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Peut-être du fait du relatif insuccès de
l’épisode précédent, Ponson du Terrail
nous propose, sans aucune explication (pour le moment), une
nouvelle version parallèle de Rocambole : retour au bagne
de Toulon où Rocambole purge sa peine sous le numéro
117. Et, il n’est plus défiguré… Il est
devenu le chef de criminels repentis, qui lui sont
aveuglément dévoués, et a pour assistante une
baronne polonaise, Vanda, qui lui est passionnément
soumise, de même que Milon, une refonte du Chourineur des
Mystères de Paris. Ces personnages se retrouveront dans
l’ensemble de la série. La première « mission » de Rocambole au
service du bien, est de protéger deux jeunes filles,
Antoinette et sa sœur Madeleine, des griffes de Karle de
Morlux et de son frère Philippe qui leur ont volé
leur fortune. Rocambole – alias le major Avatar – rencontre
à nouveau Baccarat – la comtesse Artoff – qui
finit par accepter qu’il soit passé du
côté de la justice et du bien, en particulier
lorsqu’elle le voit consentir au mariage de Madeleine,
qu’il aime, à Yvan Potenieff, en butte à la
jalousie meurtrière de la Comtesse de Wasilika
Wasserenoff. Elle lui dit alors à l’oreille : «
Rédemption ! » Dans La vengeance de Wasilika, Rocambole manifeste
l’intention de se suicider, mais Milon et Vanda
réussissent à le convaincre qu’il mérite
de vivre. Il apprend que le fils de Blanche de Chamery (cf Les
Exploits de Rocambole) a été kidnappé. Il finira
par le libérer, mais non sans être blessé à
mort. À la fin de cet épisode, Milon dit «
Rocambole est mort ! », ce à quoi Vanda réplique
: « Dieu ne le permettra pas : Rocambole vivra !
»