La bibliothèque de Patrick
home

La bibliothèque de Patrick

Homme libre... toujours tu chériras la mer !
Kersauson, Olivier de and Noli, Jean
J’ai retrouvé, dans ce nouveau tour du monde, des bonheurs perdus. Des beautés d’obscurité la nuit, des lumières d’étoiles, des soirées sans lune. Des vents froids et des brises chaudes. Des coloris qui font croire en Dieu. Avec ses quatre coéquipiers, Olivier de Kersauson est parti à bord de son trimaran de 27 mètres pour améliorer le record du tour du monde à la voile. Pourquoi ce défi lancé au temps, aux vents, aux océans ? Dans la furie des déferlantes et l’abrutissante monotonie de la calmasse, Olivier de Kersauson s’aperçoit qu’il ne court pas seulement après un record, ou un autre bateau... Par-delà le récit d’une folle entreprise et d’une navigation périlleuse, ce livre raconte la quête d’un homme qui a toujours voulu conserver la liberté de rêver.
Mémoires salées
Kersauson, Olivier de
Bora Bora, Tabarly, le Cap Horn, les grosses têtes, le Pacifique, les quarantièmes rugissants, les grandes courses transatlantiques, les nuits parisiennes... Les tempêtes et le plaisir salé.Olivier de Kersauson est un homme de silence et de solitude quand il navigue sur les océans du monde entier, un homme de bruit et de grand public quand il est amiral des grosses têtes de Bouvard ou l'interviewer aigu de son émission de télévision.Sur ces deux éléments, c'est l'instinct qui compte. En mer, l'instinct de sentir en pleine nuit, alors qu'on est seul en à bord, qu'un cargo fonce droit sur vous. L'instinct de savoir qu'un marin doit quitter les merveilleuses îles pièges du Pacifique avec les femmes et la nature les plus fantastiques du monde, mais qui vous ankylosent l'esprit et le corps. L'instinct de la lutte au cœur des grandes courses et d'une mer déchaînée.Sur terre, l'instinct de sentir les hommes et de connaitre leur générosité. L'instinct de ne pas perdre son âme quand on participe aux courses les plus difficiles, aux mille embûches, celles des médias et celle des nuits parisiennes.Au grand large et dans les ports du plaisir, Olivier de Kersauson a bourlingué avec tous les capitaines du courage, Tabarly, Colas, Moitessier... et avec les amiraux de la fête, Jacques Martin, Jean Yanne, Jane Birkin, Jean Castel...Il fait des portraits d'eux comme seule l'amitié et les passions communes permettent de les tracer.Voici peut-être l'un des plus superbe livre écrit sur la mer, l'homme et la mer, et l'un des plus vrais et des plus cocasses écrit sur le monde des média et celui des nuits parisiennes.De Bora Bora au Quarantièmes Rugissants, des nuits de pleine lune aux vents de force sept, les voiles de Kersauson sont toujours gonflées d'aventure, d'amitiés et de plaisir salé.
Le monde comme il me parle
Kersauson, Olivier de
Kersauson par Olivier ou sous la mer, l'homme de coeur. " Notre histoire est solitaire. Notre naissance est solitaire. Quand on meurt, on est seul ; on a beau tenir la main d'un mourant de toutes ses forces, il part... Les choses fortes de notre vie sont solitaires, toujours. L'illusion qu'on passe son temps à se donner, c'est que nous ne sommes pas seuls. Comme on est nombreux, on tente de se reconstituer un monde où l'on serait ensemble ; mais on n'est jamais ensemble. Irréductiblement seuls. J'aime la solitude. J'ai la nostalgie de l'homme seul. Mon fantasme absolu, c'est que le monde ressemble à la réalité que je perçois. En somme, la non-solitude n'est qu'un accident. J'ai souvent plaisir avec le groupe mais je ne sais pas partager mes émotions. D'ailleurs, ceux qui disent partager leurs émotions, je me demande comment ils font. La vie est solitaire. Et j'ai le goût d'être seul. La solitude en mer, c'est l'isolement du reste des hommes. La vraie vie est en mer. La vie, à terre, c'est de la complaisance ? pas de la compromission car le mot est inélégant ? de la complaisance pour l'autre, de la politesse vis-à-vis de lui. Quand vous marchez sur un trottoir, vous envoyez en permanence des signaux pour que les autres s'écartent. La solitude, chez les anglo-saxons, elle est suspecte car pour eux, tout est " dans le groupe ". Chez les latins, elle est déjà plus romantique. D'ailleurs, on remarque que dans une course en solitaire, il y a plus de latins que d'anglo-saxons. Au vrai, la solitude, c'est une belle histoire... c'est nous. Voilà, c'est nous. Je suis seul donc je suis moi. Ce n'est pas avec les autres qu'on se connaît, c'est seul. Alors, on éprouve ce que l'on est : tout ce qu'il y a de formidable et d'infiniment médiocre. C'est une comptabilité qu'on ne rend pas obligatoirement publique ! On ne vit pas pour l'image que vous renvoie l'autre mais pour être mieux en soi. Le destin est une forme d'intransigeance : il faut tenter de bien se tenir avec soi. La vraie histoire, c'est soi. Mieux on se connaîtra et plus on sera indulgent avec l'autre. La meilleure manière d'aimer un peu l'autre, c'est de se connaître bien. " O. de K. À la suite d'Ocean's Song, Olivier de Kersauson revient sur ses courses, ses grands exploits. Plus intimiste, il parle aussi de sa vie, de ses sentiments, de l'amour, de l'amitié... Avec ce deuxième opus, il se livre davantage sur sa véritable nature. Au vrai, il tombe le masque. Ainsi découvre-t-on un homme profond, habité par des idéaux.
