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Encore une danse
Pancol, Katherine
Présentation de l'éditeur" Clara se demande une nouvelle fois si cette aptitude à vivre seule ne vient pas de l'absence de ses parents. Elle n'a jamais eu de modèle ni de couple ni de famille à se mettre sous la dent. Le seul avec lequel elle forme un couple, c'est son frère Philippe. Sa seule famille sont ses amies. Agnès, celle du poulet aux oignons dans son F4 à Clichy, Joséphine, Lucille. Elles ont habité le même immeuble, sont allées dans les mêmes écoles. Philippe, Clara, Agnès, Joséphine, Lucille et l'autre, celui dont elle ne veut pas prononcer le prénom, formaient une bande. Les bandes, il n'y a rien de mieux pour exister quand on est petit.Ils ont grandi ensemble. Les garçons étaient les chefs, comme de bien entendu. Ils étaient les plus grands, les plus forts et puis c'étaient des garçons. On ne s'est jamais quittés. De temps en temps, on dîne ou on déjeune et on fait le point. On ne se dit pas forcément grand-chose. On vérifie qu'on est tous là. Voilà ma famille, se dit Clara Millet en mordillant le bout de son oreiller acheté chez les Compagnons d'Emmaüs. "Face à l'épreuve cette famille résistera-t-elle? L'amitié, l'amour, le respect de l'un pour l'autre seront-ils assez solides pour que tout ne vole pas en éclats?Encore une danse est le sixième roman de Katherine Pancol. Après *Moi d'abord, La Barbare, Scarlett, si possible,Les hommes cruels ne courent pas les rues et Vu de l'extérieur.*En 1994, elle publie Une si belle image, qui sera traduit dans le monde entier. Biographie de l'auteurAprès une maîtrise et deux ans de doctorat de lettres modernes, Katherine Pancol devient professeur de français et de latin avant de poursuivre dans le journalisme (Paris-Match et Cosmopolitan). Moi d'abord, son premier roman paru en 1979 se vend à 300 000 exemplaires. Elle décide alors de partir pour New York pour échapper au tourbillon du succès. En 1981 paraît La Barbare, puis Scarlett, si possible en 1985. Viennent ensuite Les Hommes cruels ne courent pas les rues, Vu de l'extérieur, Une si belle image, Encore une danse. Poursuivant sa collaboration avec Paris-Match, elle interviewe des personnalités venant d'horizons divers : Ronald Reagan, Lionel Jospin, Jacques Chirac, Meryl Streep, Vanessa Paradis, Louise Brooks. Éditée chez Albin Michel depuis 1999 et son J'étais là avant, elle publie au moins un roman par an : Et monter lentement dans un immense amour...(2001), Un homme à distance (2002), Embrassez-moi (2003) et Les Yeux jaunes des crocodiles en 2006.
J’étais là avant
Pancol, Katherine
Elle est libre. Elle offre son corps sans façons. Et pourtant, à chaque histoire d'amour, elle s'affole et s'enfuit toujours la première.Il est ardent, entier, généreux. Mais les femmes qu'il célèbre s'étiolent les unes après les autres.Ces deux-là vont s'aimer. Il y a des jours, il y a des nuits. Le bonheur suffocant. Le plaisir. Le doute. L'attente.Mais en eux, invisibles et pesantes,des ombres se lèvent et murmurent : « J'étais là avant. »Des mères qui les ont aimés ou trahis, qui ont rêvé, souffert, espéré. Des mères qui vivent encore en eux et les empêchent d'aimer. On n'est jamais tout seul dans une histoire d'amour.On est tous les autres et toutes les autres qui ont aimé avant nous.J'étais là avant est le roman d'une femme qui se libère de ses démons. Qui nous libère de nos démons?Biographie de l'auteurKatherine Pancol, après avoir été professeur de lettres puis journaliste, écrit un premier roman, Moi d’abord, en 1979. Elle part à New York en 1980 suivre des cours de « creative writing » à Columbia University. Suivront de nombreux romans dont Les hommes cruels ne courent pas les rues, J’étais là avant, Un homme à distance, Embrassez-moi, etc. Elle rentre en France en 1991 et continue à écrire. Elle a connu un énorme succès avec Les Yeux jaunes des crocodiles et en 2010 Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi.
