrate, qui retient prisonnières deux jeunes femmes dans une villa sur les hauteurs de Nice ?Ces femmes, complètement asservies, ne sont-elles pas consentantes ?Et quelle est cette mystérieuse ressemblance qui hante Miresco ?Un roman captivant, ou l'on pénètre, lentement, plus profondément dans les tréfonds tourmentés de l'ego.
Les souris ont la peau tendre Dard, Frédéric
San-Antonio [3]: Un patron de bistrot portant, dans son arrière-salle, une épée à la taille, surtout au XXe siècle, c'est assez extraordinaire. Mais franchement, où ça se corse (chef-lieu Bastia histoire de fomenter une petite guerre civile), où ça se corse, disais-je, c'est quand l'épée n'est pas à la taille du type, mais à travers la taille... Je tiens aussi à vous préciser que cette découverte n'est pas faite pour me réjouir, vu que l'épinglé était mon seul contact dans ce foutu bled... Pour lui, le contact a été plutôt rude, et pour moi, il risque de l'être aussi, je le crains, car j'entends déjà mugir, au loin, une sirène de police...
Le Standinge Dard, Frédéric
San-Antonio Hors-série [2]: Exister en compagnie de gens bien élevés est terriblement démoralisant car cela contraint à vivre comme eux pour ne pas ressembler à un peigne-cul.Ce qu'il faut faire pour accéder aux belles manières est aussi important que ce qu'il convient d'éviter.Celui qui se mouche dans les rideaux et boit l'eau de son rince-doigts est condamné.Avec ce book, on va essayer d'acquérir une couche de vernis à séchage instantané. Pour cela, suivez le guide et, pareil à Béru, vous deviendrez des milords !
Les vacances de Bérurier Dard, Frédéric
San-Antonio Hors-série [4]: "Voilà où nous en sommes. Jusqu'ici, nous nous sommes efforcés d'étouffer ces disparitions. Mais nous sommes à la limite du scandale. Ce genre d'affaires transpire. L'équipage bavarde. Bref, désormais, la grande presse est aux aguets. Quatre journalistes ont retenu des places à bord du "Mer d'Alors" pour la croisière d'après-demain. Qu'une nouvelle disparition ait lieu et c'est la ruine de notre prestigieuse maison.Et alors ? Votre maman a un préjugé contre les croisières ? Elle connaît Istambul ? Répondez, quoi, merde ! Parfaitement, c'est la grande virée qu'entreprend le "Mer d'Alors" ! De Casablanca au Bosphore en passant par l'Espagne, les Canaries, la Grèce éternelle, Chypre, les îles des Dieux, quoi, merde ! Le Parthénon, merde, c'est autre chose que la baie de Cannes ! San Antonio
Le trouillomètre à zéro Dard, Frédéric
San-Antonio [131]: Ils voulaient pas que je sorte ce livre. Ils m'ont dit : « Non ! T'as pas le droit, des choses pareilles, de les mettre sur le marché ! Elles sont épouvantablement affreuses », ils m'ont dit ! « Elles vont leur chanstiquer la pensarde, comme à toi dans le bouquin ! Des lecteurs aussi fidèles, ça se ménage », ils ont ajouté. « Ils ont droit que tu fasses gaffe à leur mental.Rends-les pas fous, Sana ! Ce serait trop injustement injuste ! En tout, y a des limites à ne pas enfreindre ! » Ils m'ont dit bien d'autres trucs encore. M'ont balancé des menaces odieuses, même, je certifie. Z'ont même demandé au président de la République d'interviendre. Et il l'a fait ! J'ai la lettre, te la montrerai ! Mais moi, plus on veut me dissuader, plus j'obstine. C'est dans mon caractère ! Alors, voilà ce bouquin, intact ! J'y ai pas déplacé une virgule, pas une faute de français. Un petit conseil ultime : si tu portes un râtelier, ôte-le avant de le lire, car il est désagréable de bouquiner en produisant un bruit de castagnettes !
Le tueur en pantoufles Dard, Frédéric
Un roman de jeunesse, drôle et décalé. Dans un petit pavillon confortable de la banlieue parisienne, Jango, personnage débonnaire entouré de sa mère et de son fils Zizi, un gamin farceur, mène une vie bien pépère. Il possède un poisson rouge dans un bocal, un lapin apprivoisé. Il jouit de l'estime de son voisinage, la boulangère lui fait les yeux doux. Tout est banal et tranquille. À un détail près : Jango est tueur à gages... Il s'est constitué une bonne clientèle ; et avec une seringue, une piqûre, hop ! Il fait ensuite disparaître les cadavres dans une cuve d'acide. Aucune trace, les clients sont contents. Mais un événement insolite vient bouleverser cette belle organisation : l'utilisation d'une rosette de la Légion d'honneur prélevée sur le veston de la dernière victime, un colonel...
Le tueur triste Dard, Frédéric
Spécial Police [167]: Pour Lino, c'était la seule façon de récupérer le magot après la trahison de cette vermine de Maurice. Prendre en otage la mère et les deux sœurs du traître et se cloîtrer avec elles dans cette vieille maison campagnarde. Un combat pathétique et bouffon s'engage alors entre le criminel endurci et les trois provinciales terrorisées.Dans ce huis clos irrespirable, au cours de scènes lourdes d'angoisse, d'érotisme et de cruauté, l'improbable se produit. Le geôlier, imperceptiblement, semble s'humaniser..."Vous êts un malheureux,Lino,un infirme moral...En assassinant les autres,cest vous que vous tuez. Les autres ne font que mourir...vous, vous agonisez."
Ma cavale au Canada Dard, Frédéric
San-Antonio [140]: Il faut écouter la France profonde. Elle a des choses à dire. Ainsi Justin Petipeux, fier travailleur de la terre et témoin malgré lui d'une pause-pipi d'espions en pleine cambrousse, en détient à la pelle, des secrets internationaux. Oui mais voilà. San-Antonio ne l'a pas cru. S'il avait écouté, Justin Petipeux, on n'aurait sans doute pas assassiné le général Chapedelin, attaché militaire du Canada. S'il avait écouté, Justin Petipeux, on n'en serait pas là, sur cette banquise du Grand-Nord à expérimenter l'hypothermie. Il ne demandait pourtant pas grand-chose, Justin Petipeux...paru en 1989
Ma langue au Chah Dard, Frédéric
San-Antonio [73]: Pour tout vous dire, je rêvais depuis longtemps d'aller en Iran... mais pas dans ces conditions ! Au XXe siècle, être obligé de se battre au sabre, c'est surprenant, non ? Mais, croyez-moi, votre San-Antonio se révèle vite un as de cette discipline et les sbires qui se sont frottés à lui, s'ils n'étaient pas déjà des eunuques, ne sont pas près de mettre Casanova en péril. Quant à Bérurier au pays des Mille et Une Nuits (des mille et un z'ennuis, plutôt), c'est pas racontable en page 4 de couverture. Sachez que s'il y a plusieurs façons de donner sa langue au chat... la donner au Chah n'est pas la plus facile, vous allez voir !
Maman, la dame fait rien qu'à me faire des choses ! Dard, Frédéric
San-Antonio [161]: C'est beau, un bordel. C'est confortable. On y passe généralement de bons moments. Sauf quand il y vient des gens bizarres. Alors il arrive que les choses se gâtent et qu'on se mette à y mourir à qui mieux mieux. Un conseil : ne jamais ouvrir la fenêtre donnant sur la rue, sinon t'es obligé d'appeler les pompiers. Et les pompiers dans un bordel, quoi que tu en penses, ça la fout mal !
Maman, les petits bateaux... Dard, Frédéric
San-Antonio [86]: On t'a déjà mené en bateau, non ? Donc tu as le pied marin, si tu n'as pas l'air malin. Alors, mets ton béret à pompon et embarque, matelot ! Grimpe avec Béru et moi sur le Thermos pour une croisière very délectable. Tu trouveras à bord des sirènes très sublimes, avec une proue qui n'a pas besoin de soutiens-loloches et une poupe que tu peux déguster à la cuiller. Y'a du champagne, du punch, de la vodka et du caviar... Et des bombes en guise de dessert. Très glacées, tu verras. Avec elles, t'es sûr de faire un boum... C'est les requins qui vont être contents ! Et si tu as envie de la quille, ben, sers-toi. Avant qu'elle coule.
Mange et tais-toi ! Dard, Frédéric
San-Antonio [62]: Moi, vous me connaissez ? Quand la femme d'un zig qui m'a sauvé la vie vient chialer dans mon giron en me disant que son mari va être flingué deux jours plus tard pour haute trahison, je vole à sa rescousse. Même si c'est à Saigon que le mec en question doit effacer sa ration de prunes. Béru, vous le connaissez ? Il est toujours prêt à suivre son supérieur aussi hiérarchique que bien-aimé sur les sentiers de la gloire et de la châtaigne, même quand il s'agit d'un boulot d'ordre privé. Les femmes, vous les connaissez ? Plus elles sont battues, plus elles vous attirent d'emmouscaillements. Heureusement que moi aussi je les connais ! Ainsi que la manière de s'en servir ! Quant à mon style, si vous le connaissez pas encore, c'est le moment de vous y mettre. Car ça me ferait mal à la thyroïde que vous décédiez en n'ayant lu que Montaigne et Jean-Jacques Rousseau ! Souvenez-vous d'une chose, les gars : la culture, y a que ça de vrai !
Ma sale peau blanche Dard, Frédéric
Il existe toujours un moment ou l'individu franchit les limites de sa conscience et laisse agir ses instincts.Dans l'immensité du Texas embrasé de chaleur, deux êtres tombent profondément épris l'un de l'autre et deviennent victimes de leur différence : lui, Gilles, un jeune Français en voyage, est blanc de peau, elle, Cynthia, qui « ressemble à une divinité barbare, infiniment belle et surprenante », est noire.Peu à peu cependant, Gilles devient conscient de n'éprouver pour Cynthia qu'un amour cérébral et se sent incapable de tout contact physique. Il lui revient alors en mémoire une image nauséeuse du temps de son enfance et qu'il avait cru enfouie à jamais : une nichée de rats morts-nés, à la peau noire et rose, douce et froide... comme la peau de Cynthia.Sur le point de l'épouser et ne pouvant s'y résoudre, il ne trouve qu'une échappatoire : la tuer. Mais pourquoi devra-t-il la tuer plusieurs fois ?...Il fallait toute la maîtrise de Frédéric Dard pour explorer les abysses de la schizophrénie et de ses hallucinations dans un roman ou la passion s'insère habilement dans une atmosphère fantastique.
Mausolée pour une garce Dard, Frédéric
– Comment m'a-t-elle retrouvé ?Je ne sais pas. Un jour, elle s'est arrêtée devant un café où vous buviez et elle m'a dit : "S'il mourrait, je toucherais vingt millions." Voilà comment tout a commencé.Attention, femme fatale ! L'ensorcelante Agnès est une formidable machine à séduire, à exploiter, à tromper, à détruire. Noir génie de l'érotisme et du mal, jusqu'où étendra-t-elle sa toile de crimes ?– Je me demande, après tout, si tu n'es pas folle.Chacun de nous est fou par rapport aux autres. Ce qui nous a perdu, toi et moi, c'est que tu étais toujours prêt à renoncer, et moi toujours prête. au pire pour arriver à mes fins. Aucune des deux formules n'est la bonne.Devant ce carrousel de la perversité et de la souffrance, on ne sait ce qu'il faut admirer le plus, de la prodigieuse verve romanesque de Frédéric Dard ou de son acharnement à traquer une dernière lueur de grâce et d'amour quand tout semble perdu.
Ménage tes méninges Dard, Frédéric
San-Antonio [49]: L'histoire qui est racontée ici est rigoureusement vraie. Je n'y ai pas changé une virgule. J'ai seulement modifié les événements, déformé les faits, interverti les situations, débaptisé les personnages et déplacé l'action. J'ai également pris des libertés avec le lecteur, la vocabulaire de l'affabulation. Oui, j'ai fait tout cela. Mais, parole d'homme, je n'ai pas changé une virgule à l'histoire. J'aurais peut-être dû... Ça aurait évité à Béru et au beau San-Antonio de se trouver dans la situation la plus effarante de leur brillante carrière. Et comme dit ce grand intellectuel de Bérurier : “Ménage tes méninges”, gars, et prépare tes mécaniques.
Mesdames vous aimez "ça" Dard, Frédéric
San-Antonio [160]: La vérité ? Rarement je suis passé aussi près de la grande faucheuse que dans ce book. Un tout petit peu plus, c'était :« bon suaire, m'sieurs-dames » sur l'air des lampions. Et tout ça, tu veux que je te dise ? A cause d'une gentille opticienne qui n'avait pas mis de culotte pour faire sa vitrine. Nous autres tringleurs, on est peu de chose, tu sais ! Pendant que j'y pense : n'en parle pas à maman, elle se ferait du mouron. Tu connais Félicie !...