La bibliothèque de Patrick
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Au temps de la comète
Wells, H. G.
Ou de l'influence de certains phénomènes célestes sur les sentiments humains. Willie et Nettie font l'expérience d'une rencontre éphémère entre notre terre et une comète. Mais comment évolueront-ils, ainsi que la société qui les entoure, à la curieuse métamorphose qui en résulte?SUMMARY:Un jeune commis de manufacture de Clayton peut aussi devenir un héros romantique. La rencontre de Nettie va lui révéler, avec l'amour absolu qu'il conçoit, la jalousie absolue. Mais cet événement coïncide avec un phénomène d'une importance capitale pour l'humanité entière : l'apparition d'une comète qui se dirige vers la Terre et provoque une mutation de l'atmosphère. Comment peuvent alors réagir les êtres ? Comment leurs intérêts et leurs sentiments évoluent-ils en fonction d'un bouleversement impossible à maîtriser ? Quelles métamorphoses subissent alors un homme et une femme uniquement concerné, jusque-là, par leur seule passion ?
L'Homme invisible
Wells, H. G.
Le savant Griffin, après 15 ans de recherches et des dépenses qui l'ont ruiné, invente une formule pour devenir invisible. Après avoir fait l'expérience sur le chat de sa voisine, il décide d'expérimenter la formule sur lui même, notamment pour fuir ses créanciers (loyer non payé pour cause de manque d'argent et accusé de vivisection sur le chat de sa voisine; ce qui est faux). Il devient alors totalement invisible.
L'ile du docteur Moreau
Wells, H. G.
" Il me revint en tête - par quel procédé mental inconscient -, une phrase qui fit retourner ma mémoire de dix ans en arrière. Elle flotta imprécise en mon esprit pendant un moment, puis je revis un titre en lettres rouges : Le Docteur Moreau, sur la couverture chamois d'une brochure révélant des expériences qui vous donnaient, à les lire, la chair de poule. Ensuite mes souvenirs se précisèrent, et cette brochure depuis longtemps oubliée me revint en mémoire, avec une surprenante netteté. J'étais encore bien jeune à cette époque, et Moreau devait avoir au moins la cinquantaine. C'était un physiologiste fameux et de première force, bien connu dans les cercles scientifiques pour son extraordinaire imagination et la brutale franchise avec laquelle il exposait ses opinions. "
La guerre dans les airs
Wells, H. G.
Ce roman nous décrit une guerre mondiale, en 1908, conçue par un stratège de génie, H.G. Wells, qui invente l'arme absolue : les dirigeables géants, véritables porte-avions, d'où prennent leur vol les «Drachenflieger» de bombardement. Ainsi, l'Allemagne attaque directement les États-Unis et, sur la route de New York, coule la flotte U.S. De nouvelles armes naissent, tel le canon à éclairs, ancêtre direct du rayon laser, le fameux rayon de la mort... Une saga extraordinaire et méconnue qui se déploie sur plusieurs continents.Product DescriptionThis thrilling tale is H. G. Wells at his modernist, visionary best. In 1907, a naive Londoner named Bert Smallways finds himself an unwitting passenger on a fleet of German airships heading over the Atlantic to attack New York. What unfolds in characteristically Wellsian fashion is a clash of early flying machines that leaves Gotham in shambles and unleashes the terrible age of Total War. Uncannily relevant to our own era, The War in the Air remains a cornerstone of early science fiction. From the PublisherThis book is in Electronic Paperback Format. If you view this book on any of the computer systems below, it will look like a book. Simple to run, no program to install. Just put the CD in your CDROM drive and start reading. The simple easy to use interface is child tested at pre-school levels. Windows 3.11, Windows/95, Windows/98, OS/2 and MacIntosh and Linux with Windows Emulation. Includes Quiet Vision's Dynamic Index. the abilty to build a index for any set of characters or words.
La guerre des mondes
Wells, H. G.
Les martiens attaquent... Voici l'un des premiers classiques du «space opera» en science-fiction moderne. Vous connaissez tous ce grand roman, récemment à nouveau adapté au cinéma. Voici un petit extrait pour vous «mettre en bouche», une vivante description de ces affreux martiens...: «Je voyais maintenant que c'étaient les créatures les moins terrestres qu'il soit possible de concevoir. Ils étaient formés d'un grand corps rond, ou plutôt d'une grande tête ronde d'environ quatre pieds de diamètre et pourvue d'une figure. Cette face n'avait pas de narines - à vrai dire les Martiens ne semblent pas avoir été doués d'odorat - mais possédait deux grands yeux sombres, immédiatement au-dessous desquels se trouvait une sorte de bec cartilagineux. [...] En groupe autour de la bouche, seize tentacules minces, presque des lanières, étaient disposés en deux faisceaux de huit chacun...»
La machine à explorer le temps
Wells, H. G.
Qui ne connaît pas l'intrigue de ce roman ? La terre en l'an 802701 a les apparences d'un paradis. Les apparences seulement. Car derrière ces jardins magnifiques, ces bosquets somptueux, cet éternel été où les hommes devenus oisifs n'ont à se préoccuper de rien, se cache un secret...
Le pays des aveugles et autres histoires
Wells, H. G.
Attention où vous mettrez les pieds, dans un pays où vous débarquez par hasard, vous qui possédez deux yeux vivants, alors que les habitants ont perdu la vue. Cette tribu d’aveugles est plus forte que vous. Vous ne nous croyez pas ? Combien pariez-vous ?
Les premiers hommes dans la Lune
Wells, H. G.
Cavor, un scientifique, met au point la cavorite, un métal révolutionnaire qui crée l’apesanteur, avec lequel il construit un astronef. Accompagné par Bedford, un jeune aventurier voulant faire fortune, il se dirige vers la Lune où ils découvrent la civilisation souterraine des Sélénites...
Le trésor de M. Brisher
Wells, H. G.
Dans un pub, M. Brisher, célibataire endurci, raconte comment, bien des années plus tôt, il avait trouvé un trésor lors de travaux dans le jardin de sa fiancée. Le déterrer lui fut facile, mais ensuite...
Miss Waters
Wells, H. G.
Les Bunting barbotent sur la plage de Sandgate. Au cours de cette cérémonie du bain, Fred Bunting sauve de la noyade une jeune femme d’une grande beauté. Et voilà l’honorable famille, quelque peu collet monté, confrontée tout à coup à une réalité fantastique : celle qui vient d’être tirée d’un mauvais pas est une sirène, mi-femme mi-poisson. Un corps magnifique terminé en queue de maquereau. Cette Miss Waters s’adaptera-t-elle aux rituels de la société anglaise, au thé, à la politique, à la montée du féminisme ? Sa passion amoureuse pour Harry est à la mesure de celle des héroïnes immortelles qui tentèrent de conquérir un être humain : l’Ondine de Friedrich von La Motte-Fouqué, la petite sirène d’Andersen et l’Ondine de Jean Giraudoux. Là encore, l’ironie se teinte de tendresse avant de déboucher sur la tragédie.