La valse lente des tortues
Pancol, Katherine
Saga Cortès [2]: Qu'un crocodile aux yeux jaunes ait ou non dévoré son mari Antoine, disparu au Kenya, Joséphine s'en moque désormais. Elle a quitté Courbevoie pour un immeuble huppé de Passy, grâce à l'argent de son best seller, celui que sa sœur Iris avait tenté de s'attribuer, payant cruellement son imposture dans une clinique pour dépressifs. Libre, toujours timide et insatisfaite, attentive cependant à la comédie cocasse, étrange et parfois hostile que lui offrent ses nouveaux voisins, Joséphine semble à la recherche de ce grand amour qui ne vient pas.Elle veille sur sa fille Zoé, adolescente attachante et tourmentée et observe les succès de son ambitieuse aînée Hortense, qui se lance à Londres dans une carrière de styliste à la mode. Joséphine ignore tout de la violence du monde, jusqu'au jour où une série de meurtres vient détruire la sérénité bourgeoise de son quartier. Elle-même, prise pour une autre sans doute, échappe de peu à une agression. La présence de Philippe, son beau-frère, qui l'aime et la désire, peut lui faire oublier ces horreurs.Impossible d'oublier ce baiser, le soir du réveillon de Noël, qui l'a chavirée. le bonheur est en vue, à condition d'éliminer l'inquiétant Lefloc-Pinel, son voisin d'immeuble, un élégant banquier dont le charme cache bien trop de turpitudes.
Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi
Pancol, Katherine
Saga Cortès [3]: Quelques mois après le départ de sa soeur Iris, Joséphine est toujours là, presque égale à elle-même c’est-à-dire à la disposition de tous, sauf peut-être de sa propre vie. La jeune femme consacre tout son temps à sa famille, ses amis, sa thèse, son chien, mais c’est comme si elle le faisait exprès, elle ne peut pas s’empêcher de passer à côté de l’essentiel, à côté de son propre bonheur...Bien sûr, elle est toujours folle amoureuse de son beau-frère : un amour réciproque sur lequel elle fait une croix : indécent pense-t-elle d’aimer le veuf de sa soeur...Bien sûr, elle est là pour ses filles. La plus jeune, Zoé, découvre le bonheur et les déceptions de la vie, avec son premier flirt et les balbutiements de l’amour. L’ainée, Hortense, est toujours aussi assoiffée de réussite et de reconnaissance dans le monde si particulier de la mode. Hortense qui n’échappe pas non plus aux flèches de Cupidon alors qu’elle voudrait tant résister à cette passion naissante pour se concentrer exclusivement à son métier de styliste.Tout cela alors qu’un éditeur demande à Joséphine de se remettre à écrire : elle a de l’or entre les mains paraît-il, mais l’inspiration lui fait défaut... jusqu’au moment où elle est obligée, pour éviter un drame, de se plonger dans les poubelles de son immeuble.C’est là qu’elle va faire connaissance avec Petit Jeune Homme et le fameux, l’unique, le magnifique Cary Grant himself...http://www.amazon.fr/écureuils-Central-Park-tristes-lundi/dp/2226208313
Les yeux jaunes des crocodiles
Pancol, Katherine
