Ceux qui vont mourir te saluent Vargas, Fred
A priori, tous les dessins de Michel-Ange ont été répertoriés. Et lorsque l'un d'eux fait une apparition discrète sur le marché, il y a tout lieu de supposer qu'il a été volé. Le plus incroyable, c'est que celui qui est proposé à Henri Valhubert, célèbre expert parisien, provient probablement de la bibliothèque vaticane!Qui se risquerait à subtiliser les trésors des, archives papales ? L'affaire se complique lorsque Valhubert est assassiné, un soir de fête, devant le palais Farnèse. Instantanément, les soupçons se portent sur le fils de la victime. Ce dernier fait partie d'un curieux triumvirat d'étudiants, aux surnoms d'empereurs : Claude, Néron et Tibère. En résidence à Rome depuis plusieurs années, tous trois entretiennent des liens singuliers avec la veuve de Valhubert. Une femme au charme envoûtant et dont le passé comporte quelques zones d'obscurité...
Coule la Seine Vargas, Fred
JB Adamsberg [4]: Danglard connaissait assez le commissaire pour comprendre, à la variation d'intensité de son visage, que quelque chose d'intéressant s'était produit ce matin. Mais il se méfiait. Adamsberg et lui avaient des conceptions très éloignées de ce qu'on appelle un "truc intéressant". Ainsi, le commissaire trouvait assez intéressant de ne rien faire, alors que Danglard trouvait cela mortellement paniquant. Le lieutenant jeta un coup d'œil soupçonneux à la feuille de papier blanc qui voletait entre les mains d'Adamsberg. (.../...) À vrai dire, il s'était accoutumé à cet homme, tout en s'irritant d'un comportement inconciliable avec sa propre manière d'exister. Adamsberg se fiait à l'instinct et croyait aux forces de l'humanité, Danglard se fiait à la réflexion et croyait aux forces du vin blanc.
Dans les bois éternels Vargas, Fred
JB Adamsberg [6]: "Adamsberg est à nouveau confronté à des résurgences de son passé : l'enquête qu'il mène l'oblige à retravailler avec un médecin légiste à laquelle il s'était opposé vingt-cinq ans plus tôt.
Debout les morts Vargas, Fred
Les Évangélistes [1]: Un matin, la cantatrice Sophia Siméonidis découvre, dans son jardin, un arbre qu'elle ne connaît pas. Un hêtre. Qui l'a planté là ? Pourquoi ? Pierre, son mari, n'en a que faire. Mais la cantatrice, elle, s'inquiète, en perd le sommeil, finit par demander à ses voisins, trois jeunes types un peu déjantés, de creuser sous l'arbre, pour voir si... Quelques semaines plus tard, Sophia disparaît tandis qu'on découvre un cadavre calciné. Est-ce le sien ? La police enquête. Les voisins aussi. Sophia, ils l'aimaient bien. L'étrange apparition du hêtre n'en devient que plus énigmatique.
