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Tous les livres de Clavel, Bernard
Index alphab�tique des 12 livres
Collection: Le Royaume du Nord
Harricana, L'or de la terre, Amarok, L'angélus du soir, Maudits sauvages
La louve du Noirmont
Clavel, Bernard
Sous la pleine lune de février, la meute des loups frémit. Au milieu de la clairière, Berg – superbe mâle – se livre à un combat sanglant pour Silva, la plus belle des louves. Vainqueur, Berg s'en va avec sa nouvelle compagne chercher une tanière ou vivre la saison des amours et donner naissance à trois petits. Mais après le bel été vient brutalement l'automne : commencent alors la chasse et la longue errance des loups...
Le carcajou
Clavel, Bernard
Quatre Indiens du Canada s’en vont “trapper” en plein hiver dans la taïga. Mais ceux-ci ne sont plus jeunes, le froid est mordant et le gibier est rare, car l’homme a attaqué la forêt ; déboisant à outrance, il a détruit les équilibres naturels… Dans cette ambiance crépusculaire rôde le carcajou, sorte d’incarnation du mal, féroce et cruel, qui dévore tout sur son passage. Waboos, le plus âgé des chasseurs, se lance à sa poursuite … mais que peut-on contre le mal ?
Le tonnerre de Dieu (Qui m'emporte)
Clavel, Bernard
De temps en temps, quittant sa femme, Brassac descend à Lyon pour satisfaire sa passion de la boisson et des filles. Là, devant un public complaisant, il joue volontiers le hobereau excentrique. Lorsqu'il regagne son domaine, il ramène souvent avec lui un chien perdu ; ainsi sa maison en est pleine... Cette fois, c'est une fille. Il était saoul ; elle, abrutie de sommeil. L'un suivant l'autre, ils arrivent chez lui, dans cette maison délabrée où il vit en sauvage entre sa femme et ses chiens. Et elle demeure, s'installe...
Malataverne
Clavel, Bernard
Ils sont trois, trois copains disparates réunis par le hasard dans un bourg du Jura. Serge, blond, fragile, très fils de famille ; Christophe, opulent comme l'épicerie paternelle ; enfin Robet, apprenti plombier, qui fuit un foyer où l'ivrognerie règne, et dont le seul réconfort est Gilberte, la fille d'un fermier voisin.Ce ne sont pas –pas encore– des voyous.Seulement des gosses incompris de leurs parents, livrés à eux-mêmes, incapables de s'insérer dans notre société. Enhardis, grisés par un vol de fromage, ils décident de tenter "un grand coup" à Malataverne. Serge et Christophe ont tout mis au point. Seul, Robert hésite.Lâcheté ? Honnêteté ? Superstition ? Personne ne peut l'aider, il est seul devant sa conscience. Seul devant les yeux clairs de Gilberte. Seul devant Malataverne, le lieu maudit.
Meurtre sur le Grandvaux
Clavel, Bernard
« Si ce roman a jailli de moi d’un trait, c'est à la manière du sang qui coule d’une blessure. La dernière ligne écrite, j'étais comme vidé de vie », avoue Bernard Clavel qui atteint là une force tragique, une puissance et une maîtrise uniques. L’intensité du drame est à la mesure de sa brièveté. Des mots simples et forts nous mènent dans ce pays aussi mythique que vrai, où les hommes, isolés de tout, perdus dans les brouillards d’une montagne toujours noire, enfermés dans leurs secrets, se dressent, rudes, fiers et sauvages. 
Miséréré
Clavel, Bernard
Au Canada, comme aux États-Unis, la Grande Dépression de 1929 jette sur les routes des milliers de chômeurs. Pour prévenir les émeutes populaires dans les grandes villes, l'État livre en pâture le Royaume du Nord aux plus pauvres. Ces colons faméliques arrivent alors en Abitibi. Bercés de discours trompeurs, ils ignorent qu'il leur faudra conquérir cette terre qu'ils croyaient offerte, défricher d'impénétrables forêts, se battre contre la neige et le froid, et surtout contre eux-mêmes. Miserere, c'est l'histoire de ces hommes et de ces femmes animés d'une folle espérance qui vont réussir l'impossible : vivre et garder leur dignité au milieu d'une nature inhumaine.
Victoire au Mans
Clavel, Bernard
Admis au sein d’une équipe de coureurs et de mécaniciens, Bernard Clavel raconte la plus célèbre course du monde, non pas en spécialiste mais en homme qui a découvert là un univers exaltant, un métier de rigueur et de passion, une camaraderie née des joies et des angoisses partagées. Mais tandis que, sur la piste, les pilotes foncent à plus de 200 km/h vers la gloire ou l’échec – et parfois la mort –, tandis que, dans les stands, des mécaniciens anonymes réalisent d’extraordinaires prouesses techniques, Le Mans est aussi un grand rassemblement de “fans” et de curieux, une fête de couleurs, de jeux et de chansons, dont l’éclat va briller sans trêve, de nuit et de jour, durant vingt-quatre heures. Au roman, Bernard Clavel a préféré ici le témoignage, le récit en prise directe sur une réalité complexe et chargée d’émotions, intensément contemporaine.