Ocean's Songs
Kersauson, Olivier de
"Prendre la mer, c'est tout sauf une fuite, c'est au contraire une discipline et une contrainte. Décider d'aller chevaucher les vagues, c'est une conquête et, pour conquérir, il faut partir. C'est l'extraordinaire tentation de l'immensité. La mer, c'est le cœur du monde. Vouloir visiter les océans, c'est aller se frotter aux couleurs de l'absolu.Il m'a toujours semblé indécent de ne pas aller voir partout dans le monde. Il me fallait partir sur tous les océans, découvrir tous les ports... Pour moi, c'est vital : puisqu'on est dans le monde, il faut le courir."Partant du principe que l'homme libre part pour apprendre et revient pour rendre compte, Olivier de Kersauson a décidé de raconter sa géographie maritime.Il fait le portrait de ses mers comme il pourrait dresser le portrait d'une femme. Il nous révèle, surtout, son destin singulier de skipper d'exception. Pour la première fois peut-être, dans Ocean's Songs, il se dévoile.
Promenades en bord de mer et étonnements heureux
Kersauson, Olivier de
Ce livre est un récit d'un genre neuf, celui du style de vie d'un marin considérable doublé d'un poète. "Quand je regarde la mer, je me promène dans le temps du monde." Vous l'ouvrirez à n'importe quelle page, il n'y a pas d'ordre dans les plaisirs, pas de classement dans les enchantements. C'est de ceux-là dont Olivier de Kersauson nous entretient.Voici donc le catalogue original d'un esthète singulier amoureux de la mer. "Il y a des artistes qui peignent des tableaux. Moi, je peins le sillage blanc sur le bleu des mers."
Veritas tantam
Kersauson, Olivier de
Le monde change : il vacille, il tangue.Olivier de Kersauson est de ceux qui l’interrogent sans cesse tout en le connaissant bien. Son point de vue si caractéristique, son écriture pure et sans détours ont fait de lui un témoin hors norme de notre époque. Depuis le large, ce grand marin aperçoit nettement les contours de notre société en constante mutation. Pour lui, une seule chose compte : garder le cap au milieu des tempêtes. Alors, comment faire pour ne pas chavirer ? Comment rester libre dans une société de plus en plus contrainte ? Comment ne pas sombrer dans les « idéologismes » ?Olivier de Kersauson, moraliste autant que poète, revient avec un essai qui ne pourra laisser personne indifférent tant, au fil du temps, sa pensée, donc sa plume, s’aiguisent.
Vieil Océan
Kersauson, Olivier de
Parce que j'ai toujours eu la conviction que la vie était précaire, j'ai toujours cherché à avoir une vie qui me ferait battre le cœur...Le 28 décembre 1988, Olivier de Kersauson embarque sur un multicoque de vingt-trois mètres pour un tour du monde en solitaire. Le rêve de chaque navigateur...Cent vingt-cinq jours durant, il vivra seul, coupé du monde des hommes. De Brest à Brest, il affrontera tout : les ennuis mécaniques, les nuages de poussière rouge du Sénégal, le " cauchemar vertigineux " du pot au noir, cette zone de l'équateur où les vents sont réduits à néant...La peur, l'épuisement, le froid, la mort qui rôde. Autant d'épreuves transfigurées par l'émerveillement d'un homme qui toujours se mesurera avec la mer.On connaissait le Kersauson combatif des grandes courses à voile, le Kersauson farceur des " Grosses Têtes ". Se révèle ici un homme grave et réfléchi, qui dialogue avec l'océan pour mieux connaître les hommes.