Collection: Livre 18 dans la collection Numéro
�tiquettes: Roman, Lang:fr
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« Je m'appelle Eleanor-Rigby. Ma vie a changé un
matin alors que j'ouvrais mon courrier. Une lettre anonyme
m'apprenait que ma mère avait commis un crime trente-cinq
ans plus tôt. L'auteur de cette lettre me donnait
rendez-vous dans un bar de pêcheurs sur le port de
Baltimore et m'ordonnait de ne parler de cette histoire à
personne. J'avais enterré Maman à Londres au
début du printemps ; l'été s'achevait et
j'étais encore loin d'avoir fait mon deuil. Qu'auriez-vous
fait à ma place ? Probablement la même erreur que
moi. » Eleanor-Rigby est journaliste au magazine National
Geographic, elle vit à Londres. Un matin, en rentrant de
voyage, elle reçoit une lettre anonyme lui apprenant que
sa mère a eu un passé criminel. George-Harrison est
ébéniste, il vit dans les Cantons-de-l'Est au
Québec. Un matin, il reçoit une lettre anonyme
accusant sa mère des mêmes faits. Eleanor-Rigby et
George-Harrison ne se connaissent pas. L'auteur des lettres
leur donne à chacun rendez-vous dans un bar de
pêcheurs sur le port de Baltimore. À Baltimore, le
corbeau est absent. George-Harrison et Eleanor-Rigby se
rencontrent en découvrant, accrochée au mur du bar,
une photo de leurs mères ensemble, quand elles avaient
trente ans. Quel est le lien qui les unit ? Quel crime
ont-elles commis ? Qui est le corbeau et quelles sont ses
intentions ? La Dernière des Stanfield nous entraîne
au cœur d'un mystère qui hante trois
générations, de la France occupée de
l'été 1944 à Baltimore dans la liberté des
années 80, jusqu'à Londres et Montréal de nos
jours.