Crime à Chicago Brown, Fredric
Ed & Am Hunter [1]: Crime à Chicago est la première enquête mettant en scène les personnages les plus célèbres de Fredric Brown, Am Hunter et son neveu Ed. C'est un roman à l'intrigue brillante et une histoire d'amour pudique et émouvante entre un adulte et un adolescent. Un des chefs-d'œuvre incontestés du roman policier américain.
La belle et la bête Brown, Fredric
Quand un ivrogne rencontre une statue, qu'est-ce qu'il lui raconte ? Qu'est-ce qu'elle lui répond ? Lui dit-il qu'elle est belle, émouvante et qu'elle ressemble à une fille aperçue un soir de soûlerie, ensanglantée, dans une rue obscure et qu'il n'a jamais pu oublier ? Lui dit-il qu'elle est devenue statue un jour qu'elle avait trop peur de mourir ?
La mort a ses entrées Brown, Fredric
Ed & Am Hunter [5]: Il est de ces écrivains que l'on ne cerne jamais tout à fait ; chaque roman est un nouvel univers, avec ses lois et règles du jeu. Fredric Brown (l906-1972) ficelle ses polars avec toute la tendresse et le professionnalisme d'un boucher travaillant dans l'amour de l'art. Pas de scènes sanguinolentes, mais la triste réalité du quotidien qui, pour des raisons obscures, bascule un jour dans l'irrationnel de l'homicide.
Le fantôme du chimpanzé Brown, Fredric
Ed & Am Hunter [2]: Tout commence par l'assassinat d'un nain – que personne ne connaît – sur le champ de foire où l'oncle Am (Hunter) tient avec son neveu Ed – deux personnages bien connus des lecteurs de Frédéric Brown – une baraque de “chamboule-tout” ! L'histoire se complique ensuite avec la mort suspecte d'un chimpanzé (mais est-il vraiment mort ?). Le flic (joueur de trompette) a beau sympathiser avec Ed (joueur de trombone), il n'y comprend pas grand-chose... et ne pourra empêcher un autre crime atroce : celui d'un petit garçon noir danseur de claquettes. Pourtant, grâce aux déductions de l'oncle Am une explication à la logique purement “brownienne” sera finalement donnée. Restera à résoudre le problème sentimental du jeune Ed, amoureux d'une strip-teaseuse de la baraque des “Tableaux vivants”...
Le monstre vous salue bien Brown, Fredric
Ed & Am Hunter [4]: Ed Hunter, jeune détective encore novice, attend en vain, ce soir-là, Ambrose, son oncle et collègue. Am serait-il tombé, comme le croit la jolie Estelle, entre les pattes d'un névrosé qui collectionne les Ambrose comme on épingle les papillons ? L'anxiété croît dans l'agence de Ben Starlock... Ed se lance seul dans une enquête serrée, où tous les suspects ont un alibi en or.
Les dessous de madame Murphy Brown, Fredric
Ed & Am Hunter [7]: Ed et Am Hunter sont des détectives à la Fredric Brown. On est loin des “hard-boiled”, les durs à cuire des romans très noirs américains. Si ce sont des célibataires endurcis. Ed, le neveu, ne manque jamais de tomber dans tous les pièges de l'amour. Et s'ils sont détectives privés, c'est une sorte de continuation de la vie de bohème qu'a menée l'oncle Am dans un cirque.Pour Brown, la mise en scène de ces deux personnages est avant tout une vision poétique, humoristique et parodique parfois, du roman policier. Le titre lui-même, qui n'a vraiment aucun rapport avec l'enquête, est déjà un clin d'œil. Il fonctionne à double sens. Dentelles ou secrets policiers ?Fredric Brown évolue avec aisance dans le polar, car il sait aussi inventer des intrigues. Quand Ed surprend un petit garçon dans sa chambre qui cherche un pistolet, on entre de plain-pied dans le mystère de l'insolite. Surtout quand le petit garçon craque et avoue vouloir protéger son père. Mais il est difficile de tracer une frontière entre la réalité et l'imaginaire, et, quand un enfant de 8 ans persiste à considérer son père menacé par un complot bien mystérieux, on l'envoie voir un psychiatre. Et pourtant Ed et Am Hunter décident de s'occuper de l'affaire, parce qu'affaire il y a.On ne le dira jamais assez, si vous aimez le roman policier, la tendresse, l'humour, l'ambiguïté, lisez Fredric Brown.