L'armée furieuse Vargas, Fred
JB Adamsberg [8]: Cette nuit-là, dit-elle lentement, Lina a vu passer l'Armée furieuse. Et Herbier y était. Et il criait. Et trois autres aussi. C'est une association ? L'Armée furieuse, répéta-t-elle tout bas. La Grande Chasse. Vous ne connaissez pas ? Non, dit Adamsberg en soutenant son regard stupéfait. Mais vous ne connaissez même pas son nom ? La Mesnie Hellequin ? chuchota-t-elle. Je suis désolé, dit Adamsberg. Veyrenc, l'Armée furieuse, vous connaissez cette bande ? Un air de surprise intense passa sur le visage du lieutenant Veyrenc. Votre fille l'a vraiment vue ? Avec le disparu ? Où cela ? Là où elle passe chez nous. Sur le chemin de Bonneval. Elle a toujours passé là. Veyrenc retint discrètement le commissaire. Jean-Baptiste, vraiment, tu n'as jamais entendu parler de ça ? Adamsberg secoua la tête. Eh bien, questionne Danglard, insista-t-il. Pourquoi ? Parce que, pour ce que j'en sais, c'est l'annonce d'une secousse. Peut-être d'une sacrée secousse. Nul doute que la fratrie "maudite" du village normand rejoindra la galaxie des personnages mémorables de Fred Vargas. Quant à Momo-mèche-courte, il est le fil conducteur de la double enquête que mène ici le commissaire Adamsberg, confronté à l'immémorial Seigneur Hellequin, chef de L'Armée furieuse. http://www.amazon.fr/Larm%C3%A9e-furieuse-Fred-Vargas/dp/2878583760
L'homme à l'envers Vargas, Fred
JB Adamsberg [2]: Au sein d'une réserve naturelle, dans le Mercantour, les loups reprennent peu à peu leurs droits. Ils viennent d'Italie et suscitent à la fois crainte et admiration.Lawrence est un Canadien qui se range dans la seconde catégorie. Arrivé en France depuis peu, il étudie les loups et, fasciné par ces animaux autant que par Camille, il s'éternise, il "s'incruste" comme disent les gens du pays.Et il s'incruste d'autant plus que les bergers commencent à s'échauffer suite au massacre de moutons. Dans des contrées où la haine envers les loups est ancestrale, Lawrence décide de trouver ce loup avant que les habitants ne les exterminent tous.Lorsqu'une femme est à son tour égorgée, tout s'accélère et ce d'autant plus qu'on commence à murmurer au loup-garou. Ils supposent que Massart, un homme du village qui travaille dans un abattoir, est le loup-garou. Camille se laisse convaincre par les proches de la femme égorgée, qu'elle connaissait et appréciait, et part à la chasse à l'assassin. Bientôt dans une impasse et répondant une fois de plus à la demande de ses amis à contre cœur, elle fera finalement appel à Adamsberg.
L'homme aux cercles bleus Vargas, Fred
JB Adamsberg [1]: Depuis plusieurs mois, les journaux relatent un événement qui amuse les Parisiens : de grands cercles sont dessinés à la craie autour d'objets aussi anodins que variés, et ornés d'une phrase mystérieuse, écrite dans une belle écriture soignée : "Victor, mauvais sort, que fais-tu dehors ?".Beaucoup s'amusent de cette excentricité, certains s'irritent, et Adamsberg s'inquiète. Il perçoit au travers de ce geste anodin les prémices d'une catastrophe et ne retient de ces cercles que la cruauté qui s'en dégage et qu'il est le seul à sentir.Une fois de plus, son instinct lui donnera raison : c'est bientôt le corps d'une femme égorgée que l'on retrouve au centre de l'un de ces cercles. Ensuite 2 autres personnes seront retrouvées égorgées de la même manière.
Les jeux de l'amour et de la mort Vargas, Fred
Tom est peintre et a un rêve : accéder à la gloire. Il parvient à se faire inviter à une soirée très sélect organisée par un mécène en l'honneur du célébrissime Gaylor. Gaylor est l'artiste chéri de la peinture contemporaine, adulé de tous, et Tom veut lui soumettre son travail voire obtenir son soutien. Hélas, Tom joue de malchance, non seulement il n'arrive pas à s'approcher du grand homme mais, s'introduisant comme un voleur dans le bureau du génie, il tombe sur un cadavre... Pas facile d'être un artiste reconnu, surtout quand la police est convaincue de votre culpabilité ! Sur une trame très classique, Fred Vargas pose les jalons de son œuvre à venir : tensions, suspense, et enquêtes des plus minutieuses. C'est avec ce premier roman qu'elle a obtenu le prix Cognac en 1986." Je suis génial. " Cette fois-ci, Tom est certain d'avoir élucidé le meurtre de Saldon, l'Américain dont il s'est servi pour s'introduire auprès Gaylor. Gaylor le magnifique, le consacré, le peintre chéri du XXe siècle... On n'approche pas facilement Gaylor, et l'invitation à cette soirée mondaine dénichée par Saldon avait été l'occasion rêvée de se glisser près de lui. Tom se l'était juré : il soumettrait ses toiles au maître. Mais voilà, une fois dans la place, Tom s'était montré au-dessous de tout : non seulement il n'avait pas adressé la parole à Gaylor, mais pire encore, en s'introduisant comme un voleur dans le bureau du grand homme, il était tombé sur le cadavre... Pauvre Tom ! Il n'est quelquefois pas facile d'être génial... Surtout lorsque la police est persuadée de votre culpabilité !
