La bibliothèque de Patrick
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Bunker parano
Arnaud, G.J.
– Vous disposerez de l'appartement des Sanchez. D'abord pas de réaction puis, malgré les trois cognacs préventifs, elle avait pigé :– Les suicidés ?– Les scellés sont levés... Il y a un très joli appartement vous verrez... Confortable malgré le coin. Ils avaient mis de l'argent dedans... Les idiots... On aurait pu s'arranger, prendre en compte. Ils se sont vraiment affolés. En fait, l'expropriation n'est pas pour demain. Deux, trois ans... Le Journal n'aurait jamais dû parler d'expulsion mais d'expropriation. Un jeune journaliste maladroit. Il y a dans cette ville des gens menacés depuis deux ans et qui en auront encore pour autant. Tout le monde ne se suicide pas... Heureusement. Mais cette Maison est malade... Malade. On a affaire à des gens psychiquement fragiles... De braves gens pourtant...
L'homme au fiacre
Arnaud, G.J.
Décembre 1829. La neige tombe sur Paris. Rue Vivienne se tient l'étude des frères Roquebère, jumeaux et avoués : Hyacinthe, sérieux et distingué, Narcisse, le joyeux luron. Les voici plongés dans une sombre affaire de captations criminelles d'héritages.Avec les Roquebère, au cours d'une enquête aux multiples rebondissements, découvrez Séraphine, leur jeune saute-ruisseau délurée ; le cupide officier de paix Parturon ; Thierrois, le fournisseur des Enfants Assistés ; la troublante marquise de Listerac ; avec l'exceptionnelle participation de l'ex-bagnard, ex-policier, François Vidocq.  
Les fossoyeurs de liberté
Arnaud, G.J.
Le Chili dans les jours qui suivent le coup de force des militaires alors que la Junte au pouvoir impose sa loi. Le commander Serge Kovask accompagne une commission sénatoriale d'enquête américaine comme enquêteur. Il connaît bien le Chili, y est déjà venu. Mais il découvre un Santiago complètement transformé, inquiétant. Les Américains qu'il y rencontre ont tous plus ou moins trempé dans le renversement du gouvernement légal d'Allende. Certains ont même versé d'importantes sommes aux syndicats patronaux pour affaiblir l'économie locale. D'où vient cet argent qui suit de mystérieuses filières avant de s'entasser dans les coffres de certaines personnalités ?
Les jeudis de Julie
Arnaud, G.J.
Willy rêvait de voiliers, Boris était le souffre-douleur d'une famille désargentée et Gildas surgissait de l'inconnu sur une puissante moto. Tels étaient les amis de Julie que sa mère, Marie Lacaze, ne rencontrait jamais et pour cause puisque tous étaient nés de l'imagination de la petite fille. Imagination excessive, jeux innocents, jeux dangereux ? Julie n'avait que onze ans et tout cela n'était-il pas habituel ? Jusqu'à ce que le drame, horrible, éclate à cause du zèle des adultes qui n'ont jamais eu d'imagination créative. Et la mère de Julie en arrive à se demander si les Willy, Gildas et autre Boris sont en fait des personnages imaginaires.