Attirances Van Cauwelaert, Didier
Un écrivain harcelé par l'étudiante qui lui consacre une thèse, un peintre qui s'accuse de tuer les femmes à distance avec ses pinceaux, une maison qui envoûte jusqu'à la folie ceux qui s'y attachent... Faut-il résister à l'attirance ? Et si l'on y cède, est-ce pour se fuir ou pour se retrouver ? Liées par un même secret, l'histoire de trois passions vénéneuses où culmine le talent d'un des plus grands auteurs français d'aujourd'hui.
Au-delà de l'impossible Van Cauwelaert, Didier
Avec ses enquêtes minutieuses, tout son humour, sa passion du merveilleux et sa distance critique, Didier van Cauwelaert nous livre une aventure à couper le souffle. Un véritable jeu de piste qui nous entraîne du savoir sans fin des civilisations disparues aux dernières découvertes de la physique, du mode d'emploi de l'espace-temps aux secrets d'une énergie inépuisable, non-polluante et gratuite qui, demain, pourrait être mise à la disposition de l'humanité. C'est toute notre vision du monde et de l'avenir qui bascule enfin dans le sens de l'espoir, au fil des confidences et des révélations en provenance (apparente) d'Albert Einstein et Nikola Tesla – deux esprits toujours libres que ni la censure des vivants ni le silence de la mort n'auront réussi à faire taire. Biographie de l'auteurDidier van Cauwelaert cumule prix littéraires et succès public. Prix Del Duca pour son premier roman en 1982, prix Goncourt et prix Nimier pour Un aller simple en 1994, il a également reçu le Prix Science de la Vulgarisation Scientifique pour son livre L'apparition en 2002. Il a récemment publié Jules (Albin Michel, 2014), Le Dictionnaire de l'impossible (Plon, 2014) et Le nouveau dictionnaire de l'impossible (Plon, 2015).
Cheyenne Van Cauwelaert, Didier
On peut tomber amoureux à onze ans, et pour la vie. C'est ce qui est arrivé au héros de ce livre. Dix ans plus tard il a retrouvé Cheyenne, le temps d'une nuit trop brève à l'issue de laquelle elle a disparu. Le jour où il reçoit une carte postale d'Anvers, revêtue de son seul nom, il part pour la Belgique, ne doutant pas qu'elle l'appelle....Prix Goncourt 1994 pour Un aller simple, Didier van Cauwelaert nous donne ici une histoire d'amour où le sourire, loin de briser l'émotion, ne fait que rendre plus humains et plus proches des personnages porteurs de blessures secrètes. Une alchimie subtile qui nous envoûte d'un bout à l'autre du roman.
Clôner le Christ Van Cauwelaert, Didier
« C'est la plus grande énigme du monde, ou la plus belle arnaque de tous les temps. De la quête du Saint Graal aux manipulations génétiques, le sang de Jésus n'a jamais nourri autant de fantasmes qu'à notre époque, où certains voudraient remplacer l'eucharistie par le clonage. Mais quelle réalité se cache derrière ces fantasmes ? Le même sang imprègne-t-il vraiment les reliques de la Passion - Linceul de Turin, Suaire d'Oviedo, Tunique d'Argenteuil ? Si elles sont authentiques, comment s'explique l'incroyable conservation des globules rouges et blancs que les biologistes y ont découvert ? L'ADN attribué à Jésus est-il réellement exploitable ? Et quel est le but de ceux qui, aujourd'hui, tentent le diable en voulant réincarner Dieu ? Quand j'écrivais L'Évangile de Jimmy, en 2004, j'ignorais à quel point le sujet de mon roman était déjà devenu réalité. » Didier Van Cauwelaert
Corps étranger Van Cauwelaert, Didier
Peut-on changer de vie, devenir quelqu'un de neuf sous une autre identité, sans sacrifier pour autant son existence habituelle ?C'est ce que va oser Frédéric Lahnberg. Critique littéraire célèbre et redouté, au faîte de sa réussite sociale, il vient de perdre Dominique, la femme de sa vie. Ensemble, à dix-huit ans, ils avaient publié, sous le nom de Richard Glen, un roman passé inaperçu que découvre par hasard une jeune étudiante de Bruges. Bouleversé par la lettre qu'elle adresse à l'auteur, Frédéric y répond, réanimant Richard, cette part de lui-même en sommeil depuis plus de vingt ans.De tentations inconnues en bonheurs d'imposture, il va peu à peu donner corps à son pseudonyme, lui inventer une apparence, un passé, un avenir et l'installer dans la réalité, pour aller jusqu'au bout d'une histoire d'amour qui, peut-être, lui est envoyée par l'âme de Dominique.Mais combien de temps deux personnalités peuvent-elles se partager un corps ? Faut-il un vainqueur, une victime ?