Pars vite et reviens tard Vargas, Fred
JB Adamsberg [3]: On l'a peint soigneusement sur les treize portes d'un immeuble, dans le 18e arrondissement de Paris : un grand 4 noir, inversé, à la base élargie. En dessous, trois lettres : CLT. Le commissaire Adamsberg les photographie, et hésite : simple graffiti, ou menace ? A l'autre bout de la ville, Joss, l'ancien marin breton devenu Crieur de nouvelles est perplexe. Depuis trois semaines, une main glisse à la nuit d'incompréhensibles missives dans sa boîte à messages. Un amuseur ? Un cinglé ? Son ancêtre murmure à son oreille : " Fais gaffe à toi, Joss. Il n'y a pas que du beau dans la tête de l'homme. "
Quand sort la recluse Vargas, Fred
JB Adamsberg [10]: Trois morts, c'est exact, dit Danglard. Mais cela regarde les médecins, les épidémiologistes, les zoologues. Nous, en aucun cas. Ce n'est pas de notre compétence. - Ce qu'il serait bon de vérifier, dit Adamsberg. J'ai donc rendez-vous demain au Muséum d'Histoire naturelle. - Je ne veux pas y croire, je ne veux pas y croire. Revenez-nous, commissaire. Bon sang mais dans quelles brumes avez-vous perdu la vue ? - Je vois très bien dans les brumes, dit Adamsberg un peu sèchement, en posant ses deux mains à plat sur la table. Je vais donc être net. Je crois que ces trois hommes ont été assassinés. - Assassinés, répéta le commandant Danglard. Par l'araignée recluse ?
Salut et liberté Vargas, Fred
" Monsieur le Commissaire, Vous avez peut-être une belle gueule mais, dans le fond, vous êtes un vrai con. En ce qui me concerne, j'ai tué en toute impunité. Salut et liberté ", X. Etranges, ces lettres anonymes que reçoit Adamsberg, et tout aussi singulière l'assiduité dont fait preuve le vieux Vasco à siéger sur ce banc, juste en face du commissariat... L'importun vieillard aux poches remplies d'objets insolites et au porte-manteau incongru attise l'exaspération du lieutenant Danglard. Mais, pour le commissaire Adamsberg, dont le flair nonchalant confine au génie, l'affaire n'est pas si anodine... Fred Vargas signe ici deux nouvelles policières où l'on retrouve avec un plaisir intact les personnages décalés, les rencontres déroutantes, le ton si subtilement décontracté qui ont fait son succès.Les nouvelles qui composent Salut et liberté ont été écrites à des dates différentes et ont déjà paru dans les publications suivantes : « Salut et liberté », in : journal Le Monde, 1997 « La nuit des brutes », in : Contes noirs de fin de siècle, éd. Fleuve noir, 1999 « Salut et liberté » et « La nuit des brutes », in : Coule la Seine, éditions Viviane Hamy, 2002
Sans feu ni lieu Vargas, Fred
Les Évangélistes [3]: Tout semble accuser Clément Vauquer, un accordéoniste simplet mais ni fou, ni cruel, du meurtre de deux femmes. Recherché par la police, Clément se terre chez la vielle Marthe. Mais cela ne peut durer, il faut découvrir l’assassin. Louis Kehlweiler, dit l’Allemand, et ses trois assistants, Marc, Lucien et Mathias, héros de «Debout les morts» et de «Un peu plus loin sur la droite», mènent l’enquête, décidés à innocenter Clément.Présentation Amazon :Clément Vauquer est une rareté. Il est stupide au point d'exécuter ce qu'on lui demande de faire sans se poser de questions, et assez aveugle pour ne pas voir la tombe qu'on creuse sous ses pieds. Pour un manipulateur, c'est une véritable aubaine. Lorsque son portrait s'étale à la une de tous les journaux et qu'on l'accuse d'être le tueur en série de jeunes parisiennes, il n'y a que la vieille Marthe pour croire à son innocence. Cette ancienne prostituée, qui avait pris Clément enfant sous son aile, va tout faire pour prouver l'innocence de "son petit". Elle fait appel à Louis Kehlweiler, ancien client et