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La fin de Satan
Hugo, Victor
"La Fin de Satan est un vaste poème épique et religieux de Victor Hugo (5700 vers). Bien que les parties les plus anciennes datent de 1854, elles n'étaient encore pas pensées comme un ensemble particulier et Hugo pouvait encore penser les intégrer dans ses Petites Epopées. À partir de 1855, Hugo conçoit sa vision telle qu'il l'annonce dans la Préface de la Première Série de La Légende des Siècles : celle-ci n'est que la première partie d'une œuvre immense dont les deux autres pièces, la Fin de Satan et Dieu, doivent bientôt être publiées mais qui en fait sont encore inachevées. Après y avoir encore travaillé entre 1860 et 1862 Hugo n'y reviendra plus, et le poème sera publié de manière posthume en 1886." source wikipédia
Le dernier jour d'un condamné
Hugo, Victor
À la prison de Bicêtre, un condamné à mort note heure par heure les événements d'une journée dont il apprend qu'elle sera la dernière. Il rappelle les circonstances de la sentence, puis de son emprisonnement et la raison qui le fait écrire, jusqu'au moment où il lui sera physiquement impossible de continuer. Décrivant sa cellule, détaillant la progression de la journée, évoquant d'horribles souvenirs comme le ferrement des forçats, la complainte argotique d'une jeune fille, des rêves, il en arrive au transfert à la Conciergerie.... Hugo ne donne pas son nom, ne dit presque rien sur son passé, ni pourquoi cet homme est emprisonné. Peu importe ! Ce texte est un plaidoyer contre la peine de mort, contre toutes les peines de mort, il n'a pour objet que cette mort qui apparaît dans toute son horreur inouïe et impensable, dans son inhumanité intrinsèque. Ce condamné «anonyme», n'est personne, et donc tout le monde, et nous vivons sa peur et son Enfer.
Les Burgraves
Hugo, Victor
Château de Heppenheff, Burg du Rhin. Il y a 70 ans, les deux fils, l'un naturel et l'autre légitime, de l'empereur d'Allemagne (dont ils ignorent l'identité) aiment la même femme. Le fils naturel, Fosco, assassine Donato, son frère, pour l'amour de Ginevra et il vend cette dernière comme esclave pour lui avoir préféré son frère. 70 ans plus tard, le nonagénaire burgrave Job, bouleversé par l'enlèvement, 20 ans auparavant, de son plus jeune fils encore tout enfant, a été évincé, avec son fils Magnus, par leurs descendants dégénérés et avilis. Ceux-ci commettent les pires exactions et terrorisent la région entre deux orgies. Régina, fragile, aimante, se consumant d'un mal inexpliqué, est promise au brutal petit-fils de Job, mais elle aime Otbert, noble, vaillant et loyal et qui le lui rend bien. Ils sont l'unique compagnie de Job et son unique source de réconfort. Guanhumara, une vieille esclave mystérieuse, promet à Otbert de sauver Régina à l'aide d'une potion miracle en échange de l'assassinat d'un inconnu qui, dit-elle, le mérite bien. Otbert s'engage à frapper la victime inconnue sur l'ordre de Guanhumara et tout semble aller pour le mieux pour les tourtereaux, qui obtiennent la bénédiction de Job à leur union. Or le Burg abrite un énigmatique visiteur, vieillard chenu, accueilli, contre l'avis des jeunes générations, par Job et Magnus...
Notre-Dame de Paris
Hugo, Victor
Le 6 janvier 1482, jour de la fête des Fous, on donne dans la grande salle du Palais de Justice de Paris un mystère du poète Gringoire, alors que sur le parvis de Notre-Dame danse la bohémienne Esmeralda. Quasimodo, le sonneur disgracieux de la cathédrale, essaie de l'enlever sur l'ordre de l'archidiacre Claude Frollo. Le capitaine Phoebus de Châteaupers la sauve. Esmeralda, elle, sauve en l'épousant Gringoire, prisonnier des truands alors qu'il s'était égaré dans la cour des Miracles... Le hideux Quasimodo vit au milieu de ses cloches. Mis au pilori pour avoir attaqué Esmeralda, il en tombe amoureux quand elle vient lui offrir à boire...