Autres chroniques de San Francisco Maupin, Armistead
Les Chroniques de San Francisco [3]: Voici le troisième épisode des Chroniques de San Francisco, un feuilleton romanesque à l'humour décapant ! " Entre un ouvrier au grand cœur, une star de cinéma et son médecin favori - Jon Fielding, pour ne pas changer -, Michael court toujours après l'homme de sa vie. Mary Ann, entrée à la télévision, court après le scoop de la sienne. DeDe revient de loin et Mme Madrigal cultive des petites herbes dans son jardinet... Ajoutez à cela quelques kidnappings, une course-poursuite entre l'Alaska et Barbary Lane, et vous aurez une idée de ce pétillant roman d'où on ressort tout étourdi, un sourire bêta scotché sur les lèvres. " Têtu
Babycakes Maupin, Armistead
" Les Chroniques nous parlent du présent sur un mode littéraire désuet Maupin n'est pas sans rappeler Dickens. [...] Mais c'est aussi la verve comique et le romanesque le plus échevelé, fait d'enquêtes, d'énigmes et d'anagrammes. [...] C'est que, chez Maupin, tous les destins peuvent ou doivent se croiser : l'action est faite de ces hasards de comédie. Mais les rencontres improbables, n'est-ce pas aussi, en dépit des préjugés des gays chic, la logique sociale de l'exogamie homosexuelle ? Vérité de l'invraisemblable : nous voici bien plongés dans un univers dickensien, où la fantaisie est la clé du réalisme. Du reste, les Chroniques n'ont-elles pas été d'abord publiées en feuilleton, dans un quotidien de San Francisco - à la manière des grands romans du siècle dernier ? Le bonheur de Maupin, c'est donc peut-être cette innocence narrative retrouvée. " Eric Fassin, Le Monde
Chroniques de San Francisco Maupin, Armistead
Les Chroniques de San Francisco [1]: Les seventies sont sur le déclin, mais San Francisco, la fureur au cœur et au corps, vibre encore d'une énergie contestataire. La libération sexuelle est consommée et s'affiche dans les rues aux couleurs d'enseignes et de néons tapageurs. Tout droit venue de Cleveland, Mary Ann Singleton, vingt-cinq ans, emprunte pour la première fois les pentes du " beau volcan ". Elle plante son camp au 28 Barbary Lane, un refuge pour " chats errants ". Logeuse compréhensive et libérale, Mme Madrigal règne en matriarche sur le vieux bâtiment qui abrite une poignée de célibataires : Mona, rédactrice publicitaire, son colocataire Michael, chômeur et disciple de " l'amour interdit " et le beau Brian Hawkins, coureur de jupons insatiable. Les héros de cette tribu enchantée ont fait le bonheur de millions de lecteurs dans le monde entier, au fil des six volumes de cette saga.
Mary Ann en automne Maupin, Armistead
Pour notre plus grand plaisir, Armistead Maupin ajoute un tome de plus à sa célèbre saga en renouant avec un des personnages charismatiques des Chroniques : Mary Ann Singleton. Après vingt ans d’exil à New York, Mary Ann revient sur les lieux de sa jeunesse à San Francisco. Trompée par son mari, atteinte d’un cancer, elle a décidé de se battre pour changer de vie. Elle est hébergée par son ami de toujours, Michael « Mouse » Tolliver, et retrouve la légende du 28, Barbary Lane, Anna Madrigal, qui n’a perdu ni sa vivacité d’esprit ni son énergie malgré ses 80 ans. En 2008, Michael Tolliver est vivant marquait le retour de Maupin. Il portait sur les années 2000 un regard lucide, ne taisant rien des désillusions ni des changements majeurs qui ont bouleversé les moeurs. Mary Ann en automne continue d’explorer ce nouvel ordre amoureux. Michael a épousé Ben mais il reste un séducteur à peine assagi qui observe les évolutions initiées par Facebook ou l’émergence des blogs. Avec ce roman émouvant, plein de charme, Maupin prouve qu’il est toujours le meilleur chroniqueur de notre époque.
Nouvelles chroniques de San Francisco Maupin, Armistead
Les Chroniques de San Francisco [2]: " Au fil des années 80 et de six volumes, les Chroniques ont connu, aux Etats-Unis, un succès croissant, critique autant que public bien au-delà de San Francisco et d'un lectorat gay, Maupin a peu à peu conquis une audience internationale qui, pas plus que ses personnages, ne se renferme dans un quelconque ghetto. La qualité littéraire y est pour beaucoup : les saynètes qui constituent la trame du récit sont certes tissées de dialogues, mais la justesse parfaite du ton ne doit pas occulter l'écriture. Les Chroniques nous parlent en effet du présent sur un mode désuet [...]. Les tableaux nous promènent dans toute la société, du monde au demi-monde, du vernissage au rodéo gay, de la débutante à la punkette, du prêtre au policier - jusqu'à la reine d'Angleterre. " Eric Fassin, Le Monde " Maupin nous présente des hommes, des femmes, des jeunes, des vieux, des ambitieux, des tendres... Les maîtres mots de sa saga culte sont " solidarité " et " amitié ". Tout le monde s'y retrouve. "Alix Girod de l'Ain, Elle