Dictionnaire de l’impossible Van Cauwelaert, Didier
Un poussin qui attire vers lui un robot par la puissance de sa pensée. Un arbre qui se déplace tout seul. Une héroïne de la Résistance apparaissant dans le métro tandis que la Gestapo la torture. Une enfant qui cesse soudain d'être aveugle alors qu'elle est née sans pupilles. Un romancier qui écrit, mot pour mot, l'enlèvement de sa fille tel qu'il se produira deux jours plus tard. Un militaire dessinant en détail un sous-marin ennemi construit en secret, dix mille kilomètres plus loin. Tout cela est impossible, a priori. Et pourtant...
Double identité Van Cauwelaert, Didier
« Martin Harris avait deux passions : sa femme et une plante. Je suis seul aujourd'hui à pouvoir les sauver. Mais comment protéger une femme lorsqu'on est traqué sans relâche par les services secrets ? Et comment libérer une plante médicinale volée aux Indiens d'Amazonie par le numéro un mondial des cosmétiques ? Une plante qui pourrait guérir des milliers de malades et qui, victime d'un brevet exclusif, ne sert qu'à fabriquer la plus chère des crèmes antirides.» Avec son art du suspense et son humour féroce, Didier van Cauwelaert nous entraîne dans le destin fascinant d'un tueur repenti qui, par amour, reprend le combat de l'homme dont il avait usurpé l'existence.Bien au-delà du thriller, l'auteur d' Un aller simple et de Hors de moi explore les territoires hallucinants de l'identité, les ressources cachées de l'inconscient, le pouvoir de la passion face au cynisme aveugle des multinationales qui gouvernent le monde. **
Hors de moi Van Cauwelaert, Didier
" J'ai tout perdu, sauf la mémoire.Il m'a volé ma femme, mon travail et mon nom. Je suis le seul à savoir qu'il n'est pas moi : j'en suis la preuve vivante. Mais pour combien de temps ? Et qui va me croire ? "
Jules Van Cauwelaert, Didier
Jules [1]: Zibal est un petit génie. Ses inventions auraient d’ailleurs pu lui rapporter des millions mais tout le monde n’est pas doué pour le bonheur et Zibal, malgré ses diplômes, se retrouve à 42 ans vendeur de macarons à l’aéroport d’Orly.Un jour, devant son stand, apparaît Alice, une jeune et belle aveugle qui s’apprête avec son labrador Jules à prendre l’avion pour Nice où elle doit subir une opération pour recouvrer la vue. L’intervention est un succès mais, pour Jules, affecté à un autre aveugle, c’est une catastrophe. Jules fugue, retrouve Zibal et, en moins de vingt-quatre heures, devient son pire cauchemar : il lui fait perdre son emploi, son logement, ses repères. Compagnons de misère, ils n’ont plus qu’une seule obsession : retrouver Alice.Un roman plein de tendresse, mené par un trio digne des plus ébouriffantes comédies hollywoodiennes.
