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« La plupart des hommes fabriquent des vivants,
moi je fabrique des morts. Ça va plus vite, et ça
impressionne davantage. » Âmes sensibles,
s’abstenir. L’Ange Noir est tout sauf un marrant.
L’Ange Noir est l’ennemi public n° 1.
Flics, femmes, cadors du crime : personne ne lui
résiste. Et surtout pas la mort. Vivre sans temps mort
et jouir sans entraves, telle pourrait être sa devise.
Même quand il s’agit de raconter son
épopée, il n’y a pas un chroniqueur qui
tienne la distance. Alors il va s’en charger seul. Cet
Al Capone moderne n’a décidément pas
l’esprit d’équipe. Sans honte, sans peur, et
surtout sans filtre, l’Ange Noir prend la parole et
déroule le fil de son épopée sanglante.
Premier meurtre à déclarer ? Sa mère
– un accident de naissance. Après elle, personne
n‘y échappe, de Londres à Paris, en passant
par Mexico. L’Ange Noir a la gâchette facile, le
« beau sexe » pour obsession, et un
sale penchant pour l’alcool. Les originaux de ces
confessions publiées en 1952 sous le pseudonyme de
l’Ange Noir, réunis ici en un volume,
préfigurent, par bien des aspects,
l’avènement du légendaire San-Antonio.