Le lieu du crime George, Elisabeth
Le manoir écossais de Westerbrae, à plusieurs kilomètres de toute habitation, est transformé en hôtel. Une troupe de comédiens de Londres répète sa nouvelle pièce, sous la direction du producteur Lord Stinhurst. Dès la première nuit : un meurtre ! Les suspects sont pratiquement aussi nombreux que les personnes présentes. Chacun aurait eu une bonne raison de supprimer l'auteur de la pièce, Joy Sinclair, une femme pleine d'avenir. C'est dans une atmosphère terriblement lourde que l'inspecteur Lynley et son adjointe, Barbara Havers, vont mener leur enquête, mettant à jour scandales familiaux, rivalités théâtrales et attitudes passionnelles. L'enquête est d'autant plus difficile pour l'inspecteur que l'une de ses amies de cœur, Lady Helen, est étroitement mêlée au drame. C'est alors que l'homme à tout faire de l'hôtel est, à son tour, sauvagement assassiné...
Mal d'enfant George, Elisabeth
Novembre à Londres. Déprimée par des fausses couches à répétition, Deborah Saint James déambule dans les salles de la National Gallery. Submergée par le chagrin face à une Vierge à l'Enfant radieuse, elle trouve du réconfort auprès de Robin Sage, un pasteur qui l'invite à lui rendre visite dans le Lancashire. Quand Deborah et son mari arrivent chez Robin, leur hôte est mort. Il aurait été victime d'un empoisonnement accidentel. Une hypothèse inenvisageable pour Simon SaintJames, expert en sciences légales. Avec son vieil ami l'inspecteur Lynley, il décide de reprendre l'enquête sabotée par la police locale. Ensemble, ils vont découvrir les enfers insoupçonnés que recèle parfois le quotidien d'un village trop paisible.
Une douce vengeance George, Elisabeth
Au cours d'un week-end en Cornouailles dans la propriété familiale, l'inspecteur Thomas Lynley et ses invités découvrent le cadavre atrocement mutilé d'un journaliste local. Bien qu'il ne soit pas sur son terrain, Lynley est amené à collaborer avec ses collègues de province. Les hasards de l'enquête vont peu à peu dévoiler la personnalité profonde de Lynley : traumatisé par la lente agonie de son père et la “trahison” de sa mère, il n'a toujours pas pardonné... Dans ce récit poignant d'un long apprentissage – celui du pardon et de l'oubli –, Elizabeth George fait preuve, pour dépeindre ses personnages, d'une finesse d'observation hors du commun. Elle se révèle, roman après roman, l'une des meilleures représentantes du policier d'atmosphère “à l'anglaise”.