J’ai perdu Albert Van Cauwelaert, Didier
« Je suis la voyante la plus en vue du pays et, depuis hier midi, je ne vois plus rien. »Pourquoi, après vingt-cinq ans de cohabitation, l'esprit qui hante Chloé l'a-t-il soudain quittée pour sauter dans la tête d'un garçon de café, Zac, apiculteur à la dérive qui ne croit en rien ? La situation est totalement invivable, pour elle comme pour lui, d'autant que cet esprit qui s'est mis à le bombarder d'informations capitales et pressantes n'est autre qu'Albert Einstein...Dans une comédie romantique haletante où la spiritualité s'attaque aux enjeux planétaires, Didier van Cauwelaert invente avec bonheur une nouvelle forme de triangle amoureux.
Karine après la vie Van Cauwelaert, Didier
L’histoire vraie que vous allez lire est la plus étrange qui puisse arriver à un romancier, comme si la réalité avait décidé de l’inviter dans ce que d’habitude il invente. Karine a vingt et un ans. C’est une jeune fille d’aujourd’hui qui [...] s’apprête à partir en vacances [...]. Un accident de voiture en décide autrement. Ses parents, qui pensent que tout s’arrête après la mort physique, sont brisés par le drame. Jusqu’au jour où ils commencent à recevoir des messages... Du magnétophone à l’ordinateur, de l’écriture automatique à la matérialisation supposée de son image devant des dizaines de témoins, Karine Dray semble utiliser tous les moyens à sa portée pour continuer de faire entendre sa voix [...]. Cette histoire ne prétend rien prouver. Mais, qu’on soit ou non sceptique comme je l’étais, elle invite à s’interroger de manière très troublante sur la survie de l’esprit, la puissance des hallucinations collectives, ou l’incroyable pouvoir du cerveau humain.
L'éducation d'une fée Van Cauwelaert, Didier
"J'ai une femme que j'aime et qui est en train de me quitter, et un fils de son premier lit que j'adore et à qui je n'arrive pas à dire la vérité."Jamais Nicolas n'a énoncé aussi clairement sa situation depuis que le rêve a tourné au cauchemar. Le rêve c'est la double rencontre-miracle qui a changé la citrouille en carrosse : "Je suis tombé amoureux de deux personnes en même temps, un vendredi matin, dans un bus d'Air France." Le cauchemar, c'est le besoin d'Ingrid d'enterrer vivant tout ce bonheur malgré son amour pour Raoul, son fils, et pour Nicolas. Qu'y comprendre ? Devant Sezar, l'étudiante irakienne apparue comme pour panser ses plaies ou comme la fée que Raoul veut voir en elle, il est soudain possible d'être lucide mais aussi de réintroduire le merveilleux au sein du drame. Si Didier Van Cauwelaert connaît le succès que l'on sait, c'est sans doute pour cette force de vie inébranlable, ce passage à la lumière que comprennent souvent les grandes souffrances, et qu'il met à jour avec tant d'humour. Il a reçu le prix Goncourt en 1994 pour Un aller simple. --Laure Anciel
L'Évangile de Jimmy Van Cauwelaert, Didier
« Je m’appelle Jimmy, j’ai 32 ans et je répare les piscines dans le Connecticut. Trois envoyés de la Maison-Blanche viennent de m’annoncer que je suis le clone du Christ ».
L'inconnue du 17 mars Van Cauwelaert, Didier
« Il fallait que la planète ferme pour que les coeurs s'ouvrent. » Le 17 mars 2020, par la grâce d'un virus, un sans-abri se retrouve confiné avec une créature de rêve. Est-ce la femme qui jadis enflamma son adolescence, une mythomane, une perverse manipulatrice, ou une ultime chance de survie ? Et si le sort du genre humain dépendait de la relation qui va se nouer, dans une maison à l'abandon, entre un ancien prof de 35 ans brisé par l'injustice et une exilée en manque d'amour ? Avec ce conte philosophique irrésistible et poignant, au coeur d'une actualité bouleversant tous nos repères, Didier van Cauwelaert entraîne nos peurs, nos détresses, nos colères dans un tourbillon de révolte, de joie libératrice et d'espoir.
