L'abominable homme de Säffle Sjöwall, Maj and Wahlöö, Per
Martin Beck [7]: Le commissaire Nyman, superflic de l'ancienne école guère étouffé par les scrupules, est assassiné avec une incroyable sauvagerie. La personnalité de la victime oblige Martin Beck à envisager la piste d'une vengeance. Les mobiles ne manqueraient pas : violences et abus de pouvoir semblent avoir jalonné la carrière de ce triste sire, qui a toujours su se ménager une totale impunité dans une suède pourtant démocratique et bien-pensante. Comment la violence policière peut-elle être ainsi recupérée par un état de droit ? Pire encore, cette morgue, cette arrogance, cet insondable mépris pour les " citoyens de seconde classe " ont sans aucun doute semé les graines d'une haine inextinguible. Car le tueur de flic n'a pas l'intention de s'arrêter là et a constitué sa petite liste. Dans cet opus d'une rare noirceur, Martin Beck va accepter de risquer sa vie pour essayer de mettre fin au massacre.
L'assassin de l'agent de police Sjöwall, Maj and Wahlöö, Per
Martin Beck [9]: Au fin fond de la campagne suédoise, un cadavre de femme est retrouvé dans un marécage. C'est la personnalité de son voisin qui intéresse particulièrement la police. Mais comme souvent, les apparences sont trompeuses et les préjugés, tenaces. c'est alors qu'une fusillade oppose des flics à des adolescents. L'un des policiers décède et Malm organise la chasse à l'ado survivant. Les méthodes employées montrent que la militarisation des forces de police a bel et bien commencé. Martin Beck et Lennart Kollberg sont sur les deux affaires. plongés dans une ambiance provinciale peu familière, ils vont croiser une vieille connaissance, que tout désigne comme un coupable idéal. Les appels au lynchage, la médiocrité de la presse, la crétinerie des flics de base menacent de faire dégénérer la situation. Ecoeuré, Lennart Kollberg décide de quitter la police.
L'homme qui partit en fumée Sjöwall, Maj and Wahlöö, Per
Martin Beck [2]: Le reporter suédois Alf Matsson a disparu en Hongrie. Le magazine qui l'emploie a bien l'intention d'exploiter le scoop, mais le ministère des affaires étrangères, qui ne veut pas d'histoires avec le bloc de l'est, ne l'entend pas de cette oreille. Pour le retrouver sans faire de vagues, Martin Beck est envoyé d'urgence en Hongrie. Malgré toute sa ténacité, son enquête bute très vite sur des obstacles infranchissables, chacune de ses avancées rendant le mystère de plus en plus épais... Maj Sjôwall et Per Wahlôô, ont écrit, entre 1965 et 1975, une série de dix romans mettant en scène l'enquêteur Martin Beck et son équipe. Cette œuvre, influencée par Ed Mcbain, et qui a marqué de son empreinte la littérature policière occidentale, est republiée dans des traductions entièrement revues à partir de l'original suédois.
La chambre close Sjöwall, Maj and Wahlöö, Per
Martin Beck [8]: Une femme commet un braquage au cours duquel un homme est tué accidentellement. Dans le même temps, deux dangereux pilleurs de banques écument Stockholm, et mettent la police sur les dents. Martin Beck quant à lui, reprenant le travail après une longue convalescence, se heurte à une affaire bizarre : un vieil invalide nécessiteux est retrouvé mort dans une pièce sordide soigneusement fermée de l'intérieur.Il a une balle dans le ventre. La police veut conclure à un suicide, mais dans ce cas où est passé le pistolet ? Un pistolet qui, justement, semble avoir servi au braquage... A partir d'un classique mystère de chambre close se dessine progressivement une affaire complexe, à la résolution parfaitement amorale.
La voiture de pompiers disparue Sjöwall, Maj and Wahlöö, Per
Le roman d'un crime [5]: Gunvald Larsson est en train de surveiller un immeuble déshérité lorsque le bâtiment explose. Il se porte aussitôt au secours des résidents. A première vue, l'incendie paraît accidentel : il suffit d'un malheureux concours de circonstances, une substance inflammable, de l'essence. D'ailleurs l'un des habitants se serait suicidé au gaz, transformant son appartement en véritable bombe. Affaire classée. Sauf que Larsson ne l'entend pas de cette oreille ; le feu était trop violent, il s'est propagé trop vite. C'est alors, qu'une révélation stupéfiante va rendre l'affaire totalement incompréhensible.
Le policier qui rit Sjöwall, Maj and Wahlöö, Per
Martin Beck [4]: Par une pluvieuse soirée de novembre, tous les passagers d'un autobus sont massacrés au fusil mitrailleur. Jamais la Suède n'avait connu pareille tuerie, et l'opinion publique s'affole. Parmi les neuf victimes, un flic que Beck connaissait. Que faisait-il dans ce bus, à cette heure ? D'après sa compagne, il était surchargé de travail, mais Beck sait bien, lui, qu'il était pratiquement en congé... L'identification des victimes, puis l'étude minutieuse de leur passé, apportent peu à peu des indices. Et comme souvent, derrière la façade lisse des apparences, ce sont des réalités sordides qui émergent. Adapté au cinéma par Stuart Rosenberg en 1973 sous le titre : The laughing policeman (Le flic ricanant).
Meurtre au Savoy Sjöwall, Maj and Wahlöö, Per
Le roman d'un crime [6]: Viktor Palmgren, puissant industriel à l'immense fortune, est abattu dans le luxueux restaurant de l'hôtel Savoy, à Malmö, devant ses principaux collaborateurs. Le tueur parvient à prendre la fuite. La personnalité de Palmgren, ses nombreux ennemis, la nature douteuse de certaines de ses activités font craindre un meurtre politique, alors que dans son ombre, les proches de la victime avaient eux aussi des raisons de vouloir s'en débarrasser. Après une période de cafouillage typique de l'impéritie policière, Martin Beck est envoyé dans le sud de la Suède aider Per Mânsson à mettre le nez dans les affaires de l'empire Palmgren. Critique acide de la désagrégation sociale provoquée par l'affairisme et l'avidité, meurtre au Savoy est un modèle de police procédural doté d'une conscience sociale aiguë. Maj Sjowall et Per Wahloô ont écrit, entre 1965 et 1975, une série de dix romans mettant en scène l'enquêteur Martin Beck et son équipe. Cette œuvre, qui a marqué la littérature policière occidentale, est republiée dans des traductions entièrement revues à partir de l'original suédois.
Roseanna Sjöwall, Maj and Wahlöö, Per
Martin Beck [1]: Le cadavre dénudé d'une jeune inconnue est retrouvé dans un canal proche de la petite ville de Motala, la victime semble avoir été violée. Martin Beck, de la criminelle de Stockholm, est envoyé en renfort auprès de l'équipe locale chargée de l'enquête. Longtemps, les investigations piétinent, mais si Beck est un bon flic, c'est parce qu'il possède " les trois qualités les plus importantes indispensables à un policier : il est têtu, il est logique et il est d'un calme absolu ". Sans oublier qu'il est patient, incroyablement patient...Maj Sjöwall et Per wahlöö, ont écrit, entre 1965 et 1975, une série de dix romans mettant en scène l'enquêteur Martin Beck et son équipe. Cette œuvre, influencée par Ed Mcbain, et qui a marqué de son empreinte la littérature policière occidentale, est republiée dans des traductions entièrement revues à partir de l'original suédois.