La bibliothèque de Patrick
home

La bibliothèque de Patrick

À quand les bonnes nouvelles
Atkinson, Kate
Jackson Brodie [3]: Dans un coin paisible de la campagne du Devon, une petite fille de six ans, Joanna Mason, est le témoin d’un crime épouvantable. Trente ans plus tard, l’homme qui a été condamné pour ce crime sort de prison.A Edimbourg, Reggie, qui a seize ans et qui est bien plus futée que les gamines de son âge, travaille comme nounou chez un médecin, le docteur Hunter. Mais quand celle-ci disparaît, Reggie est la seule personne qui semble s’en apercevoir. En ville, l’inspecteur en chef Louise Monroe est aussi à la recherche d’une personne disparue, David Needler, sans se rendre compte qu’un de ses vieux amis – Jakson Brodie – se précipite vers elle. Il est là pour un séjour qui est sur le point d’être tragiquement interrompu.Dans une extraordinaire démonstration de talent, Kate Atkinson nous donne l’un des romans psychologiques les plus fascinants et les mieux écrits de ces dernières années. À quand les bonnes nouvelles ? nous offre un nouvel éclairage sur la nature du destin et sur la condition humaine.
C’est pas la fin du monde
Atkinson, Kate
Qu’est-ce que le monde moderne ? Existe-t-il vraiment ? Ou n’est-il qu’une apparence d’une autre réalité ? Ironique et profond à la fois, C’est pas la fin du monde, le premier recueil de nouvelles de Kate Atkinson, explore le monde que nous croyons connaître pour nous en révéler un autre… pour le moins dérangeant. Un monde où les mythes que nous avons bannis de nos existences sont étonnamment présents et où l’imagination a le pouvoir de transformer la réalité. De Charlene et Trudi, qui s’acharnent à faire des listes de courses sous les bombes, au petit Eddie, fasciné par la nomenclature des poissons, et à Marianne qui nous fait soudain entrevoir que l’enfer, version moderne, c’est la télévision des ménagères, chacune de ces histoires nous plonge dans un réalisme magique rafraîchi par la pluie écossaise. Résolument moderne et invraisemblablement vraisemblable, après Dans les coulisses du musée et La Souris Bleue, C’est pas la fin du monde est une méditation d’une savoureuse originalité sur les mythes, qui fait de Kate Atkinson un des écrivains les plus inventifs et les plus drôles de la littérature contemporaine. Kate Atkinson est la digne héritière de son écrivain favori, Lewis Carroll. Le Monde. Un petit chef-d’œuvre de charme, de finesse et d’humour. Daphné de Saint Sauveur, Madame Figaro.
Dans les coulisses du musée
Atkinson, Kate
Dès l’instant précis de sa conception, une nuit de 1951, la petite Ruby Lennox a commencé à voir, à comprendre, à sentir. En particulier, elle sait qu’on se serait bien passé d’elle…Et la voilà qui entreprend de nous raconter, avec une lucidité et un humour dévastateurs, son histoire, celle de ses parents, George et Bunty, petits boutiquiers d’York, de ses sœurs, de toute une famille anglaise moyenne – mais assurément pas ordinaire.Mieux encore : Ruby remonte dans le passé. Si bien qu’à l’Angleterre des années 1950 et 1960 se mêlent les images de tout le XXe siècle.Dès sa parution en Angleterre, ce premier roman de Kate Atkinson a été salué comme un chef-d’œuvre, pour la subtilité de sa construction et la verve irrésistible de son écriture. En France, la rédaction de Lire l’a élu meilleur livre de l’année. **
Dans les replis du temps
Atkinson, Kate
Hantée par la disparition de sa mère Eliza, négligée par un père revenu du bout du monde avec une nouvelle épouse, Isobel Fairfax est douée (ou affligée ?) d'une faculté exceptionnelle : circuler à son gré dans le temps, pour explorer une tranche du passé ou entrouvrir une porte sur l'avenir.Ainsi va-t-elle remonter à l'époque où ses ancêtres, contemporains de Shakespeare, étaient les seigneurs du pays environnant, puis reparcourir la longue décadence qui mène à son épicier de père. Et aux multiples secrets, dérisoires ou tragiques, qui sont le lot de toutes les familles... Isobel n'aurait-elle pas préféré ignorer ce qu'il lui sera donné de découvrir ? Après Dans les coulisses du musée, lauréat du prix Whitbread en Grande-Bretagne, sacré par le magazine Lire " Meilleur roman de l'année 1996 ", Kate Atkinson nous entraîne une fois encore dans un irrésistible galop romanesque, à la fois saga familiale et enquête policière. **
L'homme est un dieu en ruine
Atkinson, Kate
Teddy a vingt ans lorsqu’il s’enrôle en 1940 comme pilote de bombardier. Vite promu commandant d’Halifax, lui et son équipage vont connaître quatre années d’horreur et d’héroïsme où chaque mission risque d’être la dernière.Il va pourtant vivre jusqu’à plus de quatre-vingt-dix ans sans jamais complètement accepter l’idée d’avoir survécu et avec une obsession : ne plus  faire de mal à personne. Le formidable pilote va donc épouser celle qui l’attendait, devenir père puis grand-père tout en se frayant un chemin au milieu des périls et des progrès du XXe siècle.Mélangeant les genres avec maestria : roman de guerre et roman sociétal, passant avec virtuosité du futur au passé, des larmes aux rires, Kate Atkinson signe un roman éblouissant où l’ambition littéraire n’altère jamais l’empathie de l’auteur pour ses inoubliables personnages.  