L'insolence des miracles Van Cauwelaert, Didier
Le meilleur moyen d’explorer ce qui nous dépasse n’est-il pas de réconcilier l’esprit critique et la faculté d’émerveillement ? Regarder le miracle en face, c’est réfléchir sur soi. C’est remettre en question nos limites. Et si nous étions tous capables d’accomplir des prodiges ?
Rien n’est plus insolent qu’un miracle. Il se rit des lois communes, défie les autorités religieuses, provoque les sceptiques… Quand Émile Zola, voulant démystifier le sanctuaire de Lourdes, choisit sur place deux tuberculeuses mourantes pour en faire les personnages de son roman et assiste, ébahi, à leur guérison instantanée, quand le bouillonnant Padre Pio, suspendu par le Vatican pour imposture mystique, donne la vue à une enfant née sans pupilles, quand une héroïne de la Résistance porte secours à un navire bombardé alors même que la Gestapo la torture dans une prison parisienne, quand une hostie se met à léviter en direct durant une messe télévisée ou prend la forme d’un muscle cardiaque en présence du futur pape François, la raison est en droit de s’offusquer.
Et pourtant, tous ces cas ont été authentifiés par des témoins, des scientifiques, des historiens, des instruments de contrôle. Mais relèvent-ils de l’intervention divine ou des capacités secrètes de l’être humain ? À l’heure où la foi paraît s’incliner devant la peur, Didier van Cauwelaert nous offre, avec cet ouvrage hautement documenté à l’humour percutant, une profonde réflexion et un formidable message d’espoir.
L'orange amère Van Cauwelaert, Didier
Il n'est pas simple d'avoir deux pères, lorsqu'on a quatorze ans. Et quand les grandes personnes cherchent à vous éduquer à l'aide de proverbes boiteux - "la vie, c'est comme l'orange amère, elle n'est bonne à manger que si l'on en fait des confitures" -, le mieux est sans doute d'oublier leurs conseils, de boucler vos valises et de partir à l'aventure. Jeanne ressemble à une petite guerrière intransigeante et sans haine. Elle est née au pied des montagnes, dans le village de Chavignin. Elle deviendra peut-être bonne sœur dans un couvent d'Ursulines, mais il se peut aussi qu'elle devienne bruiteuse, globe-trotter ou comédienne.
La bienveillance est une arme absolue Van Cauwelaert, Didier
Présentation de l'éditeur« La bienveillance est le contraire de la mièvrerie : c'est une arme de choc, une arme de joie, une arme absolue. À une époque où tout se radicalise la ruse, la haine, l'ego, le politiquement correct et même les discours humanitaires , la bienveillance est la seule réponse à la crise morale que traversent nos sociétés. Une réponse qui, à défaut de changer le monde du jour au lendemain, lui redonne des couleurs et compense les déceptions qu'il nous inflige, tout en renforçant ce système immunitaire assez paradoxal qui s'appelle l'empathie. D'où l'urgence de radicaliser la bienveillance. De la pratiquer sans peur, sans honte, sans modération et sans nuances. C'est ce que je fais depuis l'enfance, pour le meilleur et pour le pire, comme toutes les personnalités qui ont marqué ma vie. Ceux qui, sans en avoir toujours conscience, détiennent le véritable pouvoir sur Terre sont les guerriers de la bienveillance. » Biographie de l'auteurPrix Goncourt 1994, Didier van Cauwelaert est l'auteur de nombreux romans et essais, vendus à plusieurs millions d'exemplaires dans une trentaine de pays. Avec le Dictionnaire de l'impossible, Au-delà de l'impossible et Les Émotions cachées des plantes, il a bouleversé en profondeur nos rapports à la science et à l'extraordinaire.
La demi-pensionnaire Van Cauwelaert, Didier
Que faire lorsqu’on tombe amoureux d’une jeune femme au cours d’un déjeuner, et qu’on découvre au dessert quelle se déplace en fauteuil roulant ? Hélène est Lion ascendant Lion, championne de voltige aérienne. C’est la fille la plus sexy, la plus joyeuse et la moins facile que Thomas ait jamais rencontrée… Arraché à sa routine, malmené, envoûté par cette « demi-pensionnaire » qui l’initie à la vraie liberté, il comprendra au bout du compte que c’est lui qui vivait comme un infirme. Et qu’une femme assise, parfois, peut aider un homme à se relever.Prix Concourt 1994 pour Un aller simple, Didier van Cauwelaert nous offre ici un roman d’amour fou, drôle et tendre, salué par la critique comme une de ses grandes réussites.
