1 - Mystère rue des Saints-Pères Izner, Claude
Victor Legris [1]: Comme nombre de visiteurs du monde entier, Victor Legris, libraire rue des Saints-Pères, se rend à l'Exposition universelle où la tour Eiffel, qui vient d'être achevée, trône en véritable vedette. En ce début d'été 1889, les Parisiens ont bien du mal à se frayer un chemin dans la foule qui se presse entreles kiosques multicolores, dans les allées envahies de pousse-pousse et d'âniers égyptiens... Au premier étage de la tour, Victor doit retrouver Kenji Mori, son associé, et son ami Marius Bonnet, qui vient de lancer un nouveau journal, Le Passe-partout. Mais leur rendez-vous est vite interrompu : une femme vient de s'écrouler sous le coup d'une étrange piqûre. S'ensuit une série de morts inexpliquées qui vont marquer les débuts d'enquêteur de Victor Legris... Ces nouveaux mystères de Paris nous plongent dans la capitale des impressionnistes, ses " villages " et ses quartiers populaires.
2 - La disparue du père-Lachaise Izner, Claude
Victor Legris [2]: Une nouvelle époque pour une nouvelle série : le XIXe siècle à Paris, avec Victor Legris, libraire et enquêteur. La première aventure de Victor Le gris se déroule en 1889, durant la 4e Exposition Universelle destinée à commémorer le centenaire de la Révolution. Dans la seconde aventure, nous voici en 1890, en pleine épidémie d’influenza qui fait des ravages non seulement à Paris, mais aussi à Panama, où 21 000 français ont débarqué pour la construction du canal.Claude Izner est le pseudonyme de deux sœurs, Liliane Korb et Laurence Lefèvre, toutes deux bouquinistes sur les quais de Seine, l’une rive droite, l’autre rive gauche. Elles écrivent à quatre mains depuis une vingtaine d’années. Leur dernier ouvrage, Flash sur l’assassin, a paru en octobre 2001 aux Editions Flammarion.“ Nous avons voulu renouer avec la tradition du roman populaire mystérieux de la fin du XIXe siècle, tout en adoptant un ton contemporain. Notre intention est de suivre les personnages dans de nouvelles péripéties liées aux événements des années 1890-1900 [...]. L’époque que nous évoquons nous a séduites par sa modernité, son foisonnement littéraire et pictural, son élan optimiste vers les techniques nouvelles favorisé par une paix de plusieurs décennies et une stabilité monétaire qui prendra fin en août 1914. ”.
3 - Le carrefour des écrasés Izner, Claude
Victor Legris [3]: Le Carrefour des Écrasés, situé entre la rue Montmartre et le Faubourg Poissonnière, porte bien son nom. En ce mois de novembre 1891, le corps " sans visage " d'une jeune femme est découvert au petit matin sur le carrefour. Tout de rouge vêtue, la jeune femme ne portait pas de chaussures. Ce même jour, un certain Grégoire Mercier" berger en chambre " rue des Reculettes (XIIIe arrondissement), rapporte à Victor Legris, libraire et enquêteur à ses heures, un escarpin rouge de femme, contenant, en guise de semelle, le papier à en tête de sa librairie de la rue des Saints-Pères. Claude Izner, dans cette troisième aventure de l'intrépide Victor Legris et de son truculent commis, Joseph, nous entraîne de nouveau dans un merveilleux voyage au cœur du Paris de la fin du XIXe siècle
4 - Le secret des enfants rouges Izner, Claude
Victor Legris [4]: En ce jour d'avril 1892, à Paris, toute l'équipe de la librairie de la rue des Saints-Pères est sens dessus dessous ! L'appartement de Kenji Mori, l'associé et père adoptif de Victor Legris, vient d'être cambriolé. Mais, fait étrange, les voleurs n'ont emporté qu'unecoupe exotique sans valeur. Bientôt, le libraire enquêteur va découvrir combien cet objet attise les convoitises... Dans un Paris hanté par la peur des attentats terroristes, au lendemain de l'arrestation d'un certain Ravachol, Victor Legris est entraîné dans une enquête en forme de cache-cache fatal qui le conduira jusque dans le milieu des chiffonniers parisiens et au cœur du quartier des Enfants-Rouges.