La Souris Bleue
Atkinson, Kate
Jackson Brodie [1]: Un détective privé enquête à Cambridge sur des affaires criminelles qui n'ont jamais été éclaircies. Il doit remonter à des événements du passé, souvent très lointains, pour suivre les traces de la mystérieuse “Souris Bleue”.Les intrigues sont situées dans des milieux sociaux très divers, allant de la classe ouvrière à la gentry. Les drames les plus poignants alternent avec les épisodes désopilants. On retrouve le regard caustique de Kate Atkinson sur notre monde moderne, la télévision et la “néfaste food”, entre autres. Anticipations et retours en arrière tiennent le lecteur en haleine. Les maux de notre société, l'amour parental avec ses excès et ses carences sont dépeints avec une étonnante âpreté de ton.
Les choses s'arrangent mais ça ne va pas mieux
Atkinson, Kate
Jackson Brodie [2]: Parce qu’il a été témoin d’un violent accrochage entre deux automobilistes, Jackson Brodie, dont nous avons fait la connaissance dans La Souris bleue, va se trouver lancé dans une série d’aventures incroyables.Les choses s’arrangent... est un thriller, une comédie noire et une satire de la vie contemporaine britannique. Plusieurs intrigues se croisent avec brio dans un texte porté par un humour subversif et un suspense hitchcockien. Sont brocardés entre autres un certain théâtre d’avant-garde, les exercices auxquels doivent se plier les écrivains pour vendre leurs livres, une certaine littérature populaire, les promoteurs immobiliers, l’exploitation sexuelle des jeunes femmes d’Europe de l’Est, les nouveaux riches.Le regard décapant de Kate Atkinson sape les prétentions et les illusions des personnages et dynamite nos certitudes.
On a de la chance de vivre aujourd'hui
Atkinson, Kate
On a de la chance de vivre aujourd'hui est le second recueil de nouvelles de Kate Atkinson.D'un mini-thriller à l'humour grinçant et plein de fantaisie (Affaires de coeur) à Dieu qui décide de revoir sa copie après ce que l'homme a réussi à faire de sa création (Genèse) en passant par une vision glaçante de ce que donnerait l'application de la charia en Écosse (La Guerre contre les femmes), nous retrouvons la plume ironique et poétique de Kate Atkinson. Jetant sur notre monde un regard tantôt impitoyable (analyse à l'humour ravageur des fantasmes féminins dans Je ne suis pas une Joan), tantôt émerveillé (Le Jour de Lucy), elle nous plonge dans un univers où les choses ne sont jamais tout à fait ce que l'on croit (On a de la chance de vivre aujourd'hui et La Lumière du Monde) avant de conclure sur une version très contemporaine d'un célèbre opéra.
Partit tôt, pris mon chien
Atkinson, Kate
Leeds dans le Yorkshire. Une journée ordinaire s’annonce pour Tracy Waterhouse, chef de la sécurité dans un centre commercial. Jusqu'à ce qu'elle fasse un curieux achat, qui va faire basculer sa vie… Rebondissements et fausses pistes abondent dans ce roman qui empoigne le lecteur dès la première page et le tient en haleine jusqu'à la fin. Des années 1975 à aujourd'hui, Kate Atkinson nous plonge dans un univers d'un réalisme cru : tueurs en série, prostituées assassinées, enfants enlevés, policiers véreux, mais à sa sauce : c’est drôle, truffé de jeux de mots et d’allusions littéraires. Parti tôt, pris mon chien confirme, s’il en était besoin, que Kate Atkinson est un des grands écrivains de notre temps.
Transcription
Atkinson, Kate
1940. Juliette Armstrong, une très jeune femme est recrutée par un obscur département des services secrets anglais. Son rôle consiste à transcrire les conversations de drôles de sympathisants anglais au nazisme. Une tâche bien monotone mais qui deviendra terrifiante.À la fin de la guerre, devenue productrice à la BBC, la voilà étrangement confrontée aux fantômes de son passé. Une autre guerre se joue là sur un terrain diffèrent et Juliette est à nouveau exposée. Tout se paie, Juliette commence à se rendre compte que tout acte a ses conséquences.
Une vie après l'autre
Atkinson, Kate
11 février 1910 Ursula Todd naît – et meurt aussitôt.11 février 1910 : Ursula Todd naît – et meurt, quelques minutes plus tard, le cordon ombilical enroulé autour du cou.11 février 1910 : Ursula Todd naît – le cordon ombilical menace de l’étouffer, mais cette fois le médecin est là pour le couper, et Ursula survit…Ursula naîtra et mourra de nombreuses fois encore – à cinq ans, noyée ; à douze ans dans un accident domestique ; ou encore à vingt ans, dans un café de Munich, juste après avoir tiré sur Adolf Hitler et changé ainsi, peut-être, la face du monde…Etablis dans un manoir bucolique du nom de Fox Corner, les Todd portent sur leur environnement le regard distancié, ironique et magnanime de ceux que les tragédies de l’Histoire épargnent. Hugh, le père, travaille à la City, tandis que Sylvie, la mère, reste à la maison et élève ses enfants à l’ancienne. Mais le temps, en la personne d’Ursula, va bientôt se détraquer, se décomposer en une myriade de destins possibles qui vont, chacun à sa manière, bouleverser celui de la famille…Si l’on avait la possibilité de changer le cours de l’histoire, souhaiterions-nous vraiment le faire ?