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Le 24 septembre 1941, pendant le Blitz qui écrase
Londres sous des tonnes de bombes, Amelia Pritlowe,
infirmière du London Hospital, apprend la
Depuis que
Retour à Whitechapel est sorti, la question qui
revient est celle-ci : pourquoi Jack l'Éventreur ?
Pourquoi ? Parce que Londres ! Parce que l'East
End, parce que Whitechapel et les conditions de vie
abominables qui y régnaient. Whitechapel ? Un
underworld qu'on pouvait traverser du nord au sud et d'est en
ouest en moins de vingt minutes, mais profond comme
l'abîme... Et l'homme qui a fait ça en 1888,
l'homme qui a disposé de la vie de femmes avec la
nonchalance d'un souffleur de bec de gaz, a jeté au
visage du monde toute la haine qui bouillonnait au coeur de
cet abîme, toute la folie qui y stagnait. Il a fait
ça, et puis il a tourné les talons. Il a
regagné l'abri des courettes, noircies par la suie et la
crasse. Il s'est enfoncé dans l'ombre, et il a
accepté le nom qu'on lui avait donné à la une
des journaux. Moi j'en propose un autre...
Michel Moatti
mort de son père. Celui-ci lui a laissé une
lettre posthume lui révélant que sa mère n'est
pas morte d'une maladie pulmonaire, comme l'histoire
familiale le prétend ; Mary Jane Kelly a
été la dernière victime de Jack L
Éventreur. Amelia Pritlowe avait 2 ans.
À compter de ce jour, Mrs Pritlowe va se lancer
dans une traque méticuleuse et acharnée,
poussée par le besoin vital de découvrir la
véritable identité de Jack L'Éventreur.
Grâce aux archives d'une pittoresque société
savante de riperristes , en confrontant témoins et
survivants, elle va reconstruire dans ses carnets les
dernières semaines de sa mère et la sanglante
carrière de l'Éventreur.
En décryptant des documents d'époque, Michel
Moatti recompose l'atmosphère nocturne et angoissante de
l'East End du XIX
e siècle. En redonnant vie aux victimes, en
recomposant leurs personnalités sociales et affectives,
il propose une solution à l'énigme posée en
1888 : qui était
Jack the Ripper ?
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