La femme de nos vies Van Cauwelaert, Didier
« Nous devions tous mourir, sauf lui. Il avait quatorze ans, il était surdoué et il détenait un secret. Moi, on me croyait attardé mental. Mais ce matin-là, David a décidé que je vivrais à sa place.Si j’ai pu donner le change, passer pour un génie précoce et devenir le bras droit d’Einstein, c’est grâce à Ilsa Schaffner. Elle m’a tout appris : l’intelligence, l’insolence, la passion. Cette héroïne de l’ombre, c’est un monstre à vos yeux. Je viens enfin de retrouver sa trace, et il me reste quelques heures pour tenter de la réhabiliter auprès de sa petite fille. »Des horreurs de l’Allemagne hitlérienne aux détresses d’une jeune femme d’aujourd’hui, Didier van Cauwelaert nous raconte l’extraordinaire destin d’un petit gardien de vaches devenu l’un des meilleurs physiciens du monde. Au cœur d’une incroyable vérité historique, il renoue avec ses thèmes romanesques les plus forts : la construction de l’identité à travers l’imposture, le dépassement de soi au service d’un amour impossible, le bonheur généreux qu’ont peut tirer de nos pires souffrances. Un grand roman qui réconcilie avec la vie.
La fin du monde tombe un jeudi Van Cauwelaert, Didier
Thomas Drimm [1]: «Je m’appelle Thomas Drimm, j’ai 13 ans moins le quart et je suis seul à pouvoir sauver le monde. Si je veux… »Thomas, un enfant ordinaire, se débat entre l’incompréhension de sa mère, la dépression de son père et des problèmes de surpoids. Il vit dans une société où le bio, le bien être et le jeu exercent une dictature absolue sur les esprits. Une société « parfaite », sans guerre, sans religions, où la chance au jeu est le critère de sélection N°1. Infantilisée par le terrorisme du « diététiquement correct », la chasse aux obèses, aux fumeurs, aux buveurs, aux penseurs, susceptibles de « polluer » ce monde idéal.Un jour, Thomas tue accidentellement un vieil homme, le professeur Pictone, scientifique génial et caractériel au bord d’une découverte majeure, qui va se réincarner dans le nounours du garçon...Ainsi commence le premier tome de cette formidable saga, synthèse entre le fantastique d’Harry Potter et l’humour réaliste du Petit Nicolas. Les jeunes lecteurs s’identifieront facilement au héros, à sa vision du monde, ses rêves. Au-delà du plaisir de lecture, les adultes y découvriront une réflexion philosophique sur les dérives de notre société.
La guerre des arbres commence le 13 Van Cauwelaert, Didier
Thomas Drimm [2]: « En voulant sauver le monde, j’ai peut-être condamné, l’espèce humaine… »Thomas Drimm, 13 ans moins le quart, est passé du rang de super-héros clandestin à celui d’ennemi numéro 1 des États-Uniques. Par sa faute, les végétaux, devenus toxiques, semblent avoir programmé l’extermination des humains.Que veulent les arbres ? Comment entrer en communication avec eux ? Et, surtout, comment les réconcilier avec nous ?Plongé au cœur d’un complot diabolique, Thomas dispose de quatre jours pour arrêter la plus hallucinante des guerres.