ami de longue date, qui va mener l'enquête avec son équipe d'érudits, les évangélistes. Fred Vargas, l'une des plus talentueuses représentantes du polar français, reprend les personnages de Un peu plus loin sur la droite, et continue la saga des Évangelistes, son trio d'enquêteurs lunaires. Il leur faudra déployer ingéniosité et sagacité pour venir à bout d'une sanglante machination, où poésie rime avec crimes en série. --Christophe DupuisPrésentation Laure256, sur le site critiqueslibres. Com :On cherchera en vain le commissaire Adamsberg et son inénarrable adjoint Danglard dans Sans feu ni lieu, mais on y retrouvera avec plaisir les trois évangélistes, Lucien, Marc et Matthias, qui habitent trois étages différents d’une vieille baraque pourrie – en compagnie de Vandoosler le vieux, oncle et parrain de Marc, ancien commissaire de police mis à pied pour avoir aidé un criminel à s’échapper –, déjà actifs dans Debout les morts et Un peu plus loin sur la droite, roman où apparaît pour la première fois Louis Kehlweiler, dit l’Allemand, qui mène ici sa deuxième enquête.L’histoire est assez brillamment menée, pleine d’humour et originale, avec un début alléchant où entre en scène Clément Vauquer, un pauvre demeuré accusé de plusieurs meurtres de femmes, et qui vient trouver refuge auprès de Marthe, ex prostituée qui l’a élevé. Celle-ci va le défendre bec et ongle, même si beaucoup de charges pèsent contre lui, et convaincre ses amis précédemment cités de mener l’enquête…Au fond, il semblerait que le plaisir ne soit pas tant dans l’intrigue (on a parfois une impression de répétition ou de lenteur) que dans les personnages savoureux que l’auteur anime sous nos yeux, souvent attachants et hors du commun : c’est comme à chaque fois ce qui fait toute l’originalité de Fred Vargas.
Sous les vents de Neptune Vargas, Fred
JB Adamsberg [5]: Adamsberg et son équipe du ciat du 13e sont invités au Québec, à Hull-Gatineau pour: « Une formation de deux semaines ciblée sur le traitement des empreintes génétiques. »La semaine qui précède leur départ, le commissaire tombe sur un entrefilet dans la presse: « Une jeune fille assassinée de trois coups de couteau à Schiltigheim », lorsqu’un malaise l’étreint brutalement. Par quatre fois, en une même journée et dans des circonstances différentes il va sentir « cette sensation de gêne l’enserrer, ce chat griffu lui sauter sur l’épaule. »Au cours de la nuit, il décrypte les signes qui ont provoqué ses malaises. Ils le renvoient à la disparition de son frère, Raphael, après qu’il fut soupçonné du meurtre de son amie quelque trente ans auparavant. L’enquête qu’Adamsberg avait alors menée avait permis à son frère d’éviter la prison, mais non de l’innocenter puisqu’il n’avait pu fournir d’alibi et que le coupable n’avait pas été découvert.« Cette fois, ses mains se mirent à trembler, cette fois son cœur s’accéléra. Rien de commun avec les quatre tornades qu’il avait subies, mais une émotion violente, de la stupéfaction et de la terreur. Le Trident.A présent que l’alcool avait engourdi ses muscles et apaisé les battements de son cœur, il pouvait réfléchir, commencer, essayer. Tenter de regarder le monstre que l’évocation de Neptune avait, enfin, fait émerger de ses propres cavernes. Le clandestin, le terrible intrus. L’assassin invincible et altier qu’il nommait le Trident. L’imprenable tueur qui avait fait chanceler sa vie, trente ans plus tôt. Pendant quatorze années, il l’avait pourchassé, traqué, espérant chaque fois le saisir et sans cesse perdant sa proie mouvante. Courant, tombant, courant encore.Et tombant. Il y avait laissé des illusions et, surtout, il y avait perdu son frère. Le Trident s’était montré beaucoup plus