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Fausse-Rivière
Denuzière, Maurice
Louisiane [3]: 1865. Le Vieux Sud a été ravagé par la guerre de Sécession. Fausse-Rivière est l’histoire de sa reconstruction, à travers celle de Bagatelle, le grand domaine cotonnier des bords du Mississippi. Esclaves affranchis mais misérables, fanatiques du Ku Klux Klan, aventuriers du Nord se disputent les dépouilles d’une civilisation aristocratique que défendent Virginie et Clarence Dandrige, les inoubliables héros de Louisiane. Ils prendront leur revanche à travers les destinées de leurs descendants, tandis qu’apparaissent de nouveaux venus attachants comme Liponne l’Acadienne, Castel-Brajac le bon et joyeux Gascon, Stella la petite orpheline indienne.Fausse-Rivière, fresque romanesque tumultueuse et passionnée, respectueuse de l’exactitude historique, est le second volet de cette saga que Maurice Denuzière a consacrée au Vieux Sud américain et qui est un des plus grands succès de ces dernières années.Note :Pour tous les noms de lieux français d’origine mais devenus réalité géographique et administrative, l’orthographe américaine, sans accent ni trait d’union – ni quelquefois pluriel – a volontairement été adoptée : Grand Coteau, Baton Rouge, Pointe Coupee, Napoleonville, Quatre Mile, Sainte Marie, Saint Francisville, etc. Au contraire, La Nouvelle-Orléans et Fausse-Rivière, par exemple, ne sont que des traductions, car les Louisianais emploient, presque toujours, New Orleans et False River.
Helvétie
Denuzière, Maurice
Helvétie [1]: Quinze ans après la publication de son premier roman historique, Louisiane, qui allait battre tous les records de vente, faire de lui un best-seller international et relancer le genre en France, Maurice Denuzière propose Helvétie, premier volume d'une nouvelle série romanesque. Si le décor et l'ambiance sont très différents, on retrouve ici la maîtrise du romancier et le savoir-faire de l'enquêteur méticuleux. Après avoir révélé au public une ancienne colonie française d'outre-Atlantique, Denuzière nous propose, cette fois, de découvrir les balbutiements d'une Europe à venir. A travers une série de destins soumis aux intrigues, aux antagonismes religieux et à l'affairisme, il montre comment l'idée européenne était, dès 1800, grâce aux philosophes, écrivains... et militaires, omniprésente sur les bords du Léman. A l'heure où notre sort semble irrémédiablement lié à celui d'une communauté européenne dont on ne saurait dire si elle s'imposera ou restera, une fois encore, un rêve inaccompli, l'auteur évoque les promesses et l'échec, consommé au XIXe siècle grâce à l'Angleterre, d'une Europe fédérative. Il peint un microcosme du pays de Vaud où, tandis que l'Europe est à feu et à sang, règnent la douceur de vivre et l'insouciance face au temps qui coule. Le public s'est passionné, au fil de la saga louisianaise, pour les inoubliables destinées de Virginie, la dame de Bagatelle, et Clarence Dandrige, le Cavalier du Vieux Sud, de Castel-Brajac, l'émigré gersois, de Charles de Vigors, le politicien, puis d'Osmond et Lorna. Les lecteurs d’Helvétie découvriront les amours clandestines du beau Blaise de Fontsalte, soldat de l'Empire, et de Charlotte Métaz, la tendre Veveysanne, les déceptions du poète Chantenoz, l'esprit d'entreprise de Guillaume, l'inconsolable chagrin de Flora Baldini, la sagesse de Blanchod, le vigneron, et le destin exceptionnel du jeune Axel dont la naissance, l'instruction classique et l'éducation symbolisent l'esprit européen, issu du siècle des Lumières et cher à Mme de Staël..
Je te nomme Louisiane
Denuzière, Maurice
En mai 1803, il y a donc 200 ans, Bonaparte vendit la Louisiane aux États-Unis. La Louisiane française recouvrait alors un territoire immense, équivalant à dix-huit États actuels de l'Union. La vie des explorateurs et des colonisateurs qui, dès le XVIe siècle, parcoururent en tous sens ces vastes étendues vierges se lit comme un roman. Ces héros dont les destins se croisent sur les chemins du vaste continent et sur le Mississippi, fleuve roi, ont illustré une page de l'épopée coloniale française.
