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Les milliards d'Arsène Lupin
Leblanc, Maurice
Les aventures d'Arsène Lupin [23]: Les Milliards d'Arsène Lupin est un roman policier de Maurice Leblanc paru en 29 feuilletons quotidiens, illustrés par Jean Oberlé, dans L'Auto du 10 janvier au 11 février 1939 ; puis paru en volume in-16 chez Hachette (Collection « L'Énigme ») en novembre 1941.RésuméPatricia, jeune Américaine, assistante de James Mac Allermy est très appréciée de son patron. Ce dernier a fondé, aux États-Unis, « Allô-Police », un journal à sensation qui relate les faits criminels, et il envisage pour sa précieuse secrétaire un bel avenir professionnel. Il n’ignore pas que la jolie femme a été séduite et abandonnée, à son grand regret, par son propre fils, lequel a finalement fait un mariage plus en accord avec sa fortune. Par suite de cette liaison, Patricia s’est retrouvée fille-mère, mais la présence de Rodolphe, son jeune enfant, lui donne le courage d’affronter la vie. Un événement va cependant donner une autre tournure à son existence...
Les trois yeux
Leblanc, Maurice
Victorien Beaugrand (le narrateur) séjourne chez son oncle Noël Dorgeroux à Meudon, en attendant sa nomination comme professeur à Grenoble. Il y entretient une idylle avec Bérangère, la filleule de cet oncle. Dorgeroux, chercheur solitaire qui travaille dans le secret au fond d’un hangar de son enclos, va le mettre au courant d’une découverte fantastique qui l’a bouleversé. Un pan de mur mystérieux que le chercheur dissimule habituellement sous un voile noir fait apparaître, une fois activé, un œil immense mais stylisé (une sorte de « triangle avec des côtés courbes ») , à l’intérieur duquel deux yeux expressifs semblent bouger et vivre.
Le triangle d'or
Leblanc, Maurice
Les aventures d'Arsène Lupin [8]: Dans ce roman écrit en 1918, Don Luis Perenna, alias Arsène Lupin, n'intervient que pour sauver et dénouer les pièges tendus devant les malheureux personnages de l'intrigue...Extrait: L'un portait la capote bleu horizon du fantassin ; l'autre, un Sénégalais, ces vêtement de laine beige, à large culotte et à veston cintré, dont on a habillé, depuis la guerre, les zouaves et les troupes d'Afrique. L'un n'avait plus qu'une jambe, la gauche ; l'autre, plus qu'un bras, le droit. Ils firent le tour de l'esplanade, au centre de laquelle se dresse un joli groupe de Silènes, et s'arrêtèrent. Le fantassin jeta sa cigarette. Le Sénégalais la ramassa, en tira vivement quelques bouffées, la pressa, pour l'éteindre, entre le pouce et l'index et la mit dans sa poche. Tout cela sans un mot. Presque en même temps, de la rue Galliera, débouchèrent deux autres soldats, dont il eût été impossible de dire à quelle arme ils appartenaient, leur tenue militaire se composant des effets civils les plus disparates. Cependant, l'un arborait la chéchia du zouave ; l'autre, le képi de l'artilleur. Le premier marchait avec des béquilles, le second avec des cannes. Ceux-là se tinrent auprès du kiosque qui s'élève au bord du trottoir. Par les rues Pierre-Charron, Brignoles et de Chaillot, il en vint encore, isolément, trois : un chasseur à pied manchot, un sapeur qui boitait, un marsouin dont une hanche était comme tordue. Ils allèrent droit, chacun vers un arbre, auquel chacun s'appuya. Entre eux, nulle parole ne fut échangée. Aucun de ces sept mutilés ne semblait connaître ses compagnons et ne semblait s'occuper ni même s'apercevoir de leur présence. Debout derrière leurs arbres, ou derrière le kiosque, ou derrière le groupe de Silènes, ils ne bougeaient pas. Et les rares passants qui traversaient, en cette soirée du 3 avril 1915, ce carrefour peu fréquenté, que des réverbères encapuchonnés éclairaient à peine, ne s'attardaient pas à noter leurs silhouettes immobiles. La demie de six heures sonna. À ce moment, la porte d'une des maisons qui ont vue sur la place s'ouvrit. Un homme sortit de cette maison, referma la porte, franchit la rue de Chaillot et contourna l'esplanade. 
Service d'ami
Leblanc, Maurice
Lorsqu'un comte dans la grande tradition de la noblesse et une charmante comtesse, viennent rendre service à un vieux duc, il peut y avoir anguille sous roche... De même que la nouvelle Un Gentleman, publiée par notre site, ce très court texte apparaît comme un autre préfiguration de celui qui deviendra le gentleman cambrioleur, Arsène Lupin.
Une aventure d'Arsène Lupin
Leblanc, Maurice
Cette saynète fut jouée du 15 septembre au 15 octobre 1911 au music-hall «La Cigale», alors en vogue. La presse de l'époque fut chaleureuse à l'égard de cette pièce. Ainsi Excelsior écrivait : «L'acte de M. Maurice Leblanc est fort pittoresque, et la nouvelle et fantastique histoire de collier qu'il nous conte ne tardera pas à devenir populaire.»
Un gentleman
Leblanc, Maurice
Lorsque vous rencontrez un gentleman, bien sous tout rapport, il ne faut pas lui accorder une confiance aveugle pour autant...
Victor, de la Brigade Mondaine
Leblanc, Maurice
Les aventures d'Arsène Lupin [21]:
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