Collection: Saga Cortès
Les yeux jaunes des crocodiles, La valse lente des tortues, Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi
Encore une danse Pancol, Katherine
Clara se demande une nouvelle fois si cette aptitude à vivre seule ne vient pas de l'absence de ses parents. Elle n'a jamais eu de modèle ni de couple ni de famille à se mettre sous la dent. Le seul avec lequel elle forme un couple, c'est son frère Philippe. Sa seule famille sont ses amies. Agnès, celle du poulet aux oignons dans son F4 à Clichy, Joséphine, Lucille. Elles ont habité le même immeuble, sont allées dans les mêmes écoles. Philippe, Clara, Agnès, Joséphine, Lucille et l'autre, celui dont elle ne veut pas prononcer le prénom, formaient une bande. Les bandes, il n'y a rien de mieux pour exister quand on est petit.Ils ont grandi ensemble. Les garçons étaient les chefs, comme de bien entendu. Ils étaient les plus grands, les plus forts et puis c'étaient des garçons. On ne s'est jamais quittés. De temps en temps, on dîne ou on déjeune et on fait le point. On ne se dit pas forcément grand-chose. On vérifie qu'on est tous là. « Voilà ma famille, se dit Clara Millet en mordillant le bout de son oreiller acheté chez les Compagnons d'Emmaüs. »Face à l'épreuve cette famille résistera-t-elle ? L'amitié, l'amour, le respect de l'un pour l'autre seront-ils assez solides pour que tout ne vole pas en éclats?Encore une danse est le sixième roman de Katherine Pancol. Après Moi d'abord, La Barbare, Scarlett, si possible, Les hommes cruels ne courent pas les rues et Vu de l'extérieur.En 1994, elle publie Une si belle image, qui sera traduit dans le monde entier.
J’étais là avant Pancol, Katherine
Elle est libre. Elle offre son corps sans façons. Et pourtant, à chaque histoire d'amour, elle s'affole et s'enfuit toujours la première.Il est ardent, entier, généreux. Mais les femmes qu'il célèbre s'étiolent les unes après les autres. Ces deux-là vont s'aimer. Il y a des jours, il y a des nuits. Le bonheur suffocant. Le plaisir. Le doute. L'attente. Mais en eux, invisibles et pesantes, des ombres se lèvent et murmurent : « J'étais là avant ». Des mères qui les ont aimés ou trahis, qui ont rêvé, souffert, espéré. Des mères qui vivent encore en eux et les empêchent d'aimer. On n'est jamais tout seul dans une histoire d'amour. On est tous les autres et toutes les autres qui ont aimé avant nous. J'étais là avant est le roman d'une femme qui se libère de ses démons. Qui nous libère de nos démons ?Biographie de l'auteurKatherine Pancol, après avoir été professeur de lettres puis journaliste, écrit un premier roman, Moi d’abord, en 1979. Elle part à New York en 1980 suivre des cours de « creative writing » à Columbia University. Suivront de nombreux romans dont Les hommes cruels ne courent pas les rues, J’étais là avant, Un homme à distance, Embrassez-moi, etc. Elle rentre en France en 1991 et continue à écrire. Elle a connu un énorme succès avec Les Yeux jaunes des crocodiles et en 2010 Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi.
Moi d'abord Pancol, Katherine
Ce sera Antoine. Sophie en est sûre. Le voyage en Italie, la bague de fiançailles, l'appartement propret, la présentation aux parents, et dans un an le premier de leurs trois enfants... Sophie veut le meilleur, et bien plus encore. Elle veut de l'aventure, de la folie, du Septième Ciel... Comment trouver le bonheur quand on a vingt ans et envie de dévorer la vie ? « Nous étions un beau couple qui allait s'installer dans un bel appartement, avec un bel avenir devant lui. »
Muchachas 1 Pancol, Katherine
Les filles sont partout dans ce roman.Elles mènent la danse.De New York à Paris, de la Bourgogne à Londres ou à Miami.Des filles qui inventent, s'enflamment, aiment.Des filles qui se battent pour la vie.Et les hommes ?Ils sont là aussi.Mais ce sont les muchachas qui dansent, dansent, dansent.Elles font voler les destins en éclats.Et ça n'en finit pas !
Muchachas 2 Pancol, Katherine
Ces filles-là sont intrépides. Elles ne demandent rien aux autres. Tout à elles-mêmes. Cachent leur peur sous un sourire. C est le plus sûr moyen pour avancer, inventer, s inventer. Elles se sentent pousser des ailes, s envolent, tombent et repartent de plus belle. Il y a des secrets, des mystères, des trahisons. Des obstacles à surmonter. Des mots d amour lancés à la volée. La vie, quoi !Biographie de l'auteurKatherine Pancol : un des plus grands phénomènes d'édition de ces dernières années. Un succès mondial (traduite dans 27 pays). Depuis leurs sorties, Les Yeux jaunes des crocodiles, La Valse lente des tortues et Les Écureuils de Central Park sont tristes le lundi sont devenus des classiques.
Muchachas 3 Pancol, Katherine
Pour certaines, c'est l'heure de la revanche.Pour d'autres, celle de la délivrance.Ou de l'espérance.Tout se noue, se dénoue, se renoue.Les muchachas avancent à grands pas.On ne sait jamais ce qui vas arriver.On retient son souffle, on croise les doigts.Et viva las muchachas !
Scarlett, si possible Pancol, Katherine
En juillet 1968, elles quittent leur province pour venir à Paris. Trois filles, trois amies, des défis plein les poches. Et une certitude : à Paris, on peut devenir ce qu'on a choisi d'être. Mais le monde ne se laissera pas conquérir comme ça… Coups de cœur et coups de poing, ce roman d'apprentissage raconte les rêves et les appétits de toute une génération.Biographie de l'auteurKatherine Pancol est née à Casablanca en 1949. Elle a publié une dizaine de romans dont : Les hommes cruels ne courent pas les rues, Vu de l’extérieur, Scarlett, si possible, Moi d’abord, La Barbare et Une si belle image.
Vu de l'extérieur Pancol, Katherine
Un jour, Doudou s'en va. Elle abandonne son mari aimant, ses enfants, son joli pavillon pour prendre la route. Elle s'embarque dans une folle escapade avec Guillaume, un jeune motard rencontré en vacances. C'est à ce moment-là que j'ai épousé André. Il était si beau... Il m'arrivait quand il dormait d'ouvrir les yeux et de le contempler. Je me disais : alors, tu le trouves comment ? Parfait. Bon, honnête, loyal, travailleur, intelligent, agréé par tous. Et cette perfection me rassurait, me donnait une identité. Vue de l'extérieur, j'étais une fille qui avait décroché la lune.