Le Pont de Buena Vista
Denuzière, Maurice
Bahamas [1]: 5 janvier 1853, à Liverpool : Charles Ambroise Desteyrac, jeune polytechnicien, diplômé de l'École des ponts et chaussées, a rendez-vous avec l'homme de confiance de Simon Leonard Cornfield, lord richissime dont la famille est propriétaire, depuis 1667, d'une île des Bahamas. L'ingénieur est chargé de construire un pont assez solide pour résister aux ouragans. L'exil tropical et la quête de l'aventure offriront, au jeune républicain qui refuse de servir Napoléon III, découverte de la navigation hauturière, révélation d'une civilisation ignorée, à la fois primitive et raffinée, rencontre de l'amour.Le lord des Bahamas et sa sœur Fish Lady, Edward Carver, ancien major de l'armée des Indes, Malcolm Murray, jeune architecte, viveur et désabusé, Mark Tilloy, séduisant officier de la marine, lady Ottilia, Anglaise délurée, ardente féministe, et Ounca Lou, la belle métisse, vont bientôt constituer son cercle familier au sein d'une société insulaire, riche en drames, en passions et en intrigues. Après l'immense succès des séries Louisiane et Helvétie, Maurice Denuzière nous livre ici le premier volume d'une nouvelle fresque romanesque, au tueur du XIXe siècle, dans le décor idyllique de l'archipel des Bahamas.
Louisiane
Denuzière, Maurice
Louisiane [1]: Louisiane est la chronique d’une famille de planteurs, les Damvilliers, dominée par Virginie, une femme belle et ambitieuse, dont le destin va se confondre avec celui de Bagatelle, un domaine cotonnier au bord du Mississippi. Immigrants, esclaves, aristocrates d’origine française, des dizaines de personnages font revivre par la diversité de leur vie quotidienne, de leurs passions, de leurs ambitions, l’apogée puis le déclin du Sud, en une fresque magistrale qui nous fait entrer de plain-pied dans l’Histoire.Maurice Denuzière, qui fut grand reporter au journal Le Monde, a mené une longue et minutieuse enquête à la Nouvelle-Orléans. Hormis quelques personnages, tout ce qu’il retrace dans Louisiane est authentique.Prix des Maisons de la presse, traduit en quinze langues, Louisiane a été adapté pour le cinéma et la télévision par Philippe de Broca avec Margot Kidder, Ian Charleston, Andréa Ferréol, Victor Lanoux…
Retour à Soledad
Denuzière, Maurice
Bahamas [2]: Juillet 1857 à Soledad, île de l'archipel des Bahamas, propriété de la famille Cornfield depuis le XVIIe siècle. Le Français Charles Ambroise Desteyrac, jeune polytechnicien, diplômé de l'École des ponts et chaussées, républicain convaincu, est arrivé quatre ans plus tôt pour construire un pont. Son choix de l'exil tropical et sa quête de l'aventure ont ancré sa vie : il a épousé Ounca Lou, la belle métisse, fille naturelle du lord propriétaire, qui lui donne un fils. Au fil des années, il a réalisé des travaux de grande ampleur et appris à mieux connaître et à aimer Fish Lady, ardente protectrice des Indiens ; Edward Carver, ancien major de l'armée des Indes ; Malcolm Murray, architecte viveur et désabusé ; lady Ottilia, belle Anglaise délurée, féministe et antiesclavagiste. Comme les familiers de la société insulaire, Desteyrac va être mêlé, malgré lui, aux conséquences de la guerre civile américaine, provoquée par la sécession des États esclavagistes cotonniers du Vieux Sud. Il rencontrera les forceurs de blocus et les premiers touristes. L'archipel idyllique, emporté par le tourbillon des affaires et des trafics, connaît, sous couvert de sa neutralité, un essor économique équivoque et inespéré, avant de vivre les années difficiles de la récession, le retour à l'agriculture et au pillage des épaves. Intrigues, drames personnels, passions inavouées, ouragans destructeurs, deuils inattendus nourrissent la trame de cette fresque romanesque. Après l'immense succès des séries Louisiane et Helvétie, Maurice Denuzière nous entraîne de nouveau au cœur du XIXe siècle, révélant, dans ce deuxième volume de Bahamas, les aspects étonnants d'événements historiques que l'on croyait connaître.
Rive-Reine
Denuzière, Maurice
Helvétie [2]: Louisiane, son premier roman historique, publié en 1977, fit de Maurice Denuzière un écrivain de renom international. En 1992, Helvétie, premier volume d'une nouvelle série romanesque, figura dans toutes les listes des meilleures ventes. Les lecteurs firent, une nouvelle fois, confiance à la maîtrise du romancier et au savoir-faire de l'enquêteur méticuleux qui peignait habilement le microcosme du pays de Vaud au commencement du siècle dernier. Dans Rive-Reine, l'Helvétie d'après 1815, indépendante et neutre, devient terre d'asile des patriotes européens. Genève et Lausanne sont d'importants carrefours intellectuels. La Confédération entre dans l'ère moderne : premiers bateaux à vapeur, naissance de l'industrie alimentaire, amélioration du réseau routier, mécanisation de l'horlogerie, essor des banques, urbanisation, développement du tourisme. Ces années ne sont pas exemptes de conflits internes, politiques ou religieux. Sous le signe du progrès, hommes et femmes s'aiment, se fuient, se poursuivent avec passion, dans de nouveaux épisodes de la tendre guerre des sexes. Les lecteurs de Rive-Reine retrouveront Blaise de Fontsalte, fidèle à la dame de Belle Ombre ; Axel, partagé entre deux pères, dilettante aventureux, voyageur romantique, mais Vaudois fidèle à son lac et à ses vignes ; Chantenoz, philosophe-poète ; Guillaume, prototype des Suisses qui firent fortune en Amérique ; Flora, l'Italienne. Ils découvriront de nouveaux acteurs de l'humaine romance : un banquier genevois et sa famille, une ardente Tsigane, pasionaria présente dans toutes les révoltes. La Suisse apparaît alors, en dépit des risques de désunion, comme le modèle d'une confédération continentale possible. Un exemple à retenir, pour notre Europe livrée à de sanglants conflits.
