Brgade de la peur Dard, Frédéric
Espionnage Fleuve Noir [5]: Un chercheur britannique, Jonas Mitchell a découvert des cristaux susceptibles de transformer instantanément l’énergie solaire en électricité. Or, la veille de l’expérimentation officielle de son invention, il disparaît avec les cristaux. Est-il parti de son plein gré ?L’a-t-on kidnappé ? Si oui, est-il encore vivant ? C’est ce que James Wim, l’agent 001 de l’Intelligence Service va devoir découvrir.
Buffalo Bide Dard, Frédéric
San-Antonio [146]: Chanson de salle de garde : “Non, non, non, Bérurier n'est pas mort. Non, non, non, Bérurier n'est pas mort, car il bande encore, car il bande encore” Et pourtant ! Oui, pourtant ! Il a bel et bien trépassé à l'ombre des montagnes Rocheuses, notre héroique Buffalo Bide. Il aura donné sa vie à la France. Et son vit à Cupidon. Qu'il repose en pets. Amen.
C'est mort et ça ne sait pas Dard, Frédéric
San-Antonio [15]: Je vous ai déjà passablement baladés à travers le monde, dans toutes les couches de toutes les sociétés, mais je n'ai pas souvenir de vous avoir présenté le Pape.N'en déduisez pas trop vite que ce bouquin se passe au Vatican et que Sa Sainteté, que je respecte profondément, est l'acteur d'une de mes facétieuses aventures ! Vous n'y êtes pas du tout.Le Pape dont le parle, s'il s'appelle Paul, ne porte pas de matricule ou plutôt n'en porte plus, vu que voilà bientôt dix piges qu'il est sorti de taule.Et c'est en toute candeur qu'il a troqué la casquette-à-Julot pour la tiare pontificale de la religion... luciférienne !Cette fois, vous avez pigé ! Oui, mes amis, Je vous emmène faire un tour dans une société secrète, avec messes noires, sacrifices et tout le schbigntz...Vous l'imaginez, votre San-Antonio, en enfant de diable ? Ne vous Inquiétez pas si mon encensoir fume, c'est qu'il vient de cracher quelques bastos de 9 mm.Paru en 1955
C'est toi le venin Dard, Frédéric
Spécial Police [135]: Sur la Côte d’Azur un éphémère animateur de radio âgé de vingt-huit ans, Victor Menda traîne du côté de Cannes sans argent, ni avenir. Cette nuit-là, une inconnue en voiture l’aborde, et ils ne tardent pas à faire l’amour. Elle disparaît bien vite. Intrigué par les manières de cette femme, Victor a noté le numéro du véhicule. Il n’a aucun mal à retrouver l’adresse supposée de la conductrice. Dans cette propriété, vivent les sœurs Lecain. Victor se fait recueillir par deux soeurs dont l'une, impotente est dans un fauteuil roulant. Et le drame éclate, car toutes les deux sont amoureuses de lui.
Ça baigne dans le béton Dard, Frédéric
San-Antonio [135]: M. Blanc m'avait pourtant prévenu : « Quand on entre dans le grosso modo du Lion, rien ne va plus ! Une période de haute merde commence. » Tout foire : les femmes les plus choucardes deviennent tartes comme un plat de furoncles et les mecs les plus virils se mettent à goder comme des cravates ! Voilà pourquoi, ayant à charge de protéger un couple de vieux kroums gâtochards, nous nous retrouvons, mes potes et moi, avec quatre cadavres sur les brandillons. Moi, tu me connais ? Au début, je ne voulais pas y croire, cartésien comme il est, ton Sana. Seulement, j'ai vite pigé ma douleur ! On vit une époque épique, je te jure !