Saga Cortès [1]: Deux soeurs. La quarantaine. Iris, belle, très belle, riche, élégante, parisienne. Autrefois étudiante brillante, elle s'est mariée, et sa vie se résume en un tourbillon vain. Iris s'ennuie, rêve de devenir une autre.Joséphine est une littéraire, historienne spécialisée dans l'étude du XIIe siècle. Beaucoup moins belle, beaucoup moins à l'aise dans la vie. Mariée, elle a deux filles, vit en banlieue et se bat pour tenir debout.Un jour, à un dîner, Iris prétend qu'elle écrit. Entraînée par son mensonge, elle persuade sa soeur d'écrire un livre qu'elle signera, elle. Abandonnée par son mari, acculée par les dettes, Joséphine se soumet. Elle est habituée : depuis qu'elles sont enfants, Iris la magnifique la domine.Le destin de chaque soeur va basculer.http://www.amazon.fr/Yeux-jaunes-crocodiles-Katherine-Pancol/dp/2253121207
Moi d'abord
Pancol, Katherine
Ce sera Antoine. Sophie en est sûre. Le voyage en Italie, la bague de fiançailles, l'appartement propret, la présentation aux parents, et dans un an le premier de leurs trois enfants... Sophie veut le meilleur, et bien plus encore. Elle veut de l'aventure, de la folie, du Septième Ciel... Comment trouver le bonheur quand on a vingt ans et envie de dévorer la vie ? «Nous étions un beau couple qui allait s'installer dans un bel appartement, avec un bel avenir devant lui.»
Muchachas 1
Pancol, Katherine
Les filles sont partout dans ce roman.Elles mènent la danse.De New York à Paris, de la Bourgogne à Londres ou à Miami.Des filles qui inventent, s'enflamment, aiment.Des filles qui se battent pour la vie.Et les hommes ?Ils sont là aussi.Mais ce sont les muchachas qui dansent, dansent, dansent.Elles font voler les destins en éclats.Et ça n'en finit pas !
Muchachas 2
Pancol, Katherine
Ces filles-là sont intrépides.Elles ne demandent rien aux autres.Tout à elles-mêmes.Cachent leur peur sous un sourire.C est le plus sûr moyen pour avancer, inventer, s inventer.Elles se sentent pousser des ailes, s envolent,tombent et repartent de plus belle.Il y a des secrets, des mystères, des trahisons.Des obstacles à surmonter.Des mots d amour lancés à la volée.La vie, quoi !Biographie de l'auteurKatherine Pancol : un des plus grands phénomènes d édition de ces dernières années.Un succès mondial (traduite dans 27 pays).Depuis leurs sorties, Les Yeux jaunes des crocodiles, La Valse lente des tortues et Les Ecureuils de Central Park sont tristes le lundi sont devenus des classiques.
Scarlett, si possible
Pancol, Katherine
En juillet 1968, elles quittent leur province pour venir à Paris. Trois filles, trois amies, des défis plein les poches. Et une certitude : à Paris, on peut devenir ce qu'on a choisi d'être. Mais le monde ne se laissera pas conquérir comme ça… Coups de cœur et coups de poing, ce roman d'apprentissage raconte les rêves et les appétits de toute une génération.Biographie de l'auteurKatherine Pancol est née à Casablanca en 1949. Elle a publié une dizaine de romans dont : Les hommes cruels ne courent pas les rues, Vu de l’extérieur, Scarlett, si possible, Moi d’abord, La Barbare et Une si belle image disponibles en Points.
Vu de l'extérieur
Pancol, Katherine
Un jour, Doudou s'en va. Elle abandonne son mari aimant, ses enfants, son joli pavillon pour prendre la route. Elle s'embarque dans une folle escapade avec Guillaume, un jeune motard rencontré en vacances.C'est à ce moment-là que j'ai épousé André.Il était si beau...Il m'arrivait quand il dormait d'ouvrir les yeux et de le contempler.Je me disais : alors, tu le trouves comment ?Parfait. Bon, honnête, loyal, travailleur, intelligent, agréé par tous.Et cette perfection me rassurait, me donnait une identité.Vue de l'extérieur, j'étais une fille qui avait décroché la lune.