fort que lui, toujours. Un titan, un diable, un Poséïdon de l’enfer. Levant son arme à trois pointes et tuant d’un seul coup au ventre. Laissant derrière lui ses victimes empalées, marquées de trois trous rouges en ligne. »Puis celui qu’il nommait le Trident était mort. Pourtant, ce meurtre de Schiltigheim, 14 ans après la mort officielle du Trident, contre toute raison, il est sûr que c’est l’œuvre de son ennemi. Il charge l’un de ses inspecteurs parisiens de diverses recherches, pendant qu’à Hull, la collaboration avec les confrères québécois se passe le mieux du monde.La veille du retour en France, après une cuite mémorable, Adamsberg se réveille devant son immeuble avec un mal de crâne épouvantable, les jambes dans du coton et un incapacité totale à se rappeler ce qu’il a fait durant les heures écoulées entre le moment où il est sorti du bar et celui où il s’est réveillé.Tout juste rentré à Paris, il est invité à retourner au Québec pour, bizarrement et officiellement, identifier la victime française d’un meurtre. À l’aéroport de Montréal, en dépit de l’heure tardive, Adamsberg et Violette Retancourt sont immédiatement embarqués vers le dépôt mortuaire d’Ottawa.« Adamsberg se vit brutalement projeté dans la morgue de la banlieue de Strasbourg, devant le corps d’Elisabeth Wind. Trois trous en ligne avaient perforé l’abdomen de la jeune morte. Ici, à dix milles kilomètres du territoire du Trident. »Quand il reconnaît Noëlla Corbel, la jeune femme avec laquelle il a eut une brève liaison, il comprend qu’il est soupçonné du meurtre, et à son tour victime du Trident. Exactement comme son frère trente ans auparavant, sa mémoire a sombré dans un trou noir pendant les heures qui ont précédé le meurtre. A-t-il tué la jeune femme ? Est-ce lui qui l’a tuée ?http://www.amazon.fr/Sous-vents-Neptune-Fred-Vargas/dp/2878581903
Temps glaciaires Vargas, Fred
JB Adamsberg [9]: 03/2015Temps glaciaires s'ouvre sur deux suicides qui lancent le commissaire Adamsberg et ses hommes vers deux enquêtes en apparence sans lien. L'une se déroule au large de l'Islande, sur l'ilôt du Renard, où, 10 ans plus tôt, des touristes français ont vécu un cauchemar, et l'autre au sein d'une société secrète où se retrouvent des adorateurs de Robespierre.
Un lieu incertain Vargas, Fred
JB Adamsberg [7]: Le commissaire Adamsberg pensait que ses trois jours à Londres se résumeraient à ce colloque de flics auquel on l'avait convié. Il n'imaginait certainement pas trouver une vingtaine de chaussures et de pieds coupés, soigneusement alignés, en face des portes du cimetière de Highgate ! Tandis que l'enquête anglaise débute, les Français rentrent au pays et se retrouvent confrontés à un terrible massacre dans un pavillon de banlieue. Un premier coupable un peu trop idéal, un lien possible entre les deux affaires... Jusqu'où cette enquête entraînera-t-elle Adamsberg ?http://www.amazon.fr/lieu-incertain-Fred-Vargas/dp/2290023507
Un peu plus loin sur la droite Vargas, Fred
Les Évangélistes [2]: En planque sous les fenêtres de l'appartement du neveu d'un député, place de la Contrescarpe, Kehlweiler avise soudain une drôle de chose sur la grille d'un arbre. Un petit déchet blanchâtre au milieu d'excréments canins. Pas de doute, c'est un os. Et même un os humain... Naturellement, lorsque Kehlweiler apporte sa trouvaille au commissariat du 5e arrondissement, les flics lui rient au nez. Mais ce petit bout d'os l'obsède tellement qu'il abandonne ses filatures parisiennes et suit une piste jusqu'à Port-Nicolas, un village perdu au bout de la Bretagne. Là vit un pit-bull. Une sale bête, qui avalerait n'importe quoi. Y compris un bout de cadavre. Reste à trouver le cadavre. Et l'assassin...