5 - Le léopard des Batignolles Izner, Claude
Victor Legris [5]: Dans le Paris trépidant et populaire de 1893, un émailleur est assassiné, un imprimeur disparaît et, à chaque fois, on découvre sur les lieux du crime un message énigmatique mentionnant un léopard... Victor Legris, l'aventureux libraire de la librairie Elzévir, avait pourtant juré à sa fiancée de ne plusjouer les Sherlock Holmes, mais le démon de l'enquête revient le tarauder à la mort de son collègue, le relieur Pierre Andrésy, dans l'incendie de son atelier. S'il en croit son indispensable commis, l'effronté Joseph, cet accident n'en serait pas un. L'improbable duo se lance alors dans une affaire qui pourrait bien les mener jusque dans la gueule... du léopard. Des Boulevards aux faubourgs, d'estaminet en mastroquet, Victor et Joseph arpentent un Paris canaille ou bourgeois, où se bousculent crieurs et marchands ambulants et où plane toujours l'ombre sanglante de la Commune...
6 - Le talisman de la Villette Izner, Claude
Victor Legris [6]: Devant le sinistre octroi des abattoirs de la Villette, là où chaque jour, on désosse, on décarcasse pour nourrir les ventres de Paris, le corps d'une femme est retrouvé étranglé, dans le petit matin frileux de ce mois de janvier 1894. Pour rendre service à une certaine Mimi et parce qu'il en a soupe du train-train de la librairie Elzévir, Victor Legris, l'intrépide libraire de la rue des Saints-Pères, se met derechef à enquêter, sans savoir qu'il va au-devant d'un incroyable mystère. Avec l'aide du valeureux Joseph Pignot, il traque la vérité avec pour seuls indices un témoin douteux et un étrange médaillon... Une fois de plus, la gouaille de Claude Izner enchante le Paris fin-de-siècle dans cette nouvelle aventure de l'épatant duo de fins limiers.Claude Izner est le pseudonyme de deux soeurs, Liliane Korb et Laurence Lefèvre. Liliane a longtemps exercé le métier de chef monteuse de cinéma, avant de se reconvertir bouquiniste sur les quais de la Seine, qu'elle a quittés en 2004. Laurence a publié deux romans chez Calmann-Lévy en 1977 et 1979. Elle est bouquiniste sur les quais. Elles ont réalisé plusieurs courts métrages et des spectacles audiovisuels. Elles écrivent ensemble et individuellement depuis de nombreuses années, tant pour la jeunesse que pour les adultes. Leur goût pour l'histoire et le polar leur a donné l'idée de créer un nouveau personnage pour «Grands Détectives», Victor Legris, libraire et enquêteur dans le Paris du XIXe siècle. Le premier titre de la série, Mystère rue des Saints-Pères, a reçu le prix Michel LebrunExtraitDimanche 7janvier 1894La tempête s'acharnait contre les côtes normandes. Après avoir balayé les îles Britanniques, elle avait assiégé le pas de Calais, puis le Cotentin où sa fureur se déchaînait à présent dans la région de la Hague.Étendu tout habillé sur son lit à baldaquin, Corentin Jourdan écoutait les coups de bélier ébranler les murs. Le feu ronflait. Une pièce de toile tombait du manteau de la cheminée pour empêcher la fumée d'envahir l'espace. Les flammes léchaient de paillettes fugaces la fontaine de cuivre et l'horloge à balancier. Les ferrures de l'armoire, ornées de têtes d'oiseaux, semblaient vouloir s'envoler. Un feulement enroué domina brièvement le tumulte. Un matou affolé griffait la porte d'entrée garnie à l'extérieur d'une haie de genêts séchés. Corentin se redressa. Une boule de poils crottés, piquée d'un nez rose aux moustaches en vrille, jaillit en trombe de la chatière et vint se blottir au creux de l'édredon.- Dis donc, Gilliatt, est-ce ainsi que se comporte la mascotte d'un ancien capitaine ? Il n'y a pas de quoi fouetter un chat !Une déflagration démentit ces propos : le toit de chaume de l'appentis venait de s'écrouler. Contrarié, Corentin Jourdan entendit la cataracte s'abattre sur sa provision de bûches et tenta mentalement de chiffrer les dégâts. Il lui faudrait avoir recours au père Pignol, un satané filou mais le meilleur couvreur des environs. Un hennissement fusa de l'écurie mitoyenne. Flip devenait nerveux. Pourvu qu'il n'allât pas donner des quatre fers ! Présentation de l'éditeurDevant le sinistre octroi des abattoirs de la Villette, là où chaque jour, on désosse, on décarcasse pour nourrir les ventres de Paris, le corps d'une femme est retrouvé étranglé, dans le petit matin frileux de ce mois de janvier 1894. Pour rendre service à une certaine Mimi et parce qu'il en a soupé du train-train de la librairie Elzévir, Victor Legris, l'intrépide libraire de la rue des Saints-Pères, se met derechef à enquêter, sans savoir qu'il va au-devant d'un incroyable mystère. Avec l'aide du valeureux Joseph Pignot, il traque la vérité avec pour seuls indices un témoin douteux et un étrange médaillon... Une fois de plus, la gouaille de Claude Izner enchante le Paris fin-de-siècle dans cette nouvelle aventure de l'épatant duo de fins limiers.