Romandie
Denuzière, Maurice
Helvétie [3]: – Tu sais, moi aussi, je te suivrais jusqu'en enfer, dit-elle avec fougue. – Tu serais même capable de m'y envoyer ! Tendres romances, passions interdites marquent ce nouvel épisode de la chronique des Fontsalte dans une Suisse livrée aux révolutions. Axel, Vaudois spéculatif et réaliste, est entouré de femmes exaltées : Elise, épouse protestante, Marthe, veuve sensuelle, Charlotte, militante catholique, Zélia, Tsigane détentrice de secrets sulfureux, Flora, Italienne intransigeante, Alexandra, héroïne passionnée, première femme banquière. Tous évoluent dans la Suisse d'après 1830, du côté de Fontsalte et Ribeyre, les héros de l'épopée napoléonienne, de Chantenoz, le poète-philosophe, de Vuippens, le médecin cynique au cœur tendre. De Genève à Londres, de Lausanne à Paris, les héros vivent l'essor de l'Europe industrielle et financière. Ils croisent le futur Napoléon III, qui complote sur les rives du Léman. Ils assistent au couronnement de Victoria et au retour des cendres de Napoléon Ier. Ils rencontrent les célébrités de l'Europe romantique, tels Liszt, Sainte-Beuve, Hugo, Mendelsshn, Dickens, séduits par les charmes du pays de Vaud. Maurice Denuzière, best-seller international et maître incontesté du roman historique depuis 1997 grâce à Louisiane, a entrepris, avec Helvétie et Rive-Reine, de raconter le roman vrai de la Suisse turbulente et passionnée, au cœur de l'Europe agitée du XIXe siècle. Avec Romandie, il nous livre une nouvelle séquence de cette aventure riche en rebondissements.
Une tombe en Toscane
Denuzière, Maurice
La fin des années 50. A la mort de son père, Jean-Louis découvre des papiers secrets : Louis Malterre, industriel réputé, père de famille irréprochable, soldat valeureux, n'avait jamais révélé à ses proches certains épisodes de sa jeunesse.Du Portugal en Italie, le jeune homme mène une véritable enquête. Du mausolée d'Inés de Castro au Portugal, à une pierre tombale dans le cimetière de Sienne, sur laquelle il découvre gravé son propre nom, de la riche propriété familiale aux palais toscans, Jean-Louis, après s'être nié lui-même pour ressembler désespérément à un autre, se livre à une véritable quête de sa propre personnalité.San Gimigniano, Volterra, Chiusi sont autant d'étapes qui, dans un jardin de fantômes, le conduisent vers lui-même. C'est au pays des Étrusques qu'il aura le sentiment de naître enfin.Ecrit plus de quinze ans avant que Maurice Denuzière éprouve pour la Louisiane un coup de foudre qui allait bouleverser sa carrière, ce roman révèle déjà l'intérêt de l'auteur, amoureux de la Toscane, pour la recherche historique, les sites prédestinés, les secrets de famille, les demeures patriciennes, le charme trouble et envôutant qui s'en dégage. Il montre aussi une préoccupation métaphysique pour le sort de l'être humain enfermé dans le fatal triangle de l'art, de l'amour et de la mort. Le plus intimiste des romans de l'auteur des séries Louisiane et Helvétie.  
Un paradis perdu
Denuzière, Maurice
Bahamas [3]: Octobre 1872, à Soledad, Une île de l'archipel des Bahamas, propriété de la famille Cornfield depuis le XVIIe siècle. L'ingénieur français Charles Ambroise Desteyrac, arrivé en 1853 pour édifier un pont, n'en est jamais reparti. Occupé à la construction d'un phare, il vieillit auprès de lady Ottilia. Les événements historiques, proches ou lointains, ont des répercussions sur la vie des îliens : en 1898, la guerre hispano-américaine provoque une émigration cubaine ; la Première Guerre mondiale envoie des insulaires combattre en Europe ; la prohibition fait la fortune de l'archipel. Et les ouragans apportent leur lot de destructions et de misère... Après l'immense succès des séries romanesques Louisiane et Helvétie, Maurice Denuzière a entrepris, avec Le Pont de Buena Vista et Retour à Soledad, une nouvelle trilogie, Bahamas. Un paradis perdu, troisième et dernier volet de cette chronique, nous conte l'américanisation insidieuse d'une île paradisiaque.