Ça mange pas de pain Dard, Frédéric
San-Antonio [74]: Moi, vous me connaissez ? Jouer les privés, c'est pas mon fort. Même si le Vieux me flanque sa bénédiction... Même si le client allonge douze briques sur la table de notre salle à manger... En matière de police, comme en amour, je suis professionnel jusqu'aux extrémités. On ne se refait pas. Tout ça pour dire que douze millions d'A.F. me laissent de glace, comme disent les Lapons. Et pourtant, douze briques, hein... ça mange pas de pain !
Ca ne s'invente pas Dard, Frédéric
San-Antonio [80]: L'Inde mystérieuse, tu connais ? Tiens : j't'en joue un air à la flûte baveuse ! Si le maharadjah n'est pas content, dis-y qu'y s'fasse cuire du bouddha aux pommes ! Et des émeraudes pareilles, t'en as déjà vu, des émeraudes pareilles ? Vise l'éléphant rose, comme il tend la papatte à Béru... Comment ça, lequel qu'a la plus belle trompe ? Qu'est-ce que tu sous-entends ? En tout cas, la princesse, elle, faut voir comme elle donne bien son mignon fouinozof à Sana ! Il est sympa, le fakir, hein ? Il a su rester vieux malgré son jeûne. Ce qu'il maquille en palanquin, le Gros ? Ben, t'as qu'à lire, tu verras !
Ça tourne au vinaigre Dard, Frédéric
San-Antonio [21]: Béru ne bronche pas... Je lui file une bourrade et le Gros bascule contre la vitre. Alors, je sens une cohorte de fourmis envahir mon calbar et remonter le long de mon anatomie. J'actionne le plafonnier de la voiture et je vois une formidable flaque de sang sur la banquette. Le Gros a bloqué une praline dans la région du cou et il s'est à peu près vidé. Tel, il me paraît un peu mort. Toute l'affection que je lui porte me remonte à la gorge. – Béru ! je balbutie. Béru, vieux pote, joue pas au con... Tu m'entends, dis ?
Ceci est bien une pipe Dard, Frédéric
San-Antonio [172]: À l'époque du bienheureux Al Capone, l'Amérique connut “la guerre des gangs”.Le conflit a fait moins de victimes que celui de 14-18, toutefois, il a été sévère. En ce temps-là, quand tu dérapais sur un trottoir, c'était dans une flaque de sang plutôt que sur une peau de banane !Y avait des flingueurs partout : dans les restaurants, les cinoches, les églises, les pissotières et les rues, surtout !On croyait ces fantaisies révolues. Fume, mon grand, fume ! Voilà que, sous une autre forme, tout recommence. En gigantesque ! En omniprésent ! En plus qu'impitoyable !Le “Consortium”, ça s'appelle, cette vérolerie.Et moi, le Sana-joli, avec mon courage démentiel et ma belle bitoune toujours prête, je m'attaque à cette hydre !Malheur de mes os !A compter de cet instant, il m'arrive les pires trucs et je marche sur un tapis de cadavres !Tout s'écroule autour de ma pomme. Apocalypse intégrale ! La mort, l'horreur, la folie ! Le bout du bout, quoi !Âmes sensibles s'abstenir !Quant aux autres, prenez le pied de votre vie !C'est ma tournée !
Céréales killer Dard, Frédéric
San-Antonio [175]: Antoine San-Antonio qui vient de terminer major de l'école de police se retrouve principal suspect du meurtre monstrueux de Mélanie Godemiche puisque sa casquette a été découverte à côté du cadavre. San-Antonio mène l'enquête afin d'innocenter son fils adoptif. D'autres crimes sadiques de jeunes femmes suivent malgré le démantèlement de la bande de Paco, un traficant de drogue, à Rome. Antoine est mis en examen mais s'échappe. Nicolas Godemiche avoue les crimes pour protéger quelqu'un d'autre ...