7 - Rendez-vous passage d'enfer Izner, Claude
Victor Legris [7]: Par une chaude nuit d'août 1895, la chute d'une météorite en forêt de Montmorency bouleverse le train-train du libraire Victor Legris, de son père adoptif Kenji Mori et de Joseph Pignot, ancien commis récemment promu associé. Cet événement spectaculaire entraîne, suite à un rocambolesque concours de circonstances, une série de meurtres mystérieux. Lancée à la poursuite d'une confrérie haute en couleurs dont les membres ne font pas de vieux os, d'une jeune gandin en quête d'un trésor et d'une pierre maudite, l'aventureuse équipe sillonne un Paris fin de siècle gouailleur et canaille à un rythme d'enfer. Rendez-vous est pris avec le diable !
8 - La momie de la Butte-aux-cailles Izner, Claude
Victor Legris [8]: En cette année 1896, c'est décidé, les enquêtes, c'est bien fini pour Victor Legris, le libraire de la rue des Saints-Pères, également connu comme le plus fin limier de Paris... Mais lorsqu'il découvre le corps d'une de ses amies, Alexandrine Piote dite " tata Bric-à-brac ", se balançant au bout d'une corde, son incurable goût pour le mystère reprend le dessus. La victime lui avait soumis la veille une énigme à résoudre et Victor en est sûr, si tata Bric-à-brac a passé l'arme à gauche, ce n'est pas de son plein gré ! Avec l'aide de son associé, Joseph Pignot, toujours prêt pour l'aventure, il se lance sur les traces de l'assassin. Leurs pas les mènent dans l'un des quartiers les plus miséreux de la capitale, la Butte-aux-Cailles, où une maison abandonnée, de sinistre réputation, semble être le cœur de mystérieuses activités. Dans les ruelles malfamées du " faubourg souffrant ", les intrépides détectives de la librairie Elzévir ont rendez-vous avec le crime.Biographie de l'auteurClaude Izner est le pseudonyme de deux sœurs, Liliane Korb et Laurence Lefèvre. Liliane a longtemps exercé le métier de chef monteuse de cinéma, avant de se reconvertir bouquiniste sur les quais de la Seine, qu'elle a quittés en 2004. Laurence a publié deux romans chez Calmann-Lévy, Paris-Lézarde en 1977 et Les Passants du dimanche en 1979. Elle est aussi bouquiniste. Elles ont réalisé plusieurs courts métrages et des spectacles audiovisuels. Elles écrivent ensemble et individuellement depuis de nombreuses années, tant pour la jeunesse que pour les adultes. Leur goût pour l'histoire et le polar leur a donné l'idée de créer un nouveau personnage pour " Grands Détectives ", Victor Legris, libraire et enquêteur dans le Paris du siècle. Le premier titre de la série, Mystère rue des Saints-Pères, a reçu le prix Michel Lebrun en 2003.
9 - Le petit homme de l'Opéra Izner, Claude
Victor Legris [9]: Dans le Paris trépidant de la fin du XIXe siècle, l'ombre de la mort rôde sous la flamboyante coupole de l'Opéra. Parmi les rats et les étoiles, un petit homme méprisé de tous, rongé par la colère, est tapi dans l'ombre. Lorsque le prétendant d'une diva meurt au cours d'un mariage champêtre, tous croient à un malheureux accident. Mais bientôt, les morts s'accumulent... Victor Legris et Joseph Pignot, le truculent duo de la librairie Elzévir mènent cette fois l'enquête dans le dédale des coulisses du palais Garnier. Du Paris foutraque des forains aux ors de l'Opéra, la nouvelle affaire des limiers les plus gouailleurs de la Ville lumière les entraîne à toute vapeur dans une étrange danse macabre.
10 - Les souliers bruns du quai Voltaire Izner, Claude
Victor Legris [10]: Paris divisé gronde et se passionne pour le procès du siècle : l’affaire Dreyfus. Tandis que Zola rédige son célèbre J’accuse, Victor Legris et Joseph Pignot se trouvent mêlés malgré eux à une série de meurtres qui frappent bouquinistes et habitués du quai Voltaire. Dans cette ambiance délétère, les deux hommes tentent d'assembler les pièces éparses d’un bien étrange puzzle.« Pour nous faire voyager dans le temps, Claude Izner utilise la machine la plus fiable qui soit, celle de la langue. Elle nous transporte en un instant magique au coeur du Paris populaire. » Thierry Hubert, Le Dauphiné libéré