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Né en 1940 à New York, Norman Spinrad est depuis
les années soixante l’un des plus
représentatifs et l’un des plus originaux des
auteurs de la
Nouvelle Vague
américaine. Surtout connu en France pour deux romans
étonnants : Jack Barron et l’Éternité
et Rêve de fer, dont la publication fit l’effet
d’une bombe dans le monde de la science-fiction,
Norman Spinrad reste avant tout pour les critiques
américains « l’un des meilleurs, si ce
n’est le meilleur des auteurs de nouvelles que compte
le genre » comme l’a écrit Ursula le
Guin.
Une réputation méritée qu’il doit au
punch de ses idées ; des idées choc qui
démolissent en quelques lignes les tabous
littéraires et politiques apparemment les plus solides.
Iconoclaste, contestataire, apôtre ambigu des
hallucinogènes, Spinrad est un écrivain à
l’humour dévastateur, d’une stupéfiante
diversité.
SOMMAIRE :
1 – Préface de Patrice DUVIC
2 – Le dernier des Romani (
The Last of the Romani,
1963)
3 – Subjectivité (
Subjectivity, 1964)
4 – Les anges du cancer (
Carcinoma Angels,
1968)
5 – Le dernier hurrah de la horde d’or (
The Last Hurrah of the
Golden Horde, 1969)
6 – Le grand flash (
The Big Flash, 1969)
7 – L’herbe du temps (
The Weed of Time,
1970)
8 – Continent perdu (
Lost Continent, 1970)
9 – Nulle part où aller (
No Direction Home,
1971)
10 – La beauté de la chose (
A Thing of Beauty,
1972)
11 – Souvenir de famille (
Heirloom, 1972)
12 – Tous les sons de l’arc-en-ciel (
All the Sounds of the
Rainbow, 1973)
13 – Black-out (
Black-Out
, 1977)