Certaines l'aiment chauve Dard, Frédéric
San-Antonio [89]: Ben, mon vieux, dans le machin ici présent que voici, il y est pas été a'v'c le dos de la cuiller, le Sana ! Youyouille, tu parles d'un circus, mon n'veu ! Ça carbonise à tout va. Des événements pas banaux, espère ! Quant à ce dont qui concerne les gonzesses, je peux t'résumer en trois mots : dé-gueu-lasse ! Enfin, brèfle, on s'est bien marrés. Je t'en serre cinq.A-B. BérurierParu en 1975
Cette mort dont tu parlais Dard, Frédéric
Retraité précoce, un fonctionnaire rencontre une jeune femme par petite annonce et l'emmène vivre dans une ferme de Sologne. Mais le fils qu'elle a déjà, sous des dehors charmants, est une petite frappe inquiétante et perverse. Elle-même... — En somme, vous êtes heureux ? — C'est un grand mot... — Elle paraît gentille. Peut-être un peu trop, non ? Dans un climat d'érotisme et de peur, de cupidité et de haines contenues, Frédéric Dard nous montre, avec sa cruauté baroque jusqu'ou peut conduire l'asservissement sexuel. Et c'est terrible.
Champagne pour tout le monde ! Dard, Frédéric
San-Antonio [107]: Je vais te dire...Moi, quand je prête mon aimable concours à une gourgandine pour l’aider à perpétrer un vol et que ma carrière de flic d’élite ne sombre pas dans l’aventure.Quand les bombes m’éclatent sous les claouis sans me causer la moindre égratignure.Quand je suis expédie à perpète au fond d’un puits d’où personne n’est jamais sorti, pas même la vérité, et que j’en remonte frais comme un gardon.Oui, moi, quand tout ça, plus le reste m’arrive, à la fin de ces délicatesses, je respire un grand coup et je m’écrie:— Champagne pour tout le monde !À la bonne mienne, les gars !
Chauds, les lapins ! Dard, Frédéric
San-Antonio [125]: Les Éditions Fleuve Noir ont longuement hésité avant de publier cet ouvrage. Car les événements qu'il retrace sont rigoureusement authentiques et mettent en cause l'épouse d'un ministre. L'aventure survenue à cette courageuse femme est hors du commun, c'est pourquoi, seule une acceptation de sa part pouvait nous décider à éditer ce livre. Ce consentement héroïque, elle nous l'a donné sans réserve. Nous prions donc Mme Alexandre-Benoît Bérurier de trouver ici l'expression de notre admiration et de notre reconnaissance.Le ministre de l'intérieur Bérurier se rend à la conférence d'Interpol à Amsterdam accompagné de Berthe qui souhaite ardemment visiter le quartier des prostituées. Elle y est attirée dans un traquenard et photographiée en pleine orgie. De retour à Paris sans Berthe qui a disparu, Bérurier reçoit les photos accompagnées d'une lettre de menaces et décide de démissionner de son poste pour se soustraire au chantage. Il repart à Amsterdam avec San-Antonio et tous deux découvrent que Hans Bergen, un puissant armateur, est mêlé à l'enlèvement. Berthe réapparaît à Paris après sa séquestration sur un cargo dont elle a épongé tout l'équipage, enregistrement vidéo à l'appui. Craignant une humiliation publique et afin de pouvoir plaider un coup monté, San-Antonio décide de substituer Carmen, une prostituée, à Berthe. Il repart à Amsterdam avec Mathias pour continuer l'enquête qui mène à Hieronymus Krül, directeur de la police d'Amsterdam. Bérurier a été pris au piège et est pourchassé et blessé après le meurtre de Hans Bergen. Lui et San-Antonio échappent de justesse à la bande et reviennent à Paris avec des prisonniers, mais ne peuvent compter sur l'aide du Vieux qui n'a toujours pas digéré sa révocation récente. Finalement, l'affaire trouve son dénouement après l'attentat manqué de la Tour Eiffel où Berthe devait involontairement causer l'assassinat du président de la République.