Martiens, go home ! Brown, Fredric
Enfermé dans une cabane en plein désert, Luke Devereaux, auteur de science-fiction en mal d'invention, invoque désespérément sa muse – de toute évidence retenue ailleurs – quand soudain... on frappe à la porte. Et un petit homme vert, goguenard, apostrophe Luke d'un désinvolte « Salut Toto ! ».Un milliard de Martiens, hâbleurs, exaspérants, mal embouchés, d'une familiarité répugnante, révélant tous les secrets, clamant partout la vérité, viennent d'envahir la Terre. Mais comment s'en débarrasser ?Fredric Brown (1906-1972) a exercé à peu près tous les métiers avant de débuter dans la littérature par des romans policiers. Ses nouvelles, très nombreuses et aussi cotées que ses romans, sont de petits bijoux d'humour et d'invention qui le placent parmi les auteurs cultes de la science-fiction américaine.
Meurtres en filigrane Brown, Fredric
Il s'appelait Darius Conn.Il avait du talent, des idées, de la ressource. C'était un amateur doué. Il tuait à l'économie, parce que c'était nécessaire, sans plaisir, mais non sans orgueil. Il se disait que ses crimes passeraient à la postérité. Des crimes parfaits. Il se gobait. Il se gobait un peu trop. Parce que, en fin de compte, ce n'était qu'un amateur et ça ne pouvait pas durer. Adapté au cinéma en 1992 par Gérard Jourd'hui, avec Michel Serrault, Anna Galiena et Pierre Richard, sous le titre « Vieille canaille »
Paradoxe perdu Brown, Fredric
Lire Paradoxe perdu, c'est pénétrer dans un univers... où l'on peut disparaître dans une faille du temps à la suite d'une mouche et se retrouver en train de chasser le dinosaure au lance-pierres... où il faut parfois tuer les gens pour savoir s'ils sont réels (pour plus de sûreté, consulter les Archives de Réalité)... où un imprésario fera de vous une grande vedette tout en prenant dix pour cent de votre vie – et peut-être de votre mort... où l'horreur des chats peut vous catapulter cataclysmiquement dans une catatonie catabolique... où l'on découvre des planètes qui ne sont vraiment pas Sirius... où les silhouettes qui s'agitent sur l'écran de la télévision sont elles-mêmes au spectacle, et nous regardent vivre. Bien d'autres choses encore, dans cette dernière œuvre inédite de Fredric Brown, mort en 1972.
Regrets éternels Brown, Fredric
Ed & Am Hunter [6]: La ravissante Wanda Rogers sait-elle ce que sont devenus les 46 000 dollars puisés dans les caisses de la municipalité de Freeland, près de Chicago ? Son père en était le trésorier au-dessus de tout soupçon, avant de mourir dans un accident de la circulation...Pas mal de monde en est persuadé. Les flics, la compagnie d'assurance, et d'autres individus encore plus mal intentionnés.Tous tournent autour de la jeune femme. Certains meurent...Ed et Am Hunter, détectives privés, ont besoin de toute leur sagacité pour éclaircir l'affaire.
Trente cadavres tous les jeudis Brown, Fredric
- En direct avec l'Au-delà - Coup monté- Trente cadavres tous les jeudis - L'énigme du macchabée - Meurtre sur les planches - Une star a disparu
Un cadavre au clair de lune Brown, Fredric
Ed & Am Hunter [3]: Frédéric Brown a un don rare, un certain génie : il représente non seulement une véritable mine d'idées de choc, mais aussi une surprenante machine à exploiter ces idées dans les limites du roman. Une autre spécialité de cet auteur insolent, toujours le qui vive, est de s'attaquer aux pires poncifs que l'on puisse concevoir. On peut faire confiance à son imagination : il arrive toujours à transformer des lieux communs en de fulgurantes trouvailles. Quant à l'humour qui marque son oeuvre c'est l'un des plus corrosifs de ce siècle.