Cléopâtre, reine du Nil Peyramaure, Michel
Cléopâtre était belle, intelligente, ambitieuse, volontaire. Elle parlait une dizaine de langues. L'histoire et la géographie n'avaient pas de secrets pour elle. Elle pouvait tenir tête aux philosophes les plus célèbres. Elle devint reine d'Egypte à dix-sept ans. Elle rêvait de régner sur un grand empire oriental, de faire d'Alexandrie une seconde Rome. Pour cela, elle conquit les hommes les plus puissants de son temps : Jules César, Marc Antoine, et les aima follement. Elle entra dans la légende en préférant la mort au déshonneur de la défaite... Un destin fabuleux. Une femme hors du commun. Une éblouissante et tragique fresque historique.
Et Dieu donnera la victoire Peyramaure, Michel
Jeanne d’Arc [1]: Le monde entier connaît l'histoire de Jeanne la Pucelle qui sauva son pays " avec l'aide de Dieu ". Sur toute la terre, sur tous les continents, Jeanne incarne la France. Mais sait-on qui était cette jeune fille qui, de février 1429 à mai 1431 - en deux ans seulement ! -, entre dans notre histoire pour ne cesser d'y grandir ? Michel Peyramaure n'a pas craint de faire de la petite paysanne de Domrémy l'héroïne d'un roman. Ainsi, d'épreuves en chevauchées, de sièges en batailles, à travers conflits et intrigues, ce premier tome - un autre suivra qui mènera au bûcher de Rouen - fait-il revivre, avec exactitude et vérité, la figure fascinante de Jeanne d'Arc. " Va, Fille Dieu, va ! " disaient les voix et Jeanne allait. " Les hommes d'armes combattront et Dieu donnera la victoire ", répétait-elle. Jusqu'au jour où, après le triomphe de Reims, une autre voix se fit entendre: " Jeanne, tu ne dureras guère, un an, deux ans tout au plus. Hâte-toi... "
La confession impériale Peyramaure, Michel
Au crépuscule de son existence, Charlemagne livre à son secrétaire, Eginhard, le récit des riches heures de sa vie. Au long de cette confession impériale, les deux hommes revisitent ensemble le destin fascinant du premier roi des Francs sacré empereur d'Occident. Parcourir la vie de Charlemagne, c'est avant tout voir se dessiner les contours de l'Europe. Et imaginer des armées levées en masse converger vers des fleuves mythiques - l'Elbe et le Danube. A leur tête, un chef de guerre adulé, redoutable et redouté. Derrière cette représentation légendaire se révèle cependant un tout autre visage: celui d'un vieil homme attendant la mort et d'un ardent défenseur de la foi, des pauvres et de la culture. Un personnage complexe, profondément attaché à son peuple et soucieux de son sort, auquel Michel Peyramaure rend le plus vibrant des hommages.
La couronne de feu Peyramaure, Michel
Jeanne d’Arc [2]: En moins de trois mois (mai, juin, juillet 1429), elle a renversé le cours de l'histoire de France : en levant le siège d'Orléans, elle a arrêté les Anglais sur la Loire; en faisant sacrer le dauphin Charles à Reims, elle a restauré la légitimité royale. Accomplis les deux premiers points de sa mission, il lui reste à "bouter les Anglais hors de France". C'est alors que le destin chancelle.Dans l'élan de la victoire, il fallait marcher sur Paris. Le roi tergiverse : la politique a repris ses droits. Charles VII use l'héroïne aimée du peuple en de vaines campagnes. Elle échoue devant Paris; sous les murs de Compiègne, elle est capturée par les Bourguignons, qui la vendent aux Anglais.Alors commence son martyre, sa "passion" aui, de forteresse en forteresse, la mènera à la prison de Rouen et sur le bûcher de la place du Vieux-Marché après une horrible détention et un procès scandaleux où, avec une fermeté, une foi et une grandeur admirable, elle tiendra tête, seule, à l'évêque Cauchon et à l'Inquisition. Mais les Anglais voulaient sa mort.Du milieu des flammes, elle a lancé sept fois vers le ciel le nom de Jésus. Et les assistants sanglotaient. "Nous avons brûlé une sainte !", s'écria un soldat anglais.Déjà, elle était entrée dans la légende.
Les prisonniers de Cabrera Peyramaure, Michel
1808. Fort de ses conquêtes en Europe, Napoléon est animé d'une intention secrète : mettre la main sur l'Espagne. Laurent de Puymège, aide de camp, raconte sa vie dans sa garnison à Madrid, son quotidien de soldat, sa passion pour l'ardente Josefa. Mais bientôt c'est la débâcle : dans un village andalou, vingt mille soldats français sont vaincus, faits prisonniers et déportés, en dépit des conventions. Puymège et cinq mille compagnons d'infortune sont alors abandonnés sur les pontons de Cadix, puis sur l'île de Cabrera, véritable prison à ciel ouvert, qui va devenir le lieu de perdition ou de mort de milliers d'hommes et de femmes. Michel Peyramaure fait revivre un épisode de désolation et de grandeur, où des hommes oubliés de l'Empereur et des Français durent survivre dans des conditions inhumaines.
Mourir pour Saragosse Peyramaure, Michel
Dans le Périgord en 1789. Alors que la frénésie révolutionnaire enflamme la France, le baron Antoine-Joseph de Barsac, gentilhomme paysan attaché à sa terre périgourdine, ne songe qu’aux soins du domaine familial. Mais ses tièdes convictions républicaines le rendent suspect et il n’a d’autre choix que de s’engager dans l’armée, délaissant sa promise, Héloïse, qui ne s’en consolera pas. Commence pour le jeune provincial une brillante carrière militaire au gré des guerres de la Révolution et de l’Empire jusqu’au siège de Saragosse, lors de la funeste intervention en Espagne. De toutes les batailles de l’épopée napoléonienne, c’est l’une des plus féroces et des plus sanglantes. Pour que cesse le combat, il faudra que la ville soit rasée par les bombardements et les incendies, la population décimée par les combats, la famine et les épidémies. Loin du panache des charges de cavalerie, Barsac découvre dans les décombres de la ville martyre le visage hideux de la guerre. Il comprend qu’en abandonnant son Périgord natal il est sans doute passé à côté du bonheur...