La maison des lumières Van Cauwelaert, Didier
À vingt-cinq ans, Jérémie Rex, boulanger à Arcachon, est entré dans un tableau de Magritte. Là, il a retrouvé pendant quatre minutes trente la femme de sa vie, au temps où elle l'aimait encore. Hallucination, accident cérébral, changement d'espace-temps ? Lorsqu'il reprend connaissance, les problèmes commencent pour Jérémie : comment retourner dans le tableau ? Comment échapper à la réalité pour recréer le bonheur ? De Venise au Perreux-sur-Marne, des mystères du cerveau aux secrets des chamanes, Didier van Cauwelaert nous fait partager l'irrésistible aventure d'un jeune homme ordinaire, confronté aux pièges les plus fascinants de l'amour, de l'art et de la destinée humaine. « Impeccablement ciselé. Un remarquable roman. » François Busnel, L'Express « À la fois drôle, pertinent, romantique, il parvient à nous faire croire à l'impossible ... Dites, vous reprendrez bien du van Cauwelaert ? » Gilles Pudlowski, Le Point « À mi-chemin entre l'univers de Magritte et celui de Boris Vian, poétique et surréaliste ... Un grand moment ! » Valérie Gans, Madame Figaro « À coup de tendresse, d'humour, de fantaisie, de dérision ... il caresse nos rêves, taquine nos lubies, joue avec nos nerfs. Un enchantement. » Jean-Michel Ulmann, Notre Temps « Cauwelaert nous embobine en virtuose. » Gérard Pussey, Elle « Un vaudeville métaphysique, à la frontière du réel. Fantasque mais documenté. Un feu d'artifice. » P
La nuit dernière au xve siècle Van Cauwelaert, Didier
Comment vivre une histoire d’amour avec une jeune femme du xve siècle, quand on est contrôleur des impôts de nos jours à Châteauroux ? C’est tout le problème de Jean-Luc Talbot, qui était un homme normal, rangé et rationnel... jusqu’à la nuit dernière, où tout a basculé. Est-il rattrapé par une passion vécue au Moyen Âge, ou victime du complot diabolique d’un contribuable ?
La vie absolue Van Cauwelaert, Didier
« Ici repose Jacques Lormeau (1962-1996). Il m'a fallu un certain temps pour renouer avec cette identité révolue, mais je comprends désormais l'urgence qui m'a ramené à mon point de départ. »Vingt-cinq ans après l'immense succès de La vie interdite, Didier van Cauwelaert « ressuscite » l'un de ses personnages emblématiques. Jacques, sur décision de justice, est exhumé dans le cadre d'une recherche de paternité. Dès lors, l'esprit de ce quincaillier de 34 ans se retrouve englué malgré lui dans les passions, les mensonges et les mesquineries de la petite ville de province qui se déchire autour de sa mémoire.Comment sauver la jeune femme brisée qui voudrait tant être sa fille ? Lui qui est passé à côté de sa vie n'a aucune envie de rater sa mort, mais quelle est sa marge de manoeuvre ? Quand on n'est plus de ce monde, a-t-on encore les moyens de le changer ?Avec son humour ravageur et sa tendresse poignante, le prix Goncourt 1994 nous entraîne dans le fascinant voyage posthume qui, peut-être, nous attend tous.
La vie interdite Van Cauwelaert, Didier
Je suis mort à sept heures du matin. Il est huit heures vingt-huit sur l’écran du radio – réveil, et personne ne s’en est encore rendu compte. » Ainsi commence l’aventure de Jacques Lormeau, trente – quatre ans, quincaillier à Aix-les-Bains. Comment parviendra-t-il à se faire entendre, à se glisser dans les pensées de la femme qu’il aime, dans les rêves de son fils ? Comment échappera-t-il à ceux qui le retiennent avec leurs mesquineries, leurs rancunes, leurs fantasmes ? Sur quoi débouche la mort ? Le romancier d’Un aller simple, prix Concourt 1994, nous entraîne, au fil d’un suspense mêlant l’humour et l’émotion, dans le fascinant voyage qui – peut-être – nous attend tous. On s’attache avec délice aux personnages. Cauwelaert est irrésistible.Sophie Bourdais, Télérama. Humour, sensibilité, profondeur… Quel brio !Gilles Chenaille, Elle.Un miracle. À lire absolument !Eric Neuhoff, Madame Figaro.Un chef-d’œuvre.Françoise Xenakis, France 2.