Chérie, passe-moi tes microbes ! Dard, Frédéric
San-Antonio [93]: Tu ne m’ôteras pas de l’idée que si nous n’avions pas aperçu M. Félix, menottes aux poignets, un après-midi, à la Porte Saint-Martin, rien de tout cela ne serait arrivé. Qu’en tout cas, ça se serait passé autrement. Et que nous a-t-il dit, M. Félix ? Ceci : « Oui, messieurs, je montre mon sexe dans les couloirs du Métropolitain, c’est vrai. Je ne suis pas particulièrement sadique, enfin pas davantage que n’importe qui ; mais si j’agis de la sorte, c’est pour créer de l’émotion. En exhibant ma b… je l’exprime ; j’accomplis bon gré mal gré un acte littéraire. » Complètement azimuté, M. Félix ! Remarque, en réfléchissant bien : même s’il s’était pas fait poirer à montrer Coquette dans le métro, tout ça serait arrivé quand même.
Circulez ! Y a rien à voir Dard, Frédéric
San-Antonio [132]: Roman délimité de qualité supérieure par la Chambre de Commercé de Pointe-à-Pitre.Aurait dû s’intituler La tour Eiffel dans le train, ce qui était bien plus marrant, moi je prétends ; mais “ils” ont trouvé que ça faisait vulgaire. Alors, bon, qu’est-ce tu veux que je te dise, hein ? Mais franchement, la démocratie, c’est juste l’idée qu’on s’en fait !Toujours est-il que la tour Eiffel est bel et bien dans le train et que tout ce qui s’ensuit, ben mon vieux, tu m’en diras des nouvelles !Tu connaissais pas les Mystères de Nouille York ? les voici !
Cocottes-minute Dard, Frédéric
San-Antonio [143]: Tu as déjà acheté de la viande sous cellophane, toi ? Oui ? Ben, faut vivre avec son temps bouffe-merdique, que veux-tu. Mais des bites sous cellophane, t'en as déjà vu des bites sous cellophane ? Jamais ? Moi si ! Lis ce book et t'en auras plein la musette (plein l'amusette). Une aventure pareille, j'ai bien cherché : tu peux pas la trouver ailleurs que dans mon oeuvre. En plus des biroutes par paquets, t'auras droit à des frangines ultra-rapidos du réchaud. Elles te regardent et ton bénouze se transforme en socquette. Je les appelle des cocottes-minute.
Concerto pour porte-jarretelles Dard, Frédéric
San-Antonio [90]: C'est beau, un porte-jarretelles ! C'est musical. Y en a qui préfèrent la guitare électrique, libre à eux, tout le monde peut pas avoir ma santé. Moi, le collant, j'admets pour les danseurs à la rigueur. Mais reconnais qu'une frangine, son triangle de panne est beaucoup mieux en situation sous les branches d'un porte-jarretelles en fleurs, non ? La couleur de cul d'ici j'te la dirai pas, t'as qu'à m'acheter ; pour le prix que je coûte, à l'heure d'aujourd'hui, ça vaut même pas la peine de m'emprunter. D'autant que dans ce gros book il est pas question que de porte-jarretelles. Y a aussi le reste.
De "A" jusqu'à "Z" Dard, Frédéric
San-Antonio [46]: « Mes funérailles étaient prévues pour dix heures, mais dès neuf heures, la maison était déjà pleine de gens. Tout le monde pleurait, ce qui me touchait beaucoup. Sur les faire-part on avait précisé "ni fleurs ni couronnes", histoire de ne pas mettre les copains dans les frais, mais, nonobstant cette recommandation, la plupart des assistants s'annonçaient avec des gerbes, des couronnes, des coussins d'oeillets, des croix en roses et autres joyeux présents. Oui, il faut vraiment mourir pour mesurer le degré de sa popularité. J'en étais tout ému. Mais quand j'ai vu radiner le Gros, beau comme une pissotière repeinte, dans un complet noir, avec une chemise vraiment (et très provisoirement) blanche, soutenu par Alfred le coiffeur, mon coeur m'est remonté dans le gosier. »
Dégustez, gourmandes Dard, Frédéric
San-Antonio [122]: À l'occasion du centenaire de ma mort, je suis heureux de vous présenter un San-Antonio nouvelle manière. Le fameux commissaire guigne la succession d'un Superman international et, l'espace d'un livre, devient son disciple. Alors, il met la baise et la rigolade en veilleuse pour tenter de réussir son examen de passage. S'il y parvient, Sana sera promu super-dauphin. S'il échoue, il sera sacré bézuquet à vie. Dans un cas comme dans l'autre, il continuera d'escalader ces dames et de dilater la rate de leurs maris. À la vôtre ! Victor Hugo
De l’antigel dans le calbute Dard, Frédéric
San-Antonio [167]: Tu le savais, toi, que la Namibie existait ? Il a fallu que j'y aille pour m'en asssurer. Et j'ai eu raison parce que, là-bas, il s'en passe des choses. Ca se chicorne à mort dans ce book. Avec la peau de tous les gaziers qui y défuntent tu pourrais refaire le tapis de Palais des Sports.Ca me la sectionne au ras des frangines, que tant de gens sacrifient leur garce de vie, une et indivisible, sur l'autel de l'arnaque. Note que les flics dans mon genre sont encore plus cons puisqu'ils font cadeau de la leur !Car notre devise, à nous autres, c'est : "Pas le beurre, pas l'argent du beurre : tout à la graisse d'oie !"
Derniére mission Dard, Frédéric
Espionnage Fleuve Noir [4]: Quelques années après la fin de la Deuxième Guerre mondiale, Mik Kramer et Lucia, deux agents secrets allemands, sont chargés par une organisation nazie de récupérer en France la formule d’un rayon devant permettre la renaissance du Grand Reich. Ils se heurtent aux services de contre-espionnage anglais et français, au cours d’une ronde infernale, en un jeu cruel et impitoyable de « qui-perd-gagne ». L’angoisse et le suspense sont omniprésents ; la haine et la mort monnaie courante.
Descendez-le à la prochaine Dard, Frédéric
San-Antonio [8]: Le gars qui pourrait me prouver par A+B qu'il a, au cours de son existence, exécuté une besogne plus débectante que celle à laquelle je me livre depuis une huitaine de jours aurait droit, selon moi,au salut militaire, au salut éternel et à une place assise dans les chemins de fer. Faut vraiment avoir le palpitant arrimé avec du gros filin pour tenir le choc. Et je le tiens, moi, le choc, parce que mon job c'est justement de ne pas faire la fine bouche. Voilà une semaine que je visite les morgues de France à la recherche d'un cadavre...Paru en 1953
Des clientes pour la morgue Dard, Frédéric
San-Antonio [7]: À Paris, le commissaire San-Antonio prend d’instinct en filature une dame plutôt curieuse. En effet, le flair du commissaire a repéré tout de suite un homme déguisé. Cela le conduit jusqu'en Suisse, où le mystérieux individu se suicide sous ses yeux, dans sa chambre d'hôtel, après avoir reçu un coup de téléphone.
Des dragées sans baptême Dard, Frédéric
San-Antonio [6]: Lorsque votre chef vous demande à brûle-pourpoint ce que vous pensez d'un copain, on ne peut que la boucler un instant, ne serait-ce que pour se demander ce qui le pousse à poser une question pareille et aussi comment on va y répondre. Le grand patron est agité. Il est adossé au radiateur, ou plutôt, comme il mesure deux mètres, il est assis dessus. Il passe sans arrêt sa main fine sur son crâne en peau de fesse véritable. Ses yeux bleuâtres me considèrent avec intérêt. Je sens qu'à moins d'accepter de passer pour une truffe le moment est venu de me manifester. Je me racle le gosier. – Wolf, je balbutie... Wolf... Ben, c'est un bon petit gars, non ?– Non, San-Antonio : Wolf n'est pas un bon petit gars, et vous